J’adore tes vidéos Eiwa et je te trouve tellement charmante. Merci de dire que les TCA sont invisibles la plupart du temps. Je suis rétablie mais pour me rétablir, j’ai du accepter de vivre dans un corps un peu gros car c’est là que pour moi réside mon poids de forme. Tu ne peux pas savoir les incompréhensions que je rencontre autour de moi. Ma famille, certains de mes amis m’encouragent à faire des régimes, à faire attention au sucre etc… ils n’ont rien compris et pourtant je leur ai parlé de mon parcours de TCA, de ma chaîne RUclips. C’est profondément décourageant et j’envie, tu ne peux pas savoir combien, les personnes qui se retrouvent dans un corps normal une fois guéris. Mais bon, je tiens le coup malgré tout. Quant à toi, courage. Tu vas y arriver !
Bonjour eiwa, Je voulais simplement te féliciter pour tous les efforts que tu fais pour guérir de ton TCA. Je pense que ton partage d'expérience pourra permettre à des familles de mieux se comprendre et c'est je pense quelque chose de précieux. En t'écoutant il y a 3 choses qui ont attiré mon attention et qui me semblent être des pistes intéressantes à creuser pour avancer encore sur ton chemin de guérison. (je dis ça sans avoir pu échanger avec toi ni sans savoir quelles sont les pistes que tu as déjà creusées alors ne tiens seulement pas compte de mes remarques si elles ne te semblent pas pertinentes où si tu en as déjà conscience). 1 - Bien que je ne souhaite absolument pas minimiser la difficulté du parcours que tu traverses, j'ai remarqué que tu avais la croyance que guérir serait forcément difficile et le resterait toute ta vie. Et s'il facile de guérir, à quoi ça ressemblerait selon toi? A quoi ressemblera ta vie quand tu seras totalement guérie? 2- A 27:57 min de la vidéo tu dis que ce qui est important c'est de se recréer des souvenir avec "CETTE personne". A plusieurs reprises tu reprends ce terme et ça me donne l'impression que tu penses à quelqu'un de précis dans ton entourage quand tu dis ça. Du coup je me demande avec qui tu as manqué de passer du temps, d'être cajolée, écoutée avant ta maladie? 3 - Au début de la vidéo tu dis que c'est difficile pour toi d'entendre des personnes te dire "oh mais tu as l'air d'être en forme, d'aller mieux..." parce que c'est c'est comme si elles ne se rendaient plus compte que ça n'allait pas à l'intérieur. => Bien que le TCA t'apporte bcp de douleur dans ta vie, je crois que tu peux également remercier ce comportement indésirable car il t'a permis d'obtenir quelque chose de visiblement très important pour toi (d'après ce que j'ai cru comprendre en t'écoutant): montrer aux autres que tu ne vas pas bien à l'intérieur pour que l'on (qui?) se préoccupe de toi. Donc même si travailler sur l'aspect comportemental me semble important (sport, nourriture, sommeil...), je crois que la clef principale réside à un niveau plus émotionnel. Je me demande ce dont la partie blessée en toi a vraiment besoin? Pourquoi a t-elle eu besoin de mettre en place ce comportement limitant? Je crois sincèrement que lorsque cette partie aura été entendue et aura obtenu ce dont elle a besoin, la guérison viendra naturellement (pas forcément en 2 jours mais pas forcément de manière difficile pour autant). Je n'attends absolument aucune réponse de ta part et j'espère ne pas être trop intrusive en t'adressant ce message. Je me suis juste sentie touchée par ton partage et je me suis dit que ce serait peut-être utile de te partager mes ressentis. Soit ça t'apportera des pistes d'exploration, soit ça te sera inutile et zappe alors juste simplement mon message. Dans tous les cas, n'oublie pas que tu as les ressources en toi et que tu y arriveras, toi aussi! Dans tous les cas je te souhaite bonne chance dans ton parcours Eiwa et je t'envoie plein d'ondes positives.
hello ma belle j’ai bientôt 16 ans et depuis quelques temps je ne fais plus de crise de boulimie. Je vais donner des conseils qui dans ton cas ne vont peut être pas être utiles. Mais déjà prendre une seule chose minimum que tu aimes manger. Réellement. Du chocolat, du pain. Accepter que notre corps ne peut pas souffrir davantage est essentiel. Alors faire une pause avec le sport aussi, parce que si vous pensez que vous en faites par envie c’est votre maladie qui vous le dicte. Il faut que les proches sachent à quel point manger devant eux est difficile. Le stress est super important. Se faire accompagner par des psys et des médicaments et parfois nécessaire la aussi. Consommer des féculents au moins une fois par jour et des lipides. Oui je sais ça fait super peur mais ca empêche les crises de boulimie et d’hyperphagie. Toutes les crises que j’ai faites récemment c’était pour combler un vide émotionnel et me dire que ça y est maintenant j’ai le droit parce que anorexique, je n’étais pas plus heureuse. Entourez vous de gens qui ne vous disent pas : mais la ça va !! Parce que non, même en crise je veux maigrir et ça ne va pas, parce que le diagnostic est la. Ça va selon vous, mais pas pour moi. La santé physique n’est pas à juger de la santé mentale. Beaucoup de femmes ont l’air d’aller bien mais quand on creuse, sur 6 filles que j’ai rencontrées en colo 4 ont déjà essayé de se faire vomir. Aimer les repas en famille ou les raclettes l’hiver c’est pas ce que je vous demande pas tout de suite. Mais prendre 20minutes assis pour manger de tout, et aller se brosser les dents pour se dire ça y est j’ai fini de manger. Puis trouver des activités : marcher, peindre, pour ne plus penser. Parfois la fiction aide. La je parle clairement de mon cas et de mes crises, pas de l’anorexie parce que ses mécanismes sont tellement complexes. Se limiter à un seul fruit ou deux par repas et ne pas en sauter est essentiel. Tout faire pour le retour des règles, et surtout changer d’objectif et ça je pense que ça peut aider même les personnes souffrant d’anorexie : déjà votre maladie est valide, mais surtout changez d’objectif. Vous reprendrez le sport dans 6 mois ou un an mais soignez vous avant. Ensuite, au lieu de « je dois maigrir »-> « je dois avoir une bonne digestion (pas de gaz, pas de ballonnement de dhiarree ni de constipation) perso ça m’a changé la vie. Et ne vous entourez pas des personnes qui jugent vos assiettes notamment je pense à la cantine au lycée. On remarquera que souvent ce sont les hommes qui jugent la nourriture dans notre assiette, terrifiés que les femmes prennent le pouvoir sur leur corps. Pour une société saine, il nous faut des femmes en bonne santé, et des hommes aussi. Mon père m’a toujours dit que les Palestiniens mouraient de faim, pourquoi moi je fais ça, et bien je suis malade, et c’est valide. Il y aura toujours pire. Arrêtez de vous peser car cela ne veut rien dire, votre corps sait. Accepter que on a pris plus de poids que ce qu’on avait avant est essentiel. Oui, tu as le droit au repos et à dormir jusqu’à 12h sans faire de sport pendant 1 an. Et les autres n’ont rien à dire. La comparaison aux sportifs bien qu’elle soit compliquee on doit aussi se dire que sûrement beaucoup de sportifs souffrent de TCA. De plus regardez les JO : les corps diffèrent. Oui, les femmes ont des corps musclés et absolument beaux mais pour faire de telles performances et courir et lancer des poids elles mangent parfois plus que les 2300calories pré requises. Bonne chance à tous et stoppez le « demain je me reprends » car le temps fera les choses, pas le début du mois ou de la semaine. Osez prendre des goûters et des collations et osez vivre. Comparez vous aux bonnes personnes : ceux qui guérissent ❤
Bonjour, ma fille souffre d'anorexie depuis 10 mois. Elle sait qu'elle est malade, elle est suivie mais elle ne veut pas guérir. Elle le dit clairement. Elle refuse. Je fais comment?
Bonjour, je suis sincèrement désolée d'entendre ceci. Malheuresement je n'ai pas réponse à tout, chaque cas est totalement individuel, nous avons toutes des raisons différentes qui causent la maladie et ainsi nous avons toutes besoins de raisons différentes pour s'en sortir. Je dirais que la première chose à faire est de s'assurer que cette pulsion n'est pas guidée par l'apparence, si elle est plongée dedans parce qu'elle est beaucoup sur les réseaux et se compare beaucoup, alors c'est extremement dur, il faut l'exposer le plus possible à des corps de toutes formes. Ensuite, si elle est autant déterminée, il y a surement une cause plus profonde que seul un psy ou psychiatre pourra comprendre (harcèlement, rejet des émotions, sentiment d'être différente, traumatisme, etc...). En attendant, vous, tout ce que vous pouvez faire (et ça ne sera pas facile, il est normal que des disputes éclatent mais tenez bon.) , redonnez lui gout à la vie. Si elle a des activites qu'elle aime faire faites les avec elle, faites la sortir, trouver ce qui peut la passionner. Il faut qu'elle trouve quelque chose qu'elle aime tellement faire qu'elle ne pourra plus se laisser partir ainsi. Et soyes présents à ses cotés, avec beaucoup d'amour et, je sais que c'est dur, mais essayez surtout d'être à l'écoute, et de lui demander régulièrement d'expliquer ce qu'elle ressent. Renforcer le lien avec les parents avec bienvaillance est important, il permet de causer une certaine culpabilité qui est juste utile pour se dire que nous ne pouvons plus continuer de faire souffrir nos proches ainsi, et que nous souhaitons aller mieux pour etre présent pour eux. Je vous envoie énormément de courage, et surtout, ne restez pas seuls. Sentez vous libres vous aussi de vous exprimer et d'échanger avec des médecins et parents qui ont connu ça. Prenez soin de vous, eiwa
J’adore tes vidéos Eiwa et je te trouve tellement charmante.
Merci de dire que les TCA sont invisibles la plupart du temps. Je suis rétablie mais pour me rétablir, j’ai du accepter de vivre dans un corps un peu gros car c’est là que pour moi réside mon poids de forme. Tu ne peux pas savoir les incompréhensions que je rencontre autour de moi. Ma famille, certains de mes amis m’encouragent à faire des régimes, à faire attention au sucre etc… ils n’ont rien compris et pourtant je leur ai parlé de mon parcours de TCA, de ma chaîne RUclips.
C’est profondément décourageant et j’envie, tu ne peux pas savoir combien, les personnes qui se retrouvent dans un corps normal une fois guéris.
Mais bon, je tiens le coup malgré tout.
Quant à toi, courage. Tu vas y arriver !
Bonjour eiwa,
Je voulais simplement te féliciter pour tous les efforts que tu fais pour guérir de ton TCA. Je pense que ton partage d'expérience pourra permettre à des familles de mieux se comprendre et c'est je pense quelque chose de précieux.
En t'écoutant il y a 3 choses qui ont attiré mon attention et qui me semblent être des pistes intéressantes à creuser pour avancer encore sur ton chemin de guérison. (je dis ça sans avoir pu échanger avec toi ni sans savoir quelles sont les pistes que tu as déjà creusées alors ne tiens seulement pas compte de mes remarques si elles ne te semblent pas pertinentes où si tu en as déjà conscience).
1 - Bien que je ne souhaite absolument pas minimiser la difficulté du parcours que tu traverses, j'ai remarqué que tu avais la croyance que guérir serait forcément difficile et le resterait toute ta vie. Et s'il facile de guérir, à quoi ça ressemblerait selon toi? A quoi ressemblera ta vie quand tu seras totalement guérie?
2- A 27:57 min de la vidéo tu dis que ce qui est important c'est de se recréer des souvenir avec "CETTE personne". A plusieurs reprises tu reprends ce terme et ça me donne l'impression que tu penses à quelqu'un de précis dans ton entourage quand tu dis ça. Du coup je me demande avec qui tu as manqué de passer du temps, d'être cajolée, écoutée avant ta maladie?
3 - Au début de la vidéo tu dis que c'est difficile pour toi d'entendre des personnes te dire "oh mais tu as l'air d'être en forme, d'aller mieux..." parce que c'est c'est comme si elles ne se rendaient plus compte que ça n'allait pas à l'intérieur. => Bien que le TCA t'apporte bcp de douleur dans ta vie, je crois que tu peux également remercier ce comportement indésirable car il t'a permis d'obtenir quelque chose de visiblement très important pour toi (d'après ce que j'ai cru comprendre en t'écoutant): montrer aux autres que tu ne vas pas bien à l'intérieur pour que l'on (qui?) se préoccupe de toi.
Donc même si travailler sur l'aspect comportemental me semble important (sport, nourriture, sommeil...), je crois que la clef principale réside à un niveau plus émotionnel. Je me demande ce dont la partie blessée en toi a vraiment besoin? Pourquoi a t-elle eu besoin de mettre en place ce comportement limitant? Je crois sincèrement que lorsque cette partie aura été entendue et aura obtenu ce dont elle a besoin, la guérison viendra naturellement (pas forcément en 2 jours mais pas forcément de manière difficile pour autant).
Je n'attends absolument aucune réponse de ta part et j'espère ne pas être trop intrusive en t'adressant ce message. Je me suis juste sentie touchée par ton partage et je me suis dit que ce serait peut-être utile de te partager mes ressentis. Soit ça t'apportera des pistes d'exploration, soit ça te sera inutile et zappe alors juste simplement mon message. Dans tous les cas, n'oublie pas que tu as les ressources en toi et que tu y arriveras, toi aussi!
Dans tous les cas je te souhaite bonne chance dans ton parcours Eiwa et je t'envoie plein d'ondes positives.
hello ma belle
j’ai bientôt 16 ans et depuis quelques temps je ne fais plus de crise de boulimie. Je vais donner des conseils qui dans ton cas ne vont peut être pas être utiles. Mais déjà prendre une seule chose minimum que tu aimes manger. Réellement. Du chocolat, du pain. Accepter que notre corps ne peut pas souffrir davantage est essentiel. Alors faire une pause avec le sport aussi, parce que si vous pensez que vous en faites par envie c’est votre maladie qui vous le dicte. Il faut que les proches sachent à quel point manger devant eux est difficile. Le stress est super important. Se faire accompagner par des psys et des médicaments et parfois nécessaire la aussi. Consommer des féculents au moins une fois par jour et des lipides. Oui je sais ça fait super peur mais ca empêche les crises de boulimie et d’hyperphagie. Toutes les crises que j’ai faites récemment c’était pour combler un vide émotionnel et me dire que ça y est maintenant j’ai le droit parce que anorexique, je n’étais pas plus heureuse. Entourez vous de gens qui ne vous disent pas : mais la ça va !! Parce que non, même en crise je veux maigrir et ça ne va pas, parce que le diagnostic est la. Ça va selon vous, mais pas pour moi. La santé physique n’est pas à juger de la santé mentale. Beaucoup de femmes ont l’air d’aller bien mais quand on creuse, sur 6 filles que j’ai rencontrées en colo 4 ont déjà essayé de se faire vomir. Aimer les repas en famille ou les raclettes l’hiver c’est pas ce que je vous demande pas tout de suite. Mais prendre 20minutes assis pour manger de tout, et aller se brosser les dents pour se dire ça y est j’ai fini de manger. Puis trouver des activités : marcher, peindre, pour ne plus penser. Parfois la fiction aide. La je parle clairement de mon cas et de mes crises, pas de l’anorexie parce que ses mécanismes sont tellement complexes. Se limiter à un seul fruit ou deux par repas et ne pas en sauter est essentiel. Tout faire pour le retour des règles, et surtout changer d’objectif et ça je pense que ça peut aider même les personnes souffrant d’anorexie : déjà votre maladie est valide, mais surtout changez d’objectif. Vous reprendrez le sport dans 6 mois ou un an mais soignez vous avant. Ensuite, au lieu de « je dois maigrir »-> « je dois avoir une bonne digestion (pas de gaz, pas de ballonnement de dhiarree ni de constipation) perso ça m’a changé la vie. Et ne vous entourez pas des personnes qui jugent vos assiettes notamment je pense à la cantine au lycée. On remarquera que souvent ce sont les hommes qui jugent la nourriture dans notre assiette, terrifiés que les femmes prennent le pouvoir sur leur corps. Pour une société saine, il nous faut des femmes en bonne santé, et des hommes aussi. Mon père m’a toujours dit que les Palestiniens mouraient de faim, pourquoi moi je fais ça, et bien je suis malade, et c’est valide. Il y aura toujours pire. Arrêtez de vous peser car cela ne veut rien dire, votre corps sait. Accepter que on a pris plus de poids que ce qu’on avait avant est essentiel. Oui, tu as le droit au repos et à dormir jusqu’à 12h sans faire de sport pendant 1 an. Et les autres n’ont rien à dire. La comparaison aux sportifs bien qu’elle soit compliquee on doit aussi se dire que sûrement beaucoup de sportifs souffrent de TCA. De plus regardez les JO : les corps diffèrent. Oui, les femmes ont des corps musclés et absolument beaux mais pour faire de telles performances et courir et lancer des poids elles mangent parfois plus que les 2300calories pré requises. Bonne chance à tous et stoppez le « demain je me reprends » car le temps fera les choses, pas le début du mois ou de la semaine. Osez prendre des goûters et des collations et osez vivre. Comparez vous aux bonnes personnes : ceux qui guérissent ❤
Bonjour, ma fille souffre d'anorexie depuis 10 mois. Elle sait qu'elle est malade, elle est suivie mais elle ne veut pas guérir. Elle le dit clairement. Elle refuse. Je fais comment?
Bonjour, je suis sincèrement désolée d'entendre ceci. Malheuresement je n'ai pas réponse à tout, chaque cas est totalement individuel, nous avons toutes des raisons différentes qui causent la maladie et ainsi nous avons toutes besoins de raisons différentes pour s'en sortir. Je dirais que la première chose à faire est de s'assurer que cette pulsion n'est pas guidée par l'apparence, si elle est plongée dedans parce qu'elle est beaucoup sur les réseaux et se compare beaucoup, alors c'est extremement dur, il faut l'exposer le plus possible à des corps de toutes formes. Ensuite, si elle est autant déterminée, il y a surement une cause plus profonde que seul un psy ou psychiatre pourra comprendre (harcèlement, rejet des émotions, sentiment d'être différente, traumatisme, etc...).
En attendant, vous, tout ce que vous pouvez faire (et ça ne sera pas facile, il est normal que des disputes éclatent mais tenez bon.) , redonnez lui gout à la vie. Si elle a des activites qu'elle aime faire faites les avec elle, faites la sortir, trouver ce qui peut la passionner. Il faut qu'elle trouve quelque chose qu'elle aime tellement faire qu'elle ne pourra plus se laisser partir ainsi. Et soyes présents à ses cotés, avec beaucoup d'amour et, je sais que c'est dur, mais essayez surtout d'être à l'écoute, et de lui demander régulièrement d'expliquer ce qu'elle ressent. Renforcer le lien avec les parents avec bienvaillance est important, il permet de causer une certaine culpabilité qui est juste utile pour se dire que nous ne pouvons plus continuer de faire souffrir nos proches ainsi, et que nous souhaitons aller mieux pour etre présent pour eux.
Je vous envoie énormément de courage, et surtout, ne restez pas seuls. Sentez vous libres vous aussi de vous exprimer et d'échanger avec des médecins et parents qui ont connu ça. Prenez soin de vous, eiwa