J'ai vu quelqu'un lire ce livre dans le train il y a une semaine, je lui ai demandé de me faire lire la 3eme de couverture poussé par un genre d'instinct alors que je fais jamais ça, et là une vidéo sors sur ce livre ! Pour une insoutenable légèreté l'existence à l'air d'apprécier le gag du destin...
Super vidéo ! Tu m'as fait reconsidérer mon avis sur Kundera dont j'adore l'écriture mais... je regrette la misogynie constante et les représentations stéréotypées des femmes, notamment dans d'autres de ces ouvrages (j'ai Risibles Amours en tête, j'en ai d'autres dans ma bibliothèque). En tout cas, c'est toujours un plaisir de t'écouter tisser ta pensée et de nous emmener là où on ne s'attend pas :)
Ah ! Justement, je me pose souvent la question de la réception de Kundera selon le genre de la personne qui le lit. Bon, j'imagine bien que les réactions ne sont pas uniformes et qu'on ne peut pas dire "les hommes aiment les livres de Kundera ; les femmes n'aiment pas les livres de Kundera". Mais je me demande simplement si le monde qu'il propose et qu'il explore (je crois qu'il parle quelque part du roman comme d'une "exploration des possibles", non ?), et que j'aime beaucoup découvrir au fil des pages, est aussi plaisant du point de vue d'une femme.
Merci beaucoup pour ton retour ! Alors il y a un peu de ça dans ce livre aussi mais étant donné qu'il y a 2 personnages féminins, je trouve qu'il parvient à rendre compte de 2 personnalités assez différentes et intéressantes. Cependant, le personnage le mieux développé à mon sens reste Thomas. Et j'avoue ne pas encore avoir lu d'autres ouvrages de l'homme mais j'ai cru comprendre qu'il avait la provocation assez facile. Bonne suite à toi :)
Alors le côté Freudien n'est pas si prédominant que ça (vu que le livre aborde énormément de thématiques à travers des angles bien différents) après il y a des passages et des démonstrations qui marchent mieux que d'autres
Ça m'avait manqué !! C'est incroyable comme tu me donne d'acheter un livre à chaque vidéo ! Je me doute que tout ça doit te demander un travail monstre mais continue ce que tu fais !!
personnellement apres 30 ans sans le lire, je me souviens que de karenin leur chien, et la théorie de kundera que si le paradi existe, son temps est cyclique, comme la vie d'un chien. karenin est malade, il va mourrir, tous le savent et en pleurent d'avance, mais kerenin est heureux tant que chaque jour ressemble au precedent, il ne se soucis pas du futur et ne regrette pas le passé. j'en ai gardé cette maxime (qui n'est pas tirée du livre) ni remords, ni regrets, ni craintes, ni esperances (ca peut sembler nihiliste, mais en lisant la vie de karenin dans le livre, c'est la definition du paradi)
Joli souvenir... J'ai été bien triste pour le chien mais en effet sa fin de vie est souvent décrite à travers les émotions imaginées du chien lui-même ce qui permet de développer un point de vue assez original. Content de voir que le livre a pu marquer les esprits de cette manière :)
On m'a offert ce livre en me disant qu'il était excellent et je l'ai détesté. Y'a absolument rien qui va dans ce livre. Déjà il est incroyablement malaisant. Globalement on nous présente une relation toxique comme si elle était belle et romantique. Au fur et à mesure de la lecture on se dit que c'est pas possible, ça ne peut pas être écrit au premier degré, il va forcément finir par expliquer en quoi cette relation est toxique, mais non. J'ai fini par aller voir la fin du livre pour savoir si ça allait être comme ça tout du long et c'est le cas. A la fin Thérésa fini malheureuse tandis que Thomas fini heureux. A cela s'ajoute l'incroyable sexisme du bouquin (qui date des années 80, pas 50). Globalement on est dans le cliché de la femme latente qui a besoin d'un homme pour l'extirper de sa situation. Thérésa n'a aucun répits, quelque soit la situation elle souffre et l'auteur nous présente ça comme une sorte de fatalité glorifiée à la limite du poétique. Alors que la source de ses malheurs sont bien identifiés (relation toxique, pression sur la beauté et la "fraicheur" du corps de la femme via sa mère) et qu'elle pourrait vivre heureuse sans ceux-là. D'ailleurs quand elle fini par fuir cette relation toxique et que le mec la poursuit elle fini par culpabiliser de l'avoir fait se déplacer. ça illustre la vision tordue qu'a l'auteur de la réalité. Il reporte souvent la faute de la souffrance de Thérésa sur cette dernière, la double peine. A cela s'ajoute un peu de masculinité toxique avec Thomas qui est présenté comme un sauveur pour entretenir Thérésa et la sortir de sa situation, tandis que Franz est présenté comme un looser parce qu'il ne correspond pas au cliché du mâle alpha. On voit que l'auteur n'a pris aucun recul sur ces notions là et c'est très dérangeant à lire de nos jour. Pour ce qui est du côté philisophique, c'est raté. La mauvaise écriture ne permet pas la réflexion. Globalement l'auteur va d'abord présenter un moitié d'énigme pour immédiatement nous en donner la réponse en même temps que la seconde moitié, le tout avec un fierté déconcertante, en mode "t'as vu comme elle est trop bien ma réflexion !". On a vraiment l'impression de voir un gamin tout fier de ce qu'il a fait, alors qu'il n'y a pas de quoi. Pour que le lecteur puisse pleinement profiter de la réflexion de l'auteur il faut que celui-ci lui donne l'ensemble des éléments nécessaire à faire sa propre réflexion et lui laisser le temps de la faire, avant d'exposer (ou pas) sa propre réflexion sur le sujet. C'est vraiment dommage car les sujet qu'il aborde et les opposition qu'il présente sont intéressante et mériterais des réflexions poussées. Vraiment je ne vois pas comment ce livre peut être présenté positivement.
Je comprends le sentiment même si je ne partage pas cette grille de lecture. Je n'y vois pas une relation toxique ; à aucun moment les personnages cherchent à écraser l'autre. Il sont dans une quête constante de conciliation entre leur manière de vivre personnelle et la volonté de préserver leur relation. D'ailleurs, à la fin, ils atteignent un équilibre en s'isolant un peu plus ; Thomas trouve un sens dans les concessions qu'il a fourni... Je trouve qu'il y a en effet certains clichés un peu dépassés ajd concernant le sexisme. Néanmoins, le fait d'intégrer un personnage comme Sabina, qui est loin du cliché d'une femme latente qui a besoin d'un homme pour s'extirper de sa situation. La souffrance de Thérésa est en effet un moteur du récit. Pris au premier degré, il y a en effet un côté "romantique" qui peut déranger. Mais en lisant le récit à travers le thème d'une recherche de conciliation d'individus au fonctionnement très différent, cette situation devient à mes yeux bien plus riche puisqu'elle pose frontalement la question des solutions, des limites, de l'image traditionnelle du couple hétéro, etc. Je n'ai jamais senti Thomas présenté comme un sauveur. D'ailleurs, la situation de départ plutôt abrupte se pose en contrainte pour lui plus que comme une situation où il brille. Pour la mauvaise écriture, ça reste subjectif. La portée philosophique reste pour moi inégale, parfois elle a un peu vieillie, parfois elle éveille de véritables questionnements ou propose des pistes de réponses, d'autres fois elle m'ont complètement dépassées. J'ajoute une critique ; Kundera a la provocation facile et cela me semble avoir aussi un peu mal vieilli ; je pense que comme mentionné, lire le livre aujourd'hui peut déranger. C'est pourquoi j'ai essayé, dans cette vidéo, de proposer la piste de lecture qui m'a permis de l'apprécier et de lui donner du sens. Merci pour ton long développement ; je comprends tout à fait cette lecture du livre.
@@LeMarquePage Merci pour ton ouverture d'esprit. Pour ce qui est de la relation toxique. A un stade du récit Théreza soufre terriblement, mais genre terriblement, et Thomas est au courant, elle lui en a parlé, il l'a vu cauchemarder. Et pourtant il continue. A partir de là la relation est toxique pour moi. Il faut soit trouver un compromis, soit finir la relation. Je ne me rappelle plus bien des détails mais dans la grosse partie que j'ai lu il y une légère forme de controle de la part de Thomas. C'est à elle de s'adapter, parce que tu vois, ça l'emmerde de pas pouvoir batifoler dans tout les coin, alors que elle elle souffre terriblement de la situation. Il va jusqu'à l'envoyer se suicider pour la bousculer. Ce n'est pas un comportement sain. J'ai peut-être une définition plus large de la relation toxique. Mais dans ce cas précis, il la fait souffrir, il le sait et il ne changera pas. Ce n'est pas une relation saine à mettre en avant comme il le fait.
C'est marrant, j'en parlais à Noël avec ma mère qui l'a relu il y a peu. Moi j'avais détesté le livre que je qualifiais de chiant et immoral et elle a réussi à me convaincre que près de 30 ans plus tard (j'approche la cinquantaine à petits pas), ma lecture serait très probablement différente, moins immature, plus réceptive à l'essence du livre. Voilà qui enfonce le clou =)
Haha en effet ; il y a peut-être de ça. Où alors ça peut simplement ne pas être ton truc. J'avoue que certains passages m'ont bien plus captivés que d'autres. C'est le risque avec un ouvrage aussi fourni
J'ai vu quelqu'un lire ce livre dans le train il y a une semaine, je lui ai demandé de me faire lire la 3eme de couverture poussé par un genre d'instinct alors que je fais jamais ça, et là une vidéo sors sur ce livre ! Pour une insoutenable légèreté l'existence à l'air d'apprécier le gag du destin...
Haha des fois le hasard n'en est pas vraiment un ;)
Super vidéo ! Tu m'as fait reconsidérer mon avis sur Kundera dont j'adore l'écriture mais... je regrette la misogynie constante et les représentations stéréotypées des femmes, notamment dans d'autres de ces ouvrages (j'ai Risibles Amours en tête, j'en ai d'autres dans ma bibliothèque). En tout cas, c'est toujours un plaisir de t'écouter tisser ta pensée et de nous emmener là où on ne s'attend pas :)
Ah ! Justement, je me pose souvent la question de la réception de Kundera selon le genre de la personne qui le lit. Bon, j'imagine bien que les réactions ne sont pas uniformes et qu'on ne peut pas dire "les hommes aiment les livres de Kundera ; les femmes n'aiment pas les livres de Kundera". Mais je me demande simplement si le monde qu'il propose et qu'il explore (je crois qu'il parle quelque part du roman comme d'une "exploration des possibles", non ?), et que j'aime beaucoup découvrir au fil des pages, est aussi plaisant du point de vue d'une femme.
Merci beaucoup pour ton retour !
Alors il y a un peu de ça dans ce livre aussi mais étant donné qu'il y a 2 personnages féminins, je trouve qu'il parvient à rendre compte de 2 personnalités assez différentes et intéressantes. Cependant, le personnage le mieux développé à mon sens reste Thomas.
Et j'avoue ne pas encore avoir lu d'autres ouvrages de l'homme mais j'ai cru comprendre qu'il avait la provocation assez facile.
Bonne suite à toi :)
selon moi, le seul problème du livre est son côté freudien, quand on sait que les théories de Freud ont été démontée de tous les côtés
Alors le côté Freudien n'est pas si prédominant que ça (vu que le livre aborde énormément de thématiques à travers des angles bien différents) après il y a des passages et des démonstrations qui marchent mieux que d'autres
Merci pour ce court et imagé compte-rendu
Alors je ne connaissais pas ce livre, mais je vais m'atteler à sa lecture dès que possible :) Merci beaucoup pour cette découverte
Merci et bonne découverte !
Ça m'avait manqué !! C'est incroyable comme tu me donne d'acheter un livre à chaque vidéo ! Je me doute que tout ça doit te demander un travail monstre mais continue ce que tu fais !!
Merci pour ce retour hyper sympa !
C'est un plaisir pour moi aussi de ressortir de la vidéo :)
Oh ca a l'air sympa comme livre, en plus je savais pas trop quoi lire en ce moment ! Merci du coup :)
Bonne découverte à toi :)
personnellement apres 30 ans sans le lire, je me souviens que de karenin leur chien, et la théorie de kundera que si le paradi existe, son temps est cyclique, comme la vie d'un chien. karenin est malade, il va mourrir, tous le savent et en pleurent d'avance, mais kerenin est heureux tant que chaque jour ressemble au precedent, il ne se soucis pas du futur et ne regrette pas le passé. j'en ai gardé cette maxime (qui n'est pas tirée du livre) ni remords, ni regrets, ni craintes, ni esperances (ca peut sembler nihiliste, mais en lisant la vie de karenin dans le livre, c'est la definition du paradi)
Joli souvenir... J'ai été bien triste pour le chien mais en effet sa fin de vie est souvent décrite à travers les émotions imaginées du chien lui-même ce qui permet de développer un point de vue assez original. Content de voir que le livre a pu marquer les esprits de cette manière :)
Superbe vidéo. comme d'habitude..
en vrai génial j'suis pas trop littérature sur RUclips. du coup t'(es une bouffée d'air frais dans mes abonnements
Mais quel plaisir ! Merci à toi :)
Trop content de te retrouver!
C'est une joie partagée !
On m'a offert ce livre en me disant qu'il était excellent et je l'ai détesté.
Y'a absolument rien qui va dans ce livre.
Déjà il est incroyablement malaisant. Globalement on nous présente une relation toxique comme si elle était belle et romantique.
Au fur et à mesure de la lecture on se dit que c'est pas possible, ça ne peut pas être écrit au premier degré, il va forcément finir par expliquer en quoi cette relation est toxique, mais non. J'ai fini par aller voir la fin du livre pour savoir si ça allait être comme ça tout du long et c'est le cas. A la fin Thérésa fini malheureuse tandis que Thomas fini heureux.
A cela s'ajoute l'incroyable sexisme du bouquin (qui date des années 80, pas 50). Globalement on est dans le cliché de la femme latente qui a besoin d'un homme pour l'extirper de sa situation.
Thérésa n'a aucun répits, quelque soit la situation elle souffre et l'auteur nous présente ça comme une sorte de fatalité glorifiée à la limite du poétique. Alors que la source de ses malheurs sont bien identifiés (relation toxique, pression sur la beauté et la "fraicheur" du corps de la femme via sa mère) et qu'elle pourrait vivre heureuse sans ceux-là.
D'ailleurs quand elle fini par fuir cette relation toxique et que le mec la poursuit elle fini par culpabiliser de l'avoir fait se déplacer. ça illustre la vision tordue qu'a l'auteur de la réalité. Il reporte souvent la faute de la souffrance de Thérésa sur cette dernière, la double peine.
A cela s'ajoute un peu de masculinité toxique avec Thomas qui est présenté comme un sauveur pour entretenir Thérésa et la sortir de sa situation, tandis que Franz est présenté comme un looser parce qu'il ne correspond pas au cliché du mâle alpha.
On voit que l'auteur n'a pris aucun recul sur ces notions là et c'est très dérangeant à lire de nos jour.
Pour ce qui est du côté philisophique, c'est raté. La mauvaise écriture ne permet pas la réflexion.
Globalement l'auteur va d'abord présenter un moitié d'énigme pour immédiatement nous en donner la réponse en même temps que la seconde moitié, le tout avec un fierté déconcertante, en mode "t'as vu comme elle est trop bien ma réflexion !".
On a vraiment l'impression de voir un gamin tout fier de ce qu'il a fait, alors qu'il n'y a pas de quoi.
Pour que le lecteur puisse pleinement profiter de la réflexion de l'auteur il faut que celui-ci lui donne l'ensemble des éléments nécessaire à faire sa propre réflexion et lui laisser le temps de la faire, avant d'exposer (ou pas) sa propre réflexion sur le sujet.
C'est vraiment dommage car les sujet qu'il aborde et les opposition qu'il présente sont intéressante et mériterais des réflexions poussées.
Vraiment je ne vois pas comment ce livre peut être présenté positivement.
Je comprends le sentiment même si je ne partage pas cette grille de lecture.
Je n'y vois pas une relation toxique ; à aucun moment les personnages cherchent à écraser l'autre. Il sont dans une quête constante de conciliation entre leur manière de vivre personnelle et la volonté de préserver leur relation. D'ailleurs, à la fin, ils atteignent un équilibre en s'isolant un peu plus ; Thomas trouve un sens dans les concessions qu'il a fourni...
Je trouve qu'il y a en effet certains clichés un peu dépassés ajd concernant le sexisme. Néanmoins, le fait d'intégrer un personnage comme Sabina, qui est loin du cliché d'une femme latente qui a besoin d'un homme pour s'extirper de sa situation.
La souffrance de Thérésa est en effet un moteur du récit. Pris au premier degré, il y a en effet un côté "romantique" qui peut déranger. Mais en lisant le récit à travers le thème d'une recherche de conciliation d'individus au fonctionnement très différent, cette situation devient à mes yeux bien plus riche puisqu'elle pose frontalement la question des solutions, des limites, de l'image traditionnelle du couple hétéro, etc.
Je n'ai jamais senti Thomas présenté comme un sauveur. D'ailleurs, la situation de départ plutôt abrupte se pose en contrainte pour lui plus que comme une situation où il brille.
Pour la mauvaise écriture, ça reste subjectif. La portée philosophique reste pour moi inégale, parfois elle a un peu vieillie, parfois elle éveille de véritables questionnements ou propose des pistes de réponses, d'autres fois elle m'ont complètement dépassées.
J'ajoute une critique ; Kundera a la provocation facile et cela me semble avoir aussi un peu mal vieilli ; je pense que comme mentionné, lire le livre aujourd'hui peut déranger. C'est pourquoi j'ai essayé, dans cette vidéo, de proposer la piste de lecture qui m'a permis de l'apprécier et de lui donner du sens.
Merci pour ton long développement ; je comprends tout à fait cette lecture du livre.
@@LeMarquePage Merci pour ton ouverture d'esprit.
Pour ce qui est de la relation toxique. A un stade du récit Théreza soufre terriblement, mais genre terriblement, et Thomas est au courant, elle lui en a parlé, il l'a vu cauchemarder. Et pourtant il continue.
A partir de là la relation est toxique pour moi. Il faut soit trouver un compromis, soit finir la relation.
Je ne me rappelle plus bien des détails mais dans la grosse partie que j'ai lu il y une légère forme de controle de la part de Thomas. C'est à elle de s'adapter, parce que tu vois, ça l'emmerde de pas pouvoir batifoler dans tout les coin, alors que elle elle souffre terriblement de la situation.
Il va jusqu'à l'envoyer se suicider pour la bousculer. Ce n'est pas un comportement sain.
J'ai peut-être une définition plus large de la relation toxique. Mais dans ce cas précis, il la fait souffrir, il le sait et il ne changera pas. Ce n'est pas une relation saine à mettre en avant comme il le fait.
C'est marrant, j'en parlais à Noël avec ma mère qui l'a relu il y a peu. Moi j'avais détesté le livre que je qualifiais de chiant et immoral et elle a réussi à me convaincre que près de 30 ans plus tard (j'approche la cinquantaine à petits pas), ma lecture serait très probablement différente, moins immature, plus réceptive à l'essence du livre. Voilà qui enfonce le clou =)
Haha en effet ; il y a peut-être de ça.
Où alors ça peut simplement ne pas être ton truc. J'avoue que certains passages m'ont bien plus captivés que d'autres. C'est le risque avec un ouvrage aussi fourni
Moi je me souviens de sexe,le sexe,sexe ...et le hasarde
Bordel de merde, sa fait un bail
Oui.
On tâchera de ne pas mettre aussi longtemps pour la prochaine fois.
Un sapin a-t-il besoin de décorations après tout ?
Autant que les plantes de salon.
Que fait-on si on ne sait pas lire ?
référencement
Merci !