Excellente analyse, pour ma part j'ai découvert ce film que très récemment et il m'a fallu un second visionnage vraiment l'apprécier, c'est une claque à tous les niveaux !
Effectivement, Miami Vice sort de l'enclos carcéral / urbain indépassable établi dans Jericho, Thief, Heat et Collateral. Voir comment GTA retraduit Michael Mann est à ce titre passionnant cf. le parallèle avec le jeu vidéo.
Un grand merci à vous pour avoir retranscrit cette présentation avec une telle qualité audio ! Vivement la suite du cycle en vidéo ! (Signé un triste cinéphile belge ne pouvant pas participer au cycle)
Je lis certain commentaire aberrant qui insulte le film , ou qui se moque de la démonstration de Thoret sur le film miami vice , même presque 20 ans plus tard Miami vice reste un film extraordinaire, peu être un des plus grand de l’histoire sans aucune exagération, c’est une Maurice pour le cinéma d’après , je veut citer harmony korrine , qui s’en est inspirer pour son film spring breaks .. je veut aussi citer le prochain GTA 6 , j’invite tout le monde à aller voir le teaser , plusieurs scènes de Miami vice sans refaite , c’est dire à quel point ce film .. était en avance sur son temps .. sur son analyse du monde , et de cette guerre narco capitaliste dans le monde .. avec au milieu une idylle utopique sidérante .. en 2006 sort un album du groupe Clipse , hell hath no fury .. qui l’équivalent de Miami vice en album de musique .. je veut citer cette référence et le pont entre ces deux œuvre qui traite avec le même angle , la coke et son capitalisme .. Thoret est toujours impeccable
@@miamicool666 Je parlais du feuilleton ; c'était un ami qui m'avait dit ça (et comme je connais Jan Hammer (du Mahavishnu orchestra à plusieurs albums dont Stanley Clarke avec Tony Williams en 1974)
Si vous désirez aller moins loin (Thoret above all) mais quelque part quand même : voilà une émission radio sur le cinéma de Michael Mann qui revient largement sur son dernier film à ce jour Black Hat ruclips.net/video/eo1sGPT82hE/видео.html
Je ne peux ici m'empêcher de souligner l'importance cruciale de la série "Miami Vice" ('2 flics à Miami') des années 1980, sur son aspect sombre émotivement et cinématographiquement, qu'on a peut-être tendance à amoindrir à cause des couleurs pastels, mais au contraire, Michael Mann a su mettre en symbiose ces 2 contrastes avec brio. Par exemple, "Miami Vice" a été une des 1ères séries télévisées à traiter du SIDA, avec la scène de la mort du sidatique dans l'épisode "God's Work", à travers une musique triste, prenante. Ou encore la fameuse scène du 1er épisode avec la musique 'In the Air tonight' de Phil Collins, avec ces silences introspectifs, (caméra sur le côté de la voiture, etc). Et sans oublier la scène finale avec la musique 'Brothers in arms' de Dire Straits, dans l'épisode "Out Where The Buses Don't Run". Et que dire de la scène finale avec "Evan", torturé intérieurement par le suicide d'un policier, par sa faute, à cause de ses jugements homophobes envers son collègue. Les finales de "Miami Vice" finissaient souvent mal, dans la mélancolie, à travers un regard désabusé de Don Johnson. Cet acteur étant un des meilleurs de sa génération, car tout passait dans son language du corps, dans ses yeux, avant même qu'il dise quoi que ce soit, on ressentait l'amertume de son personnage, (voir les finales de "Evan", "Death and the Lady", "Milk Run", "The Good Collar"). Et que dire de la musique choisie, elle était un personnage à elle seule. Le mandat étant de faire à l'époque un 'rock beat cop show' inspirée de la chaîne musicale MTV, cette musique servira comme appui aux scènes dans le ressenti, et cette série allant même jusqu'à faire du montage dans la pièce musicale pour servir la scène. Par exemple, celle du sidatique mourant, il y eu 2 coupes pour faire arriver au moment crucial entre autre les chants grégoriens au bon moment. Même dans la pièce 'in the air Tonight' de Phil Collins au tout 1er épisode, on fait arriver le climax de la voix de Phil Collins tout de suite après les fameux sons intenses du solo de batteries. On risquera dans les choix musicaux des groupes à contre courant de l'époque, comme 'Jesus and Mary Chain' qui appuie fortement avec malaise le meurtre gratuit du père catholique dans "God's Work", et le groupe 'Dead Can Dance' pour la scène d'ouverture de l'épisode "Victims of Circumstance", dans un décor déconcertant à la 'Docteur Caligari', avec ce vieux personnage effrayé à travers les néons. Mann savait déjà à ce moment là intégrer malaise, tristesse, action et drame, avec un esthétisme cinématographique soigné et inégalé.
Je suis un fan de Colin Farrell, pourtant, aussi excellent comédien soit-il, je trouve, et ça n'engage que moi, qu'il ne colle pas forcément au personnage de James "Sonny" Crockett. Il est évident que pour cette adaptation, certes magistrale, de Mann par Mann, il eût été difficile de rappeler Don Johnson à la barre, tout comme son acolyte... cela dit, je pense que Farrell adopte un style et une prestance un peu terne et/ou nonchalante... L'antagonisme que voulait probablement faire ressortir Mann... Il est clair que cette version se veut beaucoup plus dark que la série en elle-même. Néanmoins, Johnson apportait un relief différent au personnage qui laisse certains adeptes de la série, quelque peu... déconcertés... Cela n'enlève et n'entâche en rien la vue artistique et la mise en scène chirurgicale d'un style déjà devenu culte par son réalisateur! Respect et admiration. Un fan helvétique.
Je vois ce que tu veux dire et je le regrettais un peu aussi à la sortie du film, mais je trouve l'interprétation de Farrell fascinante dans son genre, et elle n'est d'ailleurs pas si éloignée de sa prestation chez Malick la même année (même registre romantique). Par ailleurs on dit beaucoup que le film n'a rien à voir avec la série mais la plupart des ressorts scénaristiques du film provenaient de différents épisodes de la série. De même les thèmes abordés étaient souvent d'une noirceur absolue comme le rappelle très justement Jean-Baptiste Thoret.
mobbaddict Certes, le scénario du film est en partie ou quasi infusé de l'épisode de la 2ème saison scindé en deux parties "The Prodigal Son". Pour le reste, je pense que Farrell est un des meilleurs comédiens de sa génération (impressionnant dans "Phone Booth"), qui restera marqué et marquant. Néanmoins, je réitère le fait qu'il n'est pas tout à fait à l'aise dans les mocassins de Crockett... cela dit, je pense que son interprétation bouillonne énormément à l'intérieur pour presque s'en effacer à l'extérieur... c'est une conception certainement demandée par Mann et qui passe probablement pour bon nombre de spectateurs, vous y compris :-), mais pour ma part, je reste un peu sur ma faim... Peut-être qu'en le visionnant encore quelques fois... comme on dit, y a que les imbéciles qui ne changent d'avis! :-) Bien du plaisir de partager nos impressions communes, je suis pratiquement toutes les interventions de Maître Thoret, donc, je pense que nous aurons encore l'opportunité de croiser la plume dans un avenir proche! :-)
Sublime intervention, mais... pour repondre a la premiere question... il me semble totalement pertinent que Sonny attache "sa femme" dans la voiture, comme symptome de la violence latente du capitalisme en perte de controle + en particulier d'un homme sur une femme. C'est peut etre le seul petit detail qui manque au discours de Thoret il me semble... car la masculinité dans les films de Mann n'est pas anodine et fait totalement corps avec la critique du capitalisme !
Certes pour MIAMI VICE but filmé en DV et effectivement, fan de la série et déçu par la version ciné ! :-( La série MIAMI VICE + MTV + MANN, c'était le trio gagnant dans les 80's. Pour HEAT, merci de rappeler que c'est la version ciné de L.A. TAKEDOWN conçu pour la télé ! ;-)
Chez Mann, tout les personnages sont toujours les meilleurs dans leur domaine. Le meilleur flic. Le meilleur gangster. Le meilleur chauffeur de taxi. Le plus grand tueur. Le meilleur hacker ("toutes ces informations sont là, elles flottent dans l'air, et moi, je sais les capter..."). Même ses piétons sont toujours des putains de piétons. Je veux bien réviser mon Mann parce que c'est un réalisateur pour qui j'ai beaucoup d'affection, mais le plus grand réalisateur américain en activité ?... Sérieusement ? Il est quand même excessivement kitsch et rien dans ses films n'indique quelque recul sur ce kitsch.
"The Keep", un déchet ? C'est honteux de dire ça, même en facilité de langage. Ce film est un sujet terriblement complexe qu'il faut éviter de réduire à un simple échec ou simple film charcuté ou pas fini. Ce n'est pas parce que Mann crache sur ce film avec la moitié de la planète qu'il faut faire pareil. Grosse erreur. Cela dit, le reste est intéressant, même si la force de "Miami Vice" est ici un peu beaucoup légèrement gonflée. "The Insider" me semble très très au-dessus.
Ecoute. J'ai vu une seule fois La Forteresse Noire de Mann et pareil....Le film n'est pas un grand Film....Mais n'est absolument pas la merde comme le monde s'incline à le penser.... Je l'ai sur mon disque dur...et par resonnance et confirmation, je le regarde une seconde fois....qui est le minimun pour un film....Deux visions minimun
@@stephanegozlan3056 C'est ne pas très sympathique ce que tu écris à cette personne. Qui a posté ce com i y a 4 ans....... Cette personne aime peut être le film sans être cinephile.... etc... Bien à toi l'ami...
Ce film est laid, mal découpé et les cadrages...au secours! Ce rendu numérique des images est affreux, catastrophique. Ce montage! Quel découpage de chiotte. Impossible de rentrer dans le film, on dirait du Dogma surproduit. A côté de ce film, le Herzog de 2009, "Bad lieutenant: escale à La Nouvelle-Orléans, est presque beau, c'est vous dire à quel bon ça daube!
Oh punaise les connerie qu'il faut pas lire parfois. Le simple fait de comparer l'utilisation de la vidéo et du numérique avec les films montrent la méconnaissance totale du guen sur le sujet..
Donne envie de revoir le film. Encore une fois, Thoret remplit sa mission 😉
Je découvre Thoret, il est fantastique, je vais aller voir ses autres conférences!
Merci ☆☆☆☆☆
Passionnant. JB Thoret me fait penser au flic de Manhunter : c'est le seul capable de rentrer dans la tête des plus grands cinéastes.:)
Toujours un plaisir d'écouter Jean-Baptiste Thoret ! Merci beaucoup de mettre les vidéos de toutes ses présentations passionnantes en ligne !
Je viens de passer la meilleure heure de la semaine.
Excellente analyse, pour ma part j'ai découvert ce film que très récemment et il m'a fallu un second visionnage vraiment l'apprécier, c'est une claque à tous les niveaux !
Merci. JB Thoret égal à lui-même toujours aussi fascinant.
Effectivement, Miami Vice sort de l'enclos carcéral / urbain indépassable établi dans Jericho, Thief, Heat et Collateral. Voir comment GTA retraduit Michael Mann est à ce titre passionnant cf. le parallèle avec le jeu vidéo.
Une analyse passionnante, qui me donne envie de revoir le film. Merci.
Un grand merci à vous pour avoir retranscrit cette présentation avec une telle qualité audio ! Vivement la suite du cycle en vidéo ! (Signé un triste cinéphile belge ne pouvant pas participer au cycle)
Enfin. Toujours aussi intéressant, merci beaucoup.
Un mot : brillant.
Idem !
Je lis certain commentaire aberrant qui insulte le film , ou qui se moque de la démonstration de Thoret sur le film miami vice , même presque 20 ans plus tard Miami vice reste un film extraordinaire, peu être un des plus grand de l’histoire sans aucune exagération, c’est une Maurice pour le cinéma d’après , je veut citer harmony korrine , qui s’en est inspirer pour son film spring breaks .. je veut aussi citer le prochain GTA 6 , j’invite tout le monde à aller voir le teaser , plusieurs scènes de Miami vice sans refaite , c’est dire à quel point ce film .. était en avance sur son temps .. sur son analyse du monde , et de cette guerre narco capitaliste dans le monde .. avec au milieu une idylle utopique sidérante .. en 2006 sort un album du groupe Clipse , hell hath no fury .. qui l’équivalent de Miami vice en album de musique .. je veut citer cette référence et le pont entre ces deux œuvre qui traite avec le même angle , la coke et son capitalisme .. Thoret est toujours impeccable
Le meilleur film du Mann
Suis-je le seul à aimer à la fois la série, que j'ai vue en intégralité, et le film, désormais dans mon top 3 ?
Oui ; il est de fait que je vais le rerereregarder une fois encore (Ce n'est pas Jan Hammer qui a créé la musique de Miami Vice ?)
Hélas non, c'est un certain John Murphy.
@@miamicool666 Je parlais du feuilleton ; c'était un ami qui m'avait dit ça (et comme je connais Jan Hammer (du Mahavishnu orchestra à plusieurs albums dont Stanley Clarke avec Tony Williams en 1974)
L'ouverture sur la mer est importante en terme de sens. Cet épisode de la filmographie de Michael Mann donne une place plus grande aux femmes.
Si vous désirez aller moins loin (Thoret above all) mais quelque part quand même : voilà une émission radio sur le cinéma de Michael Mann qui revient largement sur son dernier film à ce jour Black Hat ruclips.net/video/eo1sGPT82hE/видео.html
De plus les paroles de la chansons de phil collins/nonpoint colle bien au boulot d'indic et surtout au film!
C est exactement ce que je pense du film : le film définitif sur la mondialisation
Je ne peux ici m'empêcher de souligner l'importance cruciale de la série "Miami Vice" ('2 flics à Miami') des années 1980, sur son aspect sombre émotivement et cinématographiquement, qu'on a peut-être tendance à amoindrir à cause des couleurs pastels, mais au contraire, Michael Mann a su mettre en symbiose ces 2 contrastes avec brio. Par exemple, "Miami Vice" a été une des 1ères séries télévisées à traiter du SIDA, avec la scène de la mort du sidatique dans l'épisode "God's Work", à travers une musique triste, prenante. Ou encore la fameuse scène du 1er épisode avec la musique 'In the Air tonight' de Phil Collins, avec ces silences introspectifs, (caméra sur le côté de la voiture, etc). Et sans oublier la scène finale avec la musique 'Brothers in arms' de Dire Straits, dans l'épisode "Out Where The Buses Don't Run". Et que dire de la scène finale avec "Evan", torturé intérieurement par le suicide d'un policier, par sa faute, à cause de ses jugements homophobes envers son collègue. Les finales de "Miami Vice" finissaient souvent mal, dans la mélancolie, à travers un regard désabusé de Don Johnson. Cet acteur étant un des meilleurs de sa génération, car tout passait dans son language du corps, dans ses yeux, avant même qu'il dise quoi que ce soit, on ressentait l'amertume de son personnage, (voir les finales de "Evan", "Death and the Lady", "Milk Run", "The Good Collar"). Et que dire de la musique choisie, elle était un personnage à elle seule. Le mandat étant de faire à l'époque un 'rock beat cop show' inspirée de la chaîne musicale MTV, cette musique servira comme appui aux scènes dans le ressenti, et cette série allant même jusqu'à faire du montage dans la pièce musicale pour servir la scène. Par exemple, celle du sidatique mourant, il y eu 2 coupes pour faire arriver au moment crucial entre autre les chants grégoriens au bon moment. Même dans la pièce 'in the air Tonight' de Phil Collins au tout 1er épisode, on fait arriver le climax de la voix de Phil Collins tout de suite après les fameux sons intenses du solo de batteries. On risquera dans les choix musicaux des groupes à contre courant de l'époque, comme 'Jesus and Mary Chain' qui appuie fortement avec malaise le meurtre gratuit du père catholique dans "God's Work", et le groupe 'Dead Can Dance' pour la scène d'ouverture de l'épisode "Victims of Circumstance", dans un décor déconcertant à la 'Docteur Caligari', avec ce vieux personnage effrayé à travers les néons. Mann savait déjà à ce moment là intégrer malaise, tristesse, action et drame, avec un esthétisme cinématographique soigné et inégalé.
Whaouh....Je crois que l'on a à faire à un gros connaisseur de la série....Je me permets d'employer ce mot barbare de fan...non ?
38:45 j'aimerais tellement consulter le script du personnage de Vincent dans Collateral...
Mann et Fincher ont l'air d'avoir beaucoup de points communs
Heat, 1995. J'adore surprendre les erreurs de Thoret. C'est la preuve qu'il est humain et je l'admire d'autant plus.
J'ai plus envie d'Air France que d'Emirates moi, mais c'est ton choix JBT
J'adore Thoret mais je ne le comprends pas du tout sur le cinéma de Mann...
Je suis un fan de Colin Farrell, pourtant, aussi excellent comédien soit-il, je trouve, et ça n'engage que moi, qu'il ne colle pas forcément au personnage de James "Sonny" Crockett. Il est évident que pour cette adaptation, certes magistrale, de Mann par Mann, il eût été difficile de rappeler Don Johnson à la barre, tout comme son acolyte... cela dit, je pense que Farrell adopte un style et une prestance un peu terne et/ou nonchalante... L'antagonisme que voulait probablement faire ressortir Mann... Il est clair que cette version se veut beaucoup plus dark que la série en elle-même. Néanmoins, Johnson apportait un relief différent au personnage qui laisse certains adeptes de la série, quelque peu... déconcertés... Cela n'enlève et n'entâche en rien la vue artistique et la mise en scène chirurgicale d'un style déjà devenu culte par son réalisateur! Respect et admiration. Un fan helvétique.
Je vois ce que tu veux dire et je le regrettais un peu aussi à la sortie du film, mais je trouve l'interprétation de Farrell fascinante dans son genre, et elle n'est d'ailleurs pas si éloignée de sa prestation chez Malick la même année (même registre romantique).
Par ailleurs on dit beaucoup que le film n'a rien à voir avec la série mais la plupart des ressorts scénaristiques du film provenaient de différents épisodes de la série. De même les thèmes abordés étaient souvent d'une noirceur absolue comme le rappelle très justement Jean-Baptiste Thoret.
mobbaddict Certes, le scénario du film est en partie ou quasi infusé de l'épisode de la 2ème saison scindé en deux parties "The Prodigal Son". Pour le reste, je pense que Farrell est un des meilleurs comédiens de sa génération (impressionnant dans "Phone Booth"), qui restera marqué et marquant. Néanmoins, je réitère le fait qu'il n'est pas tout à fait à l'aise dans les mocassins de Crockett... cela dit, je pense que son interprétation bouillonne énormément à l'intérieur pour presque s'en effacer à l'extérieur... c'est une conception certainement demandée par Mann et qui passe probablement pour bon nombre de spectateurs, vous y compris :-), mais pour ma part, je reste un peu sur ma faim... Peut-être qu'en le visionnant encore quelques fois... comme on dit, y a que les imbéciles qui ne changent d'avis! :-) Bien du plaisir de partager nos impressions communes, je suis pratiquement toutes les interventions de Maître Thoret, donc, je pense que nous aurons encore l'opportunité de croiser la plume dans un avenir proche! :-)
une pub pr Lucky Star plutôt (pas Lucky Strike) /
Sublime intervention, mais... pour repondre a la premiere question... il me semble totalement pertinent que Sonny attache "sa femme" dans la voiture, comme symptome de la violence latente du capitalisme en perte de controle + en particulier d'un homme sur une femme. C'est peut etre le seul petit detail qui manque au discours de Thoret il me semble... car la masculinité dans les films de Mann n'est pas anodine et fait totalement corps avec la critique du capitalisme !
Certes pour MIAMI VICE but filmé en DV et effectivement, fan de la série et déçu par la version ciné ! :-( La série MIAMI VICE + MTV + MANN, c'était le trio gagnant dans les 80's. Pour HEAT, merci de rappeler que c'est la version ciné de L.A. TAKEDOWN conçu pour la télé ! ;-)
Chez Mann, tout les personnages sont toujours les meilleurs dans leur domaine.
Le meilleur flic. Le meilleur gangster. Le meilleur chauffeur de taxi. Le plus grand tueur. Le meilleur hacker ("toutes ces informations sont là, elles flottent dans l'air, et moi, je sais les capter...").
Même ses piétons sont toujours des putains de piétons.
Je veux bien réviser mon Mann parce que c'est un réalisateur pour qui j'ai beaucoup d'affection, mais le plus grand réalisateur américain en activité ?... Sérieusement ?
Il est quand même excessivement kitsch et rien dans ses films n'indique quelque recul sur ce kitsch.
Tout est question de subjectivité. Medhi. Rien de plus.
Bien à Toi.....
almann brothers du hardcore hi hi il a fumé ou quoi? :p
Il quitte Mauvais Genres :((((
Oh shit !
La condition humaine aussi c est des a coups.
"The Keep", un déchet ? C'est honteux de dire ça, même en facilité de langage. Ce film est un sujet terriblement complexe qu'il faut éviter de réduire à un simple échec ou simple film charcuté ou pas fini. Ce n'est pas parce que Mann crache sur ce film avec la moitié de la planète qu'il faut faire pareil. Grosse erreur. Cela dit, le reste est intéressant, même si la force de "Miami Vice" est ici un peu beaucoup légèrement gonflée. "The Insider" me semble très très au-dessus.
Ecoute. J'ai vu une seule fois La Forteresse Noire de Mann et pareil....Le film n'est pas un grand Film....Mais n'est absolument pas la merde comme le monde s'incline à le penser....
Je l'ai sur mon disque dur...et par resonnance et confirmation, je le regarde une seconde fois....qui est le minimun pour un film....Deux visions minimun
100% de votre avis. Bravo pour votre analyse.
Je ne comprends casiment rien ^_^
C'est certain quand on écrit quasiment comme tu l'écris, c'est normal que tu ne comprennes rien
@@stephanegozlan3056
C'est ne pas très sympathique ce que tu écris à cette personne. Qui a posté ce com i y a 4 ans.......
Cette personne aime peut être le film sans être cinephile.... etc...
Bien à toi l'ami...
@@joeshil4140 pourquoi il y'a quatre ans, quasiment s'écrivait autrement ?
@@stephanegozlan3056
Non l'ami...Ton post me fait rire..celui là pas l'autre..
Bien à toi
@@stephanegozlan3056 Tu es d'un ridicule consternant. Une réaction agressive sur sa forme, qui plus est, ne répond en rien à la remarque initiale.
Je n'aimais déjà pas la série, produite par Mann et donc je n'ai pas aimé le film ! Mann est trop "bling-bling" à mon goût !
Parler pour ne rien dire....
Ce film est laid, mal découpé et les cadrages...au secours!
Ce rendu numérique des images est affreux, catastrophique.
Ce montage! Quel découpage de chiotte. Impossible de rentrer dans le film, on dirait du Dogma surproduit.
A côté de ce film, le Herzog de 2009, "Bad lieutenant: escale à La Nouvelle-Orléans, est presque beau, c'est vous dire à quel bon ça daube!
Oh punaise les connerie qu'il faut pas lire parfois. Le simple fait de comparer l'utilisation de la vidéo et du numérique avec les films montrent la méconnaissance totale du guen sur le sujet..