Vous avez raison concernant ce magnifique hommage, cette brillante adaptation personnelle. Cependant "La grande solidarité des poètes et des esprits révoltés" comme vous l'évoquez, on l'aura guère entendue lors de l'Inoculation voulue et générale de populations en bonne santé, au départ, avant que... Qu'en dites-vous Jean-Pierre ?
Au commentaire de pov’tip je réponds juste q ds les circonstances qu’il évoque à sa façon ( et quelle façon !!), on a surtout entendu bcp de sons de cloches….
@@jean-pierrebernigaud8130 Les histoires de business nous en sommes tributaires, à moins de résider sur une île déserte... Tous n'ont pas cette chance. Quant aux "pseudo certitudes", qu'entendez-vous par ça ?
Y como dice un compañero " ¡¡O cómo la tarantela se convierte en zarzuela !! Muy conmovedor el acento de Paco Ibáñez, Franco está totalmente enterrado, por una vez." ... Esto lo espero !!! Parlez-moi de la pluie et non pas du beau temps Le beau temps me dégoûte et me fait grincer les dents Le bel azur me met en rage Car le plus grand amour qui me fut donné sur terre Je le dois au mauvais temps, je le dois à Jupiter Il me tomba d'un ciel d'orage Par un soir de novembre, à cheval sur les toits Un vrai tonnerre de Brest avec des cris de putois Allumait ses feux d'artifice Bondissant de sa couche, en costume de nuit Ma voisine affolée vint cogner à mon huis En réclamant mes bons offices Je suis seule et j'ai peur, ouvrez-moi par pitié Mon époux vient de partir faire son dur métier Pauvre malheureux mercenaire Contraint de coucher dehors quand il fait mauvais temps Pour la bonne raison qu'il est représentant D'une maison de paratonnerres En bénissant le nom de Benjamin Franklin Je l'ai mise en lieu sûr entre mes bras câlins Et puis l'amour a fait le reste Toi qui sèmes des paratonnerres à foison Que n'en as-tu planté sur ta propre maison Erreur on ne peut plus funeste Quand Jupiter alla se faire entendre ailleurs La belle ayant enfin conjuré sa frayeur Et recouvré tout son courage Rentra dans ses foyers, faire sécher son mari En me donnant rendez-vous les jours d'intempérie Rendez-vous au prochain orage À partir de ce jour je n'ai plus baissé les yeux J'ai consacré mon temps à contempler les cieux À regarder passer les nues À guetter les stratus, à lorgner les nimbus À faire les yeux doux aux moindres cumulus Mais elle n'est pas revenue Son bonhomme de mari avait tant fait d'affaires Tant vendu ce soir-là de petits bouts de fer Qu'il était devenu millionnaire Et l'avait emmenée vers des cieux toujours bleus Des pays imbéciles où jamais il ne pleut Où l'on ne sait rien du tonnerre Dieu fasse que ma complainte aille tambour battant Lui parler de la pluie, lui parler du gros temps Auquel on a tenu tête ensemble Lui conter qu'un certain coup de foudre assassin Dans le mille de mon coeur a laissé le dessin D'une petite fleur qui lui ressemble.... ***** Letra en español : Habladme de la lluvia y no del buen tiempo, el buen tiempo me disgusta y me hace rechinar los dientes, el azul del cielo me pone furioso pues el amor más grande que he tenido aquí en la tierra se lo debo al mal tiempo, se lo debo a Júpiter, me cayó de un cielo tormentoso. Una noche de noviembre, a caballo sobre los tejados, un señor trueno, con un ruido de mil demonios, encendía sus fuegos de artificio, saltando de su cama en camisón mi vecina enloquecida vino a llamar a mi puerta solicitando mis buenos quehaceres “Estoy sola y tengo miedo, ábrame, por favor, mi esposo acaba de irse a realizar su dura tarea, pobre mercenario desafortunado, obligado a dormir fuera cuando hace mal tiempo por la simple razón de que es representante de una casa de pararrayos” Bendiciendo el nombre de Benjamín Franklin la puse en sitio seguro entre mis brazos cariñosos, y luego el amor hizo el resto. Tú, que siembras pararrayos por doquier, ¿qué no has puesto uno en tu propia casa? Error no lo hay más funesto. Cuando Júpiter fue a hacerse oír en otra parte, la guapa, habiendo por fin conjurado su temor y habiendo recobrado todo su coraje volvió a su casa para secar a su marido dándome cita para los días de intemperie, cita en la próxima tormenta. A partir de ese día ya no he bajado la mirada, he consagrado mis días a contemplar los cielos, a mirar pasar las nubes, a acechar los estratos, a vigilar los nimbos, a rogarle a los menores cúmulos, pero ella no ha vuelto. Su buen marido había hecho tantos negocios, vendido tantas puntitas de hierro aquella noche que se convirtió en millonario y se la llevó hacía cielos siempre azules, hacia países tontos donde nunca llueve donde no se sabe nada de los truenos. Dios quiera que mi queja vaya, corriendo corriendo, a hablarle de la lluvia, a hablarle del mal tiempo en el que estuvimos juntos a contarle que cierto rayo asesino en el centro de mi corazón ha dejado el dibujo de una florecilla que se le parece.
Excellente traduction !!! Il existe par ailleurs une excellente transposition en Espagnol, écrite (et interprétée) par Horacio Cervan, forcément différente pour cause de rythme et de rimes. ruclips.net/video/zhCffnhDGVk/видео.html, et par Eduardo Peralta : ruclips.net/video/PJxOuPKHFCY/видео.html
@@anselmo937 Possible que Franco, lui, ne vous l'aurait ni mis dans l'cul, ni dans l'bras... cette inoculation récurrente, adaptée à la passivité d'un public hébété, cathodique raie-publicain !? Tant que ça marche EUX jouent, dans l'cul du populo... Dans le mille de leur cul ! Cependant, magnifique hommage, brillante adaptation personnelle de Paco !
Quel bonheur Brassens par Oaco Ibanez!!!!!!!
Extrêmement émouvant. Un régal. Douceur, chaleur humaine, simplicité ... et tout l'immense talent de Brassens dans cette chanson.
Humilité 😇
merci pour cet hommage a brassens super voix
La grande solidarité des poètes et des esprits révoltés
Admiration.
Vous avez raison concernant ce magnifique hommage, cette brillante adaptation personnelle.
Cependant "La grande solidarité des poètes et des esprits révoltés" comme vous l'évoquez, on l'aura guère entendue lors de l'Inoculation voulue et générale de populations en bonne santé, au départ, avant que...
Qu'en dites-vous Jean-Pierre ?
Au commentaire de pov’tip je réponds juste q ds les circonstances qu’il évoque à sa façon ( et quelle façon !!), on a surtout entendu bcp de sons de cloches….
@@jean-pierrebernigaud8130
Ceux qui tiennent le business des Zaiguilles tiennent également le business des Sons de cloches.
Rien qui m’emmerde plus q les histoires de bizness sauf peut-être les pseudo certitudes.
@@jean-pierrebernigaud8130
Les histoires de business nous en sommes tributaires, à moins de résider sur une île déserte... Tous n'ont pas cette chance.
Quant aux "pseudo certitudes", qu'entendez-vous par ça ?
Super, la voix de Paco apporte un très bel "eclair"à cet orage une de mes chansons préférée de Brassens ,merci pour ce joli partage .
Sacré hommage à Brassens , je ne connaissais pas et maintenant je l'écoute tous les jours ❤
Merci Paco. Magnifique
C’est super cette interpretation 😍
Bravo !
Merci CherPaco vous nous,me rafraîchissant l'Âme si blessée par les horreurs des discours guerriers et mensongers de nos "elitrs"❤
Génial !
Sublime ! Merci
J'aime beaucoup ❤️
Moi aussi !
Quelle voix chaleureuse ! 😎🐓
J'aime toujours toujours autant et Georges et Paco et leurs 2 langues ❤💙
Y como dice un compañero " ¡¡O cómo la tarantela se convierte en zarzuela !! Muy conmovedor el acento de Paco Ibáñez, Franco está totalmente enterrado, por una vez." ... Esto lo espero !!!
Parlez-moi de la pluie et non pas du beau temps
Le beau temps me dégoûte et me fait grincer les dents
Le bel azur me met en rage
Car le plus grand amour qui me fut donné sur terre
Je le dois au mauvais temps, je le dois à Jupiter
Il me tomba d'un ciel d'orage
Par un soir de novembre, à cheval sur les toits
Un vrai tonnerre de Brest avec des cris de putois
Allumait ses feux d'artifice
Bondissant de sa couche, en costume de nuit
Ma voisine affolée vint cogner à mon huis
En réclamant mes bons offices
Je suis seule et j'ai peur, ouvrez-moi par pitié
Mon époux vient de partir faire son dur métier
Pauvre malheureux mercenaire
Contraint de coucher dehors quand il fait mauvais temps
Pour la bonne raison qu'il est représentant
D'une maison de paratonnerres
En bénissant le nom de Benjamin Franklin
Je l'ai mise en lieu sûr entre mes bras câlins
Et puis l'amour a fait le reste
Toi qui sèmes des paratonnerres à foison
Que n'en as-tu planté sur ta propre maison
Erreur on ne peut plus funeste
Quand Jupiter alla se faire entendre ailleurs
La belle ayant enfin conjuré sa frayeur
Et recouvré tout son courage
Rentra dans ses foyers, faire sécher son mari
En me donnant rendez-vous les jours d'intempérie
Rendez-vous au prochain orage
À partir de ce jour je n'ai plus baissé les yeux
J'ai consacré mon temps à contempler les cieux
À regarder passer les nues
À guetter les stratus, à lorgner les nimbus
À faire les yeux doux aux moindres cumulus
Mais elle n'est pas revenue
Son bonhomme de mari avait tant fait d'affaires
Tant vendu ce soir-là de petits bouts de fer
Qu'il était devenu millionnaire
Et l'avait emmenée vers des cieux toujours bleus
Des pays imbéciles où jamais il ne pleut
Où l'on ne sait rien du tonnerre
Dieu fasse que ma complainte aille tambour battant
Lui parler de la pluie, lui parler du gros temps
Auquel on a tenu tête ensemble
Lui conter qu'un certain coup de foudre assassin
Dans le mille de mon coeur a laissé le dessin
D'une petite fleur qui lui ressemble....
*****
Letra en español :
Habladme de la lluvia y no del buen tiempo,
el buen tiempo me disgusta y me hace rechinar los dientes,
el azul del cielo me pone furioso
pues el amor más grande que he tenido aquí en la tierra
se lo debo al mal tiempo, se lo debo a Júpiter,
me cayó de un cielo tormentoso.
Una noche de noviembre, a caballo sobre los tejados,
un señor trueno, con un ruido de mil demonios,
encendía sus fuegos de artificio,
saltando de su cama en camisón
mi vecina enloquecida vino a llamar a mi puerta
solicitando mis buenos quehaceres
“Estoy sola y tengo miedo, ábrame, por favor,
mi esposo acaba de irse a realizar su dura tarea,
pobre mercenario desafortunado,
obligado a dormir fuera cuando hace mal tiempo
por la simple razón de que es representante
de una casa de pararrayos”
Bendiciendo el nombre de Benjamín Franklin
la puse en sitio seguro entre mis brazos cariñosos,
y luego el amor hizo el resto.
Tú, que siembras pararrayos por doquier,
¿qué no has puesto uno en tu propia casa?
Error no lo hay más funesto.
Cuando Júpiter fue a hacerse oír en otra parte,
la guapa, habiendo por fin conjurado su temor
y habiendo recobrado todo su coraje
volvió a su casa para secar a su marido
dándome cita para los días de intemperie,
cita en la próxima tormenta.
A partir de ese día ya no he bajado la mirada,
he consagrado mis días a contemplar los cielos,
a mirar pasar las nubes,
a acechar los estratos, a vigilar los nimbos,
a rogarle a los menores cúmulos,
pero ella no ha vuelto.
Su buen marido había hecho tantos negocios,
vendido tantas puntitas de hierro aquella noche
que se convirtió en millonario
y se la llevó hacía cielos siempre azules,
hacia países tontos donde nunca llueve
donde no se sabe nada de los truenos.
Dios quiera que mi queja vaya, corriendo corriendo,
a hablarle de la lluvia, a hablarle del mal tiempo
en el que estuvimos juntos
a contarle que cierto rayo asesino
en el centro de mi corazón ha dejado el dibujo
de una florecilla que se le parece.
Excellente traduction !!! Il existe par ailleurs une excellente transposition en Espagnol, écrite (et interprétée) par Horacio Cervan, forcément différente pour cause de rythme et de rimes. ruclips.net/video/zhCffnhDGVk/видео.html, et par Eduardo Peralta : ruclips.net/video/PJxOuPKHFCY/видео.html
Très intéressant. Merci.
Muchas Gracias por compartir.
50 anys que escolto paco Ibáñez
Yo tambien !
en hora buena !
Ou comment la tarentelle devient zarzuela !! Très émouvant l'accent de Paco Ibanez, Franco est totalement enterré, pour le coup.
On doit avoir les mêmes idées, jaajajaja .... Sublime Paco !!!
Malheureusement pas entièrement enterré...
🌻
@@anselmo937
Possible que Franco, lui, ne vous l'aurait ni mis dans l'cul, ni dans l'bras... cette inoculation récurrente, adaptée à la passivité d'un public hébété, cathodique raie-publicain !?
Tant que ça marche EUX jouent, dans l'cul du populo... Dans le mille de leur cul !
Cependant, magnifique hommage, brillante adaptation personnelle de Paco !
Superbe
PAS MAL Paco j aime bien
classe