Une économie qui ne profite qu'a une poignée de nantis, ceux la même qui approvisionnent les paradis fiscaux et qui ont l'impact écologique le plus impactant. Merci pour cette démonstration éloquente.
La maison est en fait une vaste copropriété planétaire. Comme le respect du vivant n'a jamais fait l'objet de lois qui le protègent, sa destruction continue sous l'effet du désir de quelques décideurs, autocrates, puissants écocidaires. Je ne prends aucun exemple, chacun pourra désigner tel ou tel individu ou groupe dominant (multinationale incluse). L'économie est loin, très loin d'appliquer quelque principe physico-logico-biologique en faveur du vivant, robuste par nature (écoutez Olivier Hamant). Sur le plan à 2 dimensions, performance - robustesse, nous avons le biais de croire à un seul onjectif, qui fragilise, pire élimine le robuste. Bref, mal en point. Tous idiots du capitalisme concentrationnaire ...?
"la maison est en fait une vaste copropriété planétaire": si c'était le cas alors chaque co-propriétaire aurait un droit de vote à l'assemblée de la co-pro, ce qui n'est évidemment pas le cas. "le respect du vivant n'a jamais fait l'objet de lois qui le protègent": c'est faux, en France la Charte de l'Environnement est adossée à la Constitution au même titre que la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, donc en principe au sommet de la hiérarchie des lois. Le problème est similaire à celui de l'économie: il existe en économie comme en droit une ingénierie complexe et absconse pour le profane qui permet aux supposés garants des lois et des normes de les fouler au pieds en permanence. En France c'est d'autant plus vrai que la construction européenne a permis de renverser la hiérarchie des lois en plaçant au dessus de notre Constitution les règlements et les traités rédigés et négociés par des instances non-élues et en dehors de tout contrôle démocratique. Ou alors quand il s'exerce, ces instances passent outre (cf 2005, la crise grecque...). Sans parler de la façon dont les lobbies aux intérêts bien calculés suggèrent voire écrivent carrément les lois + le manque de moyen de contrôle dans l'application des lois ou dans l'évaluation de leurs effets ou encore les portes dérobées légales et les trous dans la raquette, savamment organisés. Dans les faits la règle pratiquée en la matière est presque en tout domaine l'auto-contrôle des agents économiques: par exemple les états déléguent le contrôle des règles et des normes environnementales et sanitaires aux industriels eux-mêmes de façon purement déclarative. Ce qui donne ensuite des catastrophes comme AZF, Lubrizol, le lait pour bébé contaminé, la pollution continue des milieux naturels... En France de nombreux aspects de ces problématiques devraient être controlés par l'inspection du travail. Dont les effectifs sont seulement de 2347 agents de contrôle proprement dits et avec des moyens archaïques. Quant à la police de l'environnement (ONB, ONF, douanes, affaires maritimes...), son efficacité est globalement assez cosmétique eu égard aux outrages qui sont pratiqués.
Nous sommes des millions présent dans 194 pays qui participons à la solution : la transition est d’abord spirituelle : nous sommes des vagues qui rejoignons l’océan de la vie ( comment détruire l’environnement si c’est notre propre vie) Ensuite politique : véritable démocratie ( dialogue pour s’entendre) et souveraineté humaine ( America first ou human first) Enfin économique : de la concurrence économique à l’économie humaine en symbiose avec l’environnement ( de faire pour le profit à faire pour la vie) NAM MYOHO RENGUÉ KYO
Une économie qui ne profite qu'a une poignée de nantis, ceux la même qui approvisionnent les paradis fiscaux et qui ont l'impact écologique le plus impactant. Merci pour cette démonstration éloquente.
La maison est en fait une vaste copropriété planétaire. Comme le respect du vivant n'a jamais fait l'objet de lois qui le protègent, sa destruction continue sous l'effet du désir de quelques décideurs, autocrates, puissants écocidaires.
Je ne prends aucun exemple, chacun pourra désigner tel ou tel individu ou groupe dominant (multinationale incluse).
L'économie est loin, très loin d'appliquer quelque principe physico-logico-biologique en faveur du vivant, robuste par nature (écoutez Olivier Hamant). Sur le plan à 2 dimensions, performance - robustesse, nous avons le biais de croire à un seul onjectif, qui fragilise, pire élimine le robuste.
Bref, mal en point. Tous idiots du capitalisme concentrationnaire ...?
"la maison est en fait une vaste copropriété planétaire": si c'était le cas alors chaque co-propriétaire aurait un droit de vote à l'assemblée de la co-pro, ce qui n'est évidemment pas le cas.
"le respect du vivant n'a jamais fait l'objet de lois qui le protègent": c'est faux, en France la Charte de l'Environnement est adossée à la Constitution au même titre que la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, donc en principe au sommet de la hiérarchie des lois. Le problème est similaire à celui de l'économie: il existe en économie comme en droit une ingénierie complexe et absconse pour le profane qui permet aux supposés garants des lois et des normes de les fouler au pieds en permanence. En France c'est d'autant plus vrai que la construction européenne a permis de renverser la hiérarchie des lois en plaçant au dessus de notre Constitution les règlements et les traités rédigés et négociés par des instances non-élues et en dehors de tout contrôle démocratique. Ou alors quand il s'exerce, ces instances passent outre (cf 2005, la crise grecque...). Sans parler de la façon dont les lobbies aux intérêts bien calculés suggèrent voire écrivent carrément les lois + le manque de moyen de contrôle dans l'application des lois ou dans l'évaluation de leurs effets ou encore les portes dérobées légales et les trous dans la raquette, savamment organisés. Dans les faits la règle pratiquée en la matière est presque en tout domaine l'auto-contrôle des agents économiques: par exemple les états déléguent le contrôle des règles et des normes environnementales et sanitaires aux industriels eux-mêmes de façon purement déclarative. Ce qui donne ensuite des catastrophes comme AZF, Lubrizol, le lait pour bébé contaminé, la pollution continue des milieux naturels... En France de nombreux aspects de ces problématiques devraient être controlés par l'inspection du travail. Dont les effectifs sont seulement de 2347 agents de contrôle proprement dits et avec des moyens archaïques. Quant à la police de l'environnement (ONB, ONF, douanes, affaires maritimes...), son efficacité est globalement assez cosmétique eu égard aux outrages qui sont pratiqués.
Tout à fait d'accord à Mr Chesnay sauf pour le réchauffement climatique et les pandémies qui sont propagées par les mêmes
Nous sommes des millions présent dans 194 pays qui participons à la solution :
la transition est d’abord spirituelle : nous sommes des vagues qui rejoignons l’océan de la vie ( comment détruire l’environnement si c’est notre propre vie)
Ensuite politique : véritable démocratie ( dialogue pour s’entendre) et souveraineté humaine ( America first ou human first)
Enfin économique : de la concurrence économique à l’économie humaine en symbiose avec l’environnement ( de faire pour le profit à faire pour la vie)
NAM MYOHO RENGUÉ KYO
Des millions d utopiste qui ne méritent que le revenu universel ou le RSA 😂🙄🤨