Quel bonheur de revoir tous ces grands pilotes avec leur même passion. Et la mélodie de ces motos , grandioses. C’était encore des motos à taille humaine. 500 pour les grosses. Et qu’elle performance pour les plus petites cylindrées. Chapeau bas à tous ces pilotes qui ont fait l’histoire de la moto.
Les paroles de Randy Mamola résument si bien l'histoire de la moto en général. C'est d'une grande poésie et d'une grande sensibilité. Très beau documentaire. Respectueux des pilotes et des ingénieurs et mécaniciens.
Passionnant de bout en bout, un vrai moment d'anthologie ! Un gros merci pour ce doc !!!! Un petit regret tout de même, je trouve que c'est dommage qu'on ne parle pas assez de mécanique, d'améliorations etc..., parce que tout passionné de moto est souvent aussi un passionné de mécanique ! Signé: l'heureux possesseur d'une Triumph Street Triple 675 roulette green, mais qui a débuté avec la légendaire Ducati Desmo 350 ! ;)
Revoir Barry Sheene (à la fin du film), quelle émotion ! C'était un mec fabuleux, il faisait toujours un tour du circuit à pied pour inspecter la piste et rigoler avec les commissaires, c'est comme ça que je l'ai connu. Revoir Saarinen... Une de mes plus grandes impressions fut la MV 4 en 350, au GP de France sur le Bugatti en 76, avec Agostini au guidon. Quelle extraordinaire musique ! Agostini n'était pas le meilleur pilote mais il avait toujours des trajectoires parfaites, une grande régularité et surtout il ne tombait pas. Phil Read était un vrai dégueulasse, fourbe et vicieux en course, je le revois donner des coups du pneu avant sur le pneu arrière de Saarinen en espérant le déstabiliser. C'était en 73 au GP de France et Saarinen se tua à Monza dans la curva grande parce que la Benelli de Villa avait laissé de l'huile sur la piste, que les commissaires n'avaient ni nettoyée ni même signalée. Une honte ! Il manque dans ce florilège des motos italiennes la Linto, de l'ingénieur Lino Tonti, avec laquelle divers pilotes tentèrent de contester en 500 la suprématie des Norton Manx. La Linto ne gagne jamais, elle avait des défauts de conception criants mais c'était une trèe belle mécanique.
Phil Read était effectivement un sale type; très bon pilote certes mais qui semait la zizanie partout ou il passait, ses coups tordus étaient innombrables. Sheene était infiniment plus sympa, quant à Ago, mon idole, c'était la classe à l'état pur, sur sa moto comme dans la vie. Sinon, je suis très fier de rouler sur une machine italienne (made in Bologne)
Quel bonheur de revoir tous ces grands pilotes avec leur même passion. Et la mélodie de ces motos , grandioses. C’était encore des motos à taille humaine. 500 pour les grosses. Et qu’elle performance pour les plus petites cylindrées. Chapeau bas à tous ces pilotes qui ont fait l’histoire de la moto.
Les paroles de Randy Mamola résument si bien l'histoire de la moto en général. C'est d'une grande poésie et d'une grande sensibilité. Très beau documentaire. Respectueux des pilotes et des ingénieurs et mécaniciens.
Documentaire exceptionnel entrecoupé d'images et d'interviews d'époque....
ah le bruit si particulier des moteurs MV souvenirs,souvenirs....
Passionnant de bout en bout, un vrai moment d'anthologie ! Un gros merci pour ce doc !!!!
Un petit regret tout de même, je trouve que c'est dommage qu'on ne parle pas assez de mécanique, d'améliorations etc..., parce que tout passionné de moto est souvent aussi un passionné de mécanique !
Signé: l'heureux possesseur d'une Triumph Street Triple 675 roulette green, mais qui a débuté avec la légendaire Ducati Desmo 350 ! ;)
heureux d'avoir vecu cette epoque
Revoir Barry Sheene (à la fin du film), quelle émotion ! C'était un mec fabuleux, il faisait toujours un tour du circuit à pied pour inspecter la piste et rigoler avec les commissaires, c'est comme ça que je l'ai connu.
Revoir Saarinen...
Une de mes plus grandes impressions fut la MV 4 en 350, au GP de France sur le Bugatti en 76, avec Agostini au guidon. Quelle extraordinaire musique ! Agostini n'était pas le meilleur pilote mais il avait toujours des trajectoires parfaites, une grande régularité et surtout il ne tombait pas.
Phil Read était un vrai dégueulasse, fourbe et vicieux en course, je le revois donner des coups du pneu avant sur le pneu arrière de Saarinen en espérant le déstabiliser. C'était en 73 au GP de France et Saarinen se tua à Monza dans la curva grande parce que la Benelli de Villa avait laissé de l'huile sur la piste, que les commissaires n'avaient ni nettoyée ni même signalée. Une honte !
Il manque dans ce florilège des motos italiennes la Linto, de l'ingénieur Lino Tonti, avec laquelle divers pilotes tentèrent de contester en 500 la suprématie des Norton Manx.
La Linto ne gagne jamais, elle avait des défauts de conception criants mais c'était une trèe belle mécanique.
Phil Read était effectivement un sale type; très bon pilote certes mais qui semait la zizanie partout ou il passait, ses coups tordus étaient innombrables. Sheene était infiniment plus sympa, quant à Ago, mon idole, c'était la classe à l'état pur, sur sa moto comme dans la vie. Sinon, je suis très fier de rouler sur une machine italienne (made in Bologne)
C'était magnifique cette époque, j'ai vécu cette période depuis 1966 jusqu'à aujourd'hui, dommage que le side-car ne fait plus partie du circuit !!!
La Belle Époque des italiennes.
Super video belle epoquemoto
Fantastic racer...
Agusta 💯🙏🙏
La dernière victoires des motos Italiennes t as raison mon gars et les DUCATI en 2021 c est quoi, ???
BONJOUR A TOUS Daniel es Béatrice PILOTE SID CAR BASSER SID CAR B,A;D LOVE MOTO
.. trahi par son etoile .... ca veut dire quoi,, ce charabia ? ? ?
Que la chance a tourné