It is taken from the second chant, a small excerpt from the chapter starting with the words "O mathématiques sévères". The song was originally called "Muses Three" and B told during concerts that the song is based on words written by Lautreamont.
Wonderful!! I'm a huge fan of In Gowan Ring/Birch Book, but I missed out on this ep. There has been talk about reissuing this on vinyl, I really hope it will be.
B'ee's New Album: "The Serpent and the Dove" announcment and fundraiser: us8.campaign-archive2.com/?u=735e684a9b7c3b202d9525c1d&id=0e15dfa5af&e=03f614dbcd
Are you sure about that? i have read the chants ages ago and all i remember of it is pain misanthropy and decadence entwined harmonically with poetry. can you please give me a link of where i can find them or which chapter of the book can be found in? i just wrote them down by ear.
chant deuxieme has a bit about momentary inspiration toward positivity by a bosomy triple goddess of mathematics: Pendant mon enfance, vous m'apparûtes, une nuit de mai, aux rayons de la lune, sur une prairie verdoyante, aux bords d'un ruisseau limpide, tout les trois égales en grâce et en pudeur, toutes les trois pleines de majesté comme des reines. Vous fîtes quelques pas vers moi, avec votre longue robe, flottante comme une vapeur, et vous m'attirâtes vers vos frères mamelles, comme un fils béni. Alors, j'accourus avec empressement, mes mains crispées sur votre blanche gorge. Je me suis nourri, avec reconnaissance, de votre manne féconde, et j'ai senti que l'humanité grandissait en moi et devenait meilleure. Depuis ce temps, ô déesses rivales, je ne vous ai pas abandonnées. Depuis ce temps, que de projets énergiques, que de sympathies, que je croyais avoir gravées sur les pages de mon cœur, comme sur du marbre, n'ont-elles pas effacé lentement, de ma raison désabusée, leurs lignes configuratives, comme l'aube naissante efface les ombres de la nuit!
the most sweetest song of ever... great!
It is taken from the second chant, a small excerpt from the chapter starting with the words "O mathématiques sévères". The song was originally called "Muses Three" and B told during concerts that the song is based on words written by Lautreamont.
My favorite is Hazel Steps. But this is still awesome!
just lovely!thank u!sidi
♡...
same feelings :)))
Wonderful!! I'm a huge fan of In Gowan Ring/Birch Book, but I missed out on this ep. There has been talk about reissuing this on vinyl, I really hope it will be.
yes indeed one of the sweetest ever....thanx for the comment..
Wonderful song. By the way, the lyrics are actually taken from "The Chants Of Maldoror" by Lautreamont.
B'ee's New Album: "The Serpent and the Dove" announcment and fundraiser:
us8.campaign-archive2.com/?u=735e684a9b7c3b202d9525c1d&id=0e15dfa5af&e=03f614dbcd
Fuckin awesome
Are you sure about that? i have read the chants ages ago and all i remember of it is pain misanthropy and decadence entwined harmonically with poetry. can you please give me a link of where i can find them or which chapter of the book can be found in? i just wrote them down by ear.
chant deuxieme has a bit about momentary inspiration toward positivity by a bosomy triple goddess of mathematics:
Pendant mon enfance, vous m'apparûtes, une nuit de mai, aux rayons de la lune, sur une prairie verdoyante, aux bords d'un ruisseau limpide, tout les trois égales en grâce et en pudeur, toutes les trois pleines de majesté comme des reines. Vous fîtes quelques pas vers moi, avec votre longue robe, flottante comme une vapeur, et vous m'attirâtes vers vos frères mamelles, comme un fils béni. Alors, j'accourus avec empressement, mes mains crispées sur votre blanche gorge. Je me suis nourri, avec reconnaissance, de votre manne féconde, et j'ai senti que l'humanité grandissait en moi et devenait meilleure. Depuis ce temps, ô déesses rivales, je ne vous ai pas abandonnées. Depuis ce temps, que de projets énergiques, que de sympathies, que je croyais avoir gravées sur les pages de mon cœur, comme sur du marbre, n'ont-elles pas effacé lentement, de ma raison désabusée, leurs lignes configuratives, comme l'aube naissante efface les ombres de la nuit!