40 ans de battage
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- Опубликовано: 16 окт 2024
- Yves Le Meur, entrepreneur agricole, organisa en 1972 dans sa ferme à Ploulec'h près de Lannion, la toute première fête du battage traditionnel.
Durant quarante années, il a parcouru les route des Côtes d'Armor et du Finistère pour battre le blé selon les techniques d'avant guerre.
Très bel hommage à un homme super sympa avec qui j'ai partagé une belle journée à Plouigneau lors du plus grand battage du monde en août 1995 que de belles machines...!!!
Ça explique pourquoi les plus grandes fêtes de battage à l'ancienne se déroulent en Bretagne. Elles sont vraiment magnifiques.
l'amour du métier de père en fils .je peux oublier les bonnes habitudes.
Merci à Yves le Meur
Se sentir vraiment en France au plus près de nos racines!!!!! Mercis admiratifs.
Yves le Meur un amoureux des vieilles batteuses que j ai bien vu a l action que de beaux souvenirs qui resterons gravés a jamais (c etait beau )
Très bel hommage ; bravo !
on ne voit pas les hommes porter les sacs de blé de 75/80kg à dos et grimper à l'échelle pour entreposer le grain au grenier
Pour les derniers battages que j'ai connu dans les années 70, il y avait une vis à grain.
@@rawsmackdownnxtwwe5646 : Exact : A la ferme nous avions des vis a grain de marque "DENIS" .
La plupart des greniers avaient une poulie, ou étaient adossés à une pente pour un accès de niveau. D'autres fermes avaient une garde pile au rez-de-chaussée. Il fallait vraiment être arriéré pour porter les sacs sur le dos en montant sur une échelle.
Très touchant. Et très utile également, car j'écris un livre sur la vie paysanne. Merci beaucoup
Super vidéo 😀
J,ai connue les moissonneuses à sacs
En plus une tête sympa aujourd'hui le sourir a disparu malheureusement (et a la moison les gens s 'entraidaient beaucoup
J'ai une magnifique gerbière que je vends. êtes vous intéresse
40ans de battage agricole hélas bien plus rarement médiatique que 40 années de battage politique
Aujourdhui les citadins ne supporte plusles agriculteurs et de plus souvent il sont issu du miieu
Bonjour très belle remarque quand on voit ces gens qui viennent peuplé nos campagnes qui nous font la morale à cause du tracteur qui tourne et si ils seraient venus 20 ans plus tôt alors que les fraises battaient leurs pleins et le soir on allumait la motopompe vers 17h00 quand la température était descendu et à l'époque il n'y avait pratiquement que des petits "Bernard-Moteurs" et qui tournaient jusqu'à 22h00 parfois minuit avec des gens comme celà on auraient des procès à n'en plus finir et pourtant leurs grands parents où arrière grands-parents étaient aussi agriculteurs ils oublient vite d'où Ils viennent et il faut se calquer à leurs us et coutumes parceque ils ont grandi en ville depuis une où deux générations 1 ils n'ont aucun respect 2 ils ne s'intéresse et s'intègre pas à la vie sociale des villages ni de la vie associative et tout leurs est dû ce n'est heureusement pas le cas de tous on étaient bien mieux dans Les années 60 à 2000 où il faudrait une île déserte pour contenir cette population de bobo
aujourd'hui....dans les memes condition de sécurité par exemple les bras articulés de la presse , toutes ces courroies qui tournent sans aucun carter de protection.......et bien je pense que de temps à autre il y aurait un péquin pour se faire chopper un bras ou meme passer carrément de vie à trépas !
Très bel hommage à un homme super sympa avec qui j'ai partagé une belle journée à Plouigneau lors du plus grand battage du monde en août 1995 que de belles machines...!!!
Merci à tous ceux qui étaient de la partie ce jour là comme mon équipe de Plougastel-Daoulas sans qui je n'aurai pu oeuvré au côté de Yves le Meur pour qui j'ai une pensée je n'ai pas eu l'occasion de rencontrer sa famille depuis mais en tant que passionné comme lui j'essaye tant bien que mal à perpétuer cette tradition qui clôturait la belle saison "an éost" (la moisson) et un hommage également à Guy le Duc de Plougoulm et tout ses copains Merci à tous en souhaitant que l'œuvre de Yves le Meur continue pour longtemps kenavéo henta
Merci à Yves le Meur