sécheresse, grêlons, et pluies diluviennes proviennent aussi des forêts qui ont des hauteurs linéaires et permettent d'avoir de grands corridors dans lequel le vent s'engouffre en emmenant l'humidité dans la haute atmosphère.
Les forêts d'aujourd'hui sont le résultat du travail de l'homme, donc oui, on peut parler de plantation ou champ, comme dans l'agriculture. Même quand on parle de régénération naturelle, c'est le fruit de la réflexion des forestiers de laisser telle ou telle parcelle se renouveler naturellement.
Dommage que l'on ne retrouve dans se reportage que des coopératives forestières qui prône la coupe rase et des reboisement en douglas. Ou par le biais de reboisement. Même sur des terrains qui ne sont pas propice à ça plantation. Presence de calcaire actifs. Sur des terrains peut profond. Pour faire des plantations en cèdre ne savant pas même ce que la plante a besoin pour pousser. Prônant de néo reboisement. Quand on plante c'est que l'on c'est planté. Ça fait beaucoup de plantations. Car dans se reportage il est question de beaucoup de reboisement. Si je ne suis pas trop content c'est que l'on me proposait un reboisement au lieu de maintenir ce qu'il y avait en place qui n'était pas une histoire d'argent. Et de rentabilité détruire le vivant au détriment de la biodiversité et du vieillissement des parcelles. La solution c'est de pas en faire une affaire d'argent et de maintenir ce qui se régénére naturellement. Et daccompagner les bois pour faire du bois d'oeuvre, avec ce qu'il y a en place. Au lieu de faire des plantations avec de l argent public. Messieurs faites vieillir les arbres au lieu d'en faire une aberration écologiques comme économique. En plantant quand il n'y en a pas besoin. Et en appauvrissant les français par le biais d'argent public redistribuer dans des pseudos plantations.
@@sebastienraillardil n'est pas question de plaire ou déplaire. En France on cultive le bois depuis toujours, et cela dit, de moins en moins puisque la forêt croît chaque année plus que ce qu'il n'est prélevé. L'aspect économique est primaire, les autres buts sont cependant présents et considérés de nos jours bien qu'il soit secondaire à la production de bois d'œuvre de qualité. Le contexte actuel est tel que parfois planté revient moins cher qu'autrement, et même si le cèdre et le douglas sont parfois à prendre avec des pincettes, il n'empêche que c'est des choix d'actualité que de trancher rapidement d'hater l'oeuvre de la nature. Bise mon Seb chérie
Superbe émission , vraiment accessible et proche du réel
sécheresse, grêlons, et pluies diluviennes proviennent aussi des forêts qui ont des hauteurs linéaires et permettent d'avoir de grands corridors dans lequel le vent s'engouffre en emmenant l'humidité dans la haute atmosphère.
"Forêt de douglas"? Le terme plantation ou champ serait peut-être plus adapté non?
Les forêts d'aujourd'hui sont le résultat du travail de l'homme, donc oui, on peut parler de plantation ou champ, comme dans l'agriculture. Même quand on parle de régénération naturelle, c'est le fruit de la réflexion des forestiers de laisser telle ou telle parcelle se renouveler naturellement.
Comment peut-on laisser dire "pin douglas" ?
Le douglas n'est pas un pin et inversement. Ce n'est pas non plus un sapin. Le douglas est un douglas !
Dommage que l'on ne retrouve dans se reportage que des coopératives forestières qui prône la coupe rase et des reboisement en douglas. Ou par le biais de reboisement. Même sur des terrains qui ne sont pas propice à ça plantation. Presence de calcaire actifs. Sur des terrains peut profond. Pour faire des plantations en cèdre ne savant pas même ce que la plante a besoin pour pousser. Prônant de néo reboisement. Quand on plante c'est que l'on c'est planté. Ça fait beaucoup de plantations. Car dans se reportage il est question de beaucoup de reboisement. Si je ne suis pas trop content c'est que l'on me proposait un reboisement au lieu de maintenir ce qu'il y avait en place qui n'était pas une histoire d'argent. Et de rentabilité détruire le vivant au détriment de la biodiversité et du vieillissement des parcelles. La solution c'est de pas en faire une affaire d'argent et de maintenir ce qui se régénére naturellement. Et daccompagner les bois pour faire du bois d'oeuvre, avec ce qu'il y a en place. Au lieu de faire des plantations avec de l argent public. Messieurs faites vieillir les arbres au lieu d'en faire une aberration écologiques comme économique. En plantant quand il n'y en a pas besoin. Et en appauvrissant les français par le biais d'argent public redistribuer dans des pseudos plantations.
@@sebastienraillardil n'est pas question de plaire ou déplaire. En France on cultive le bois depuis toujours, et cela dit, de moins en moins puisque la forêt croît chaque année plus que ce qu'il n'est prélevé. L'aspect économique est primaire, les autres buts sont cependant présents et considérés de nos jours bien qu'il soit secondaire à la production de bois d'œuvre de qualité. Le contexte actuel est tel que parfois planté revient moins cher qu'autrement, et même si le cèdre et le douglas sont parfois à prendre avec des pincettes, il n'empêche que c'est des choix d'actualité que de trancher rapidement d'hater l'oeuvre de la nature. Bise mon Seb chérie