Une fiction n'est pas un documentaire. Les fictions, notamment romanesques, ont bien des intérêts, mais ce sont pas des fenêtres fiables sur le monde, aussi vraisemblables et documentées puissent-elles être. Nous adorons les fictions et elles nous apportent énormément, mais je ne pense pas qu'elles soient le meilleur exercice d'empathie ou d'instruction, du fait de leur caractère fictif.
Vous avez raison, de la même manière qu'un documentaire n'est pas une étude sociologique et relève souvent de la subjectivité de son ou ses auteurs, et s'inscrit par conséquent dans le champ de la liberté poétique, où il faut parler de sensibilité et non de fiabilité. Le cas des documentaires narratifs, c'est à dire utilisant les règles de la narration sont autre chose, mais là nous ne parlons plus du cadre français.
Une aptitude incroyable à capter le réel du quotidien.
Excellent, merci !
Avec plaisir
Merci pour cette interview captivante
Merci à vous.
Une perspective fort intéressante !
Interview extrêmement intéressante. Merci!
Merci à vous
C'est comme pour les jeux vidéos ça reste l'un des seuls loisirs qui comme la littérature est l'un des moins chers
Je suis d’accord : très intéressant
Merci à vous.
Parce que c'est l'un des seuls loisirs qui revient les moins chers :)
Vous êtes formidable, et belle coupe de cheveux
La littérature peut aussi rendre con, tout y est déformé.
Ouais mais il faut pas croire les jeux ça rend con aussi je parle pas de moi en l'occurrence mais de pleins d'autres personnes
Une fiction n'est pas un documentaire. Les fictions, notamment romanesques, ont bien des intérêts, mais ce sont pas des fenêtres fiables sur le monde, aussi vraisemblables et documentées puissent-elles être. Nous adorons les fictions et elles nous apportent énormément, mais je ne pense pas qu'elles soient le meilleur exercice d'empathie ou d'instruction, du fait de leur caractère fictif.
Vous avez raison, de la même manière qu'un documentaire n'est pas une étude sociologique et relève souvent de la subjectivité de son ou ses auteurs, et s'inscrit par conséquent dans le champ de la liberté poétique, où il faut parler de sensibilité et non de fiabilité. Le cas des documentaires narratifs, c'est à dire utilisant les règles de la narration sont autre chose, mais là nous ne parlons plus du cadre français.