Merci Richard pour le partage de vos investigations et analyses toujours aussi vivantes que singulières. J’apprécie beaucoup votre franchise et votre façon claire, simple, précise et souvent drôle de nous parler de psychanalyse, un vrai défi. J’aime aussi votre tee shirt, une reproduction d'un tableau de Dali ? Il vous va bien au teint… le jaune et le rouge aussi. Cordialement,
Et la peau méga organe des sens relationnel alouette!? Ça compte pas pour des prunes de passer du chaud nid douillet a la scène extérieure..!?ça s'inscrit ds le corps?
j' aime bien votre tee shirt ....et bien sur vos vidéos toujours claires !!! voir clairvoyantes ( ds le sens perspicaces ) sans que je vous considère comme un voyant , celui- ci étant tjrs obscur . C' est votre expérience en particulier hospitalière qui vous permet de ne pas avoir un discours hermétique
Avant de découvrir la théorie freudienne, je percevais plutôt la pulsion de mort comme le désir inconscient de retourner dans le ventre de la mère... J'ai toujours fait ce rêve de fuir le monde du travail, du social, pour aller défier la mort au milieu de la (mère) nature, avec le maigre espoir de vivre éternellement de ses fruits. Mais si la pulsion de mort c'est la libido, on peut aussi penser que le désir de faire l'amour, c'est le désir de fusion avec la mère? Et donc dire que mort = fusion maternelle? Surtout si l'inconscient ne perçoit pas la mort comme une fin mais plutôt comme un retour... Je sais pas si j'ai été très clair mais bon...
oui, je comprends bien. vous a raison mais en è temps je pense que c'est plus complexe. il y a ce que vous dites et aussi, pour un homme, se rassurer sur la puissance de son phallus, pour un femme le fait d'en acquérir un momentanément, avec la promesse d'un enfant qui sera un substitut définitif... ;toute ces composantes se mélangent en fonction des histoires de chacun.
@@abibonrichard disons quelqu’un de suicidaire, comment peut-il ou elle **gerer ** la pulsion de mort, c’est quoi quele dois faire concrètement c’est quoi qui ce passe ?
@@eduardonavarro5924 je ne peux absolument psychanalyse répondre à ce genre de question. je ne connais pas de "il" et il n'y a pas de généralités. si c'est de vous qu'il s'agit, prenons rendez vous et parlons en. s'il ne s'agit pas de vous alors la question n'a vraiment aucun sens.
eh bien , si vous ne m'en avez pas entendu parler... ceci dit je travaille sur une vidéo où je vais parler du trauma. en attendant il y a cet article : unepsychanalyse.files.wordpress.com/2021/08/trauma_et_reel-1.pdf
Bonjour, Merci pour vos vidéos très enrichissantes. Dans pulsions et destins des pulsions.. je ne comprend toujours pas très bien à quel moment, dans la grammaire de la pulsion (passif actif réflexif) on retrouve déjà l'idée du concept de la pulsion de mort décrite plus tard par Freud dans au-delà du principe de plaisir..? Pouvez-vous m'éclairer ?
C’est votre analyse de votre pratique de vos rêves, peut être est-ce vrai, même si vous pouvez le constater chez vos analysants, mais qui forcément interfère avec votre théorie projetée, ou peut être pas…
C'est intéressant, ce que vous ditez de l'être-parlé-par-les-autres... normal, nous naissons de l'autre du langage - mais ce que vous dites de plus intéressant c'est que c'est par l'analyse de vos rêves que vous avez pu faire la part belle du tout cuit tout maché de Freud et Lacan... still, quand même, quand je les lis je doute de pas mal de choses, de l'Oedipe évidemment, et cette affirmation que l'enfant qui viendrait remplir le vide autour de la ma vulve serait mon phallus... mmhhh permettez de sourire en coin... je suis disciple de Luce Irigaray and je comprends pourquoi elle s'est révoltée contre ces abberations théoriques mâles et imminemment sexistes tttsssssss... même sans aller chercher nos chères philosophes et analystes feministes, je m'autoanalyse depuis toujours, dans mes dessins de petite fille jusqu'à l'écriture automatique de mes pages de journal... et quand je lis Freud et Lacan (et Klein aussi, et beaucoup d'autres) je tressaillis souvent au contact de leurs concepts et narratifs qui ne collent pas à mon vécu inconscient.
toujours super, merci, grâce à vous, les choses semblent simples
Merci beaucoup j´apprends énormément.
Merci Richard pour le partage de vos investigations et analyses toujours aussi vivantes que singulières. J’apprécie beaucoup votre franchise et votre façon claire, simple, précise et souvent drôle de nous parler de psychanalyse, un vrai défi.
J’aime aussi votre tee shirt, une reproduction d'un tableau de Dali ? Il vous va bien au teint… le jaune et le rouge aussi. Cordialement,
oui, c'est "la métamorphose de narcisse" de dali . Merci pour vos gentilles appréciations !
Et la peau méga organe des sens relationnel alouette!? Ça compte pas pour des prunes de passer du chaud nid douillet a la scène extérieure..!?ça s'inscrit ds le corps?
j' aime bien votre tee shirt ....et bien sur vos vidéos toujours claires !!! voir clairvoyantes ( ds le sens perspicaces ) sans que je vous considère comme un voyant , celui- ci étant tjrs obscur . C' est votre expérience en particulier hospitalière qui vous permet de ne pas avoir un discours hermétique
merci!
Merci monsieur je comprend mieux
Bonjour mr en analyse depuis 11 ans. Ou puis je me former a la théorie psychanalytique ? Merci
Avant de découvrir la théorie freudienne, je percevais plutôt la pulsion de mort comme le désir inconscient de retourner dans le ventre de la mère... J'ai toujours fait ce rêve de fuir le monde du travail, du social, pour aller défier la mort au milieu de la (mère) nature, avec le maigre espoir de vivre éternellement de ses fruits. Mais si la pulsion de mort c'est la libido, on peut aussi penser que le désir de faire l'amour, c'est le désir de fusion avec la mère? Et donc dire que mort = fusion maternelle? Surtout si l'inconscient ne perçoit pas la mort comme une fin mais plutôt comme un retour... Je sais pas si j'ai été très clair mais bon...
oui, je comprends bien. vous a raison mais en è temps je pense que c'est plus complexe. il y a ce que vous dites et aussi, pour un homme, se rassurer sur la puissance de son phallus, pour un femme le fait d'en acquérir un momentanément, avec la promesse d'un enfant qui sera un substitut définitif... ;toute ces composantes se mélangent en fonction des histoires de chacun.
oui, bien sûr
Comment s’équilibre la pulsion de vie et la pulsion de mort concrètement parlant qu’est-ce qui ce passe ou qu’est-ce que la personne fait
je ne comprends pas votre question. je viens d'expliquer que la pulsion de mort n'est qu'une variante de la pulsion de vie...
@@abibonrichard disons quelqu’un de suicidaire, comment peut-il ou elle **gerer ** la pulsion de mort, c’est quoi quele dois faire concrètement c’est quoi qui ce passe ?
@@eduardonavarro5924 je ne peux absolument psychanalyse répondre à ce genre de question. je ne connais pas de "il" et il n'y a pas de généralités. si c'est de vous qu'il s'agit, prenons rendez vous et parlons en. s'il ne s'agit pas de vous alors la question n'a vraiment aucun sens.
Très intéressant merci. Vous ne parlez pas du fantasme dans le trauma ?
eh bien , si vous ne m'en avez pas entendu parler... ceci dit je travaille sur une vidéo où je vais parler du trauma. en attendant il y a cet article : unepsychanalyse.files.wordpress.com/2021/08/trauma_et_reel-1.pdf
voilà, la video annoncée est en ligne
Merci pour le partage ;
Des Reves riche en representants, tendit que l'interpritation est presque la meme , ou la castration est toujoure present?
la castrration est toujours présente
@@abibonrichard formidable response
Le noble chemin octuple merci
Le jeu du Fort/Da… Est ce la même chose chez le chien qui jubile de rapporter la baballe jetée par son maitre ?
ça se pourrait, mais il faut demander au chien.
Peut-être es-ce le maître qui jette son chien pour jubiler de le faire revenir
Et pour la femme qui n'a pas d'enfant, quelle est la castration ultime, qu'est-ce qu'il y a de plus difficile à supporter?
Pour le "a" privatif, oui, sauf haricot rouge (il y a un "h" devant le privatif)..., ce me semble, isn't ?
je plaisantais
@@abibonrichard ha je prend tout au sérieux, pour ça
Bonjour,
Merci pour vos vidéos très enrichissantes.
Dans pulsions et destins des pulsions.. je ne comprend toujours pas très bien à quel moment, dans la grammaire de la pulsion (passif actif réflexif) on retrouve déjà l'idée du concept de la pulsion de mort décrite plus tard par Freud dans au-delà du principe de plaisir..? Pouvez-vous m'éclairer ?
Est-ce le fait de se rendre sujet de l'action? Comme lorsque le bébé se fait chatouiller en proposant son pied?
@@yzr1164 oui
Ce que je vois est que chaque psychanalyste a sa théorie, faut réinventer à chaque fois la psychanalyse ? Peut être
C’est votre analyse de votre pratique de vos rêves, peut être est-ce vrai, même si vous pouvez le constater chez vos analysants, mais qui forcément interfère avec votre théorie projetée, ou peut être pas…
le pot est déjà culturel mais le "faire ses besoins" ou de sucer est // aux animaux il me semble
oui, mais justement : les animaux n'ont pas à apprendre le pot. ni à tenir une cuillère et manger proprement.
Il s'est bien pris la tete et le menton freud!il est mort d'un cancer de la mâchoire...bizarre? Vous avez dit bizarre
C'est intéressant, ce que vous ditez de l'être-parlé-par-les-autres... normal, nous naissons de l'autre du langage - mais ce que vous dites de plus intéressant c'est que c'est par l'analyse de vos rêves que vous avez pu faire la part belle du tout cuit tout maché de Freud et Lacan... still, quand même, quand je les lis je doute de pas mal de choses, de l'Oedipe évidemment, et cette affirmation que l'enfant qui viendrait remplir le vide autour de la ma vulve serait mon phallus... mmhhh permettez de sourire en coin... je suis disciple de Luce Irigaray and je comprends pourquoi elle s'est révoltée contre ces abberations théoriques mâles et imminemment sexistes tttsssssss... même sans aller chercher nos chères philosophes et analystes feministes, je m'autoanalyse depuis toujours, dans mes dessins de petite fille jusqu'à l'écriture automatique de mes pages de journal... et quand je lis Freud et Lacan (et Klein aussi, et beaucoup d'autres) je tressaillis souvent au contact de leurs concepts et narratifs qui ne collent pas à mon vécu inconscient.