THE PALE RIDERS-OLD WORLD TOMBS(Les Tombeaux du Vieux Monde)

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  • Опубликовано: 6 окт 2024
  • ALBUM OUT 13/10 EVENING on :
    lsdlmcompagnie... (merch&digipack)
    hmmrbt.bigcart...
    (LP’s & digipack)
    On this track THE PALE RIDERS are :
    Jon : Guitar/Bass/ Lapsteel & Drum Programming.
    Thorwald : Vocals & Lyrics.
    Paul Waggener : Vocals & Lyrics.
    David Lee Archer : Rolling cigarets & pooring picon bière.
    Graphics and Pale Riders’s battle flag made by HexenKunst Gesellschaft.
    Photography by ODE TO THE OLD.
    -OLD WORLD TOMBS-
    Pulled from the wreckage
    Brought to the light
    Rebirth from beyond the grave
    Millions de créatures,
    Rampantes et immondes.
    Ironclad horses black as the asphalt
    From their hearts drips the bleeding light
    Prisonnières du faux
    Affranchies du vrai,
    Vouées au néant qu’elles sèment.
    From throats choked with death comes thunder and rain
    Our minds light your cities aflame
    Ni boulets ni chaînes,
    Sur leurs membres mous
    Ni barreaux ni remparts,
    Dans leurs sillages ternes.
    Cold neon lights
    Reflect from our eyes to wash all your world away...
    Juste la frayeur
    Au fond de leur cœur
    Devenant le germe.
    Pantins désarticulés
    Errant sans quête,
    Scolopendres boiteux
    Se fuyant eux-mêmes.
    Se perdant sans cesse
    Dans la non-destinée d’un enfer sécurisé.
    Jaloux de notre flamme,
    Maquillés du sang de nos morts
    Leurs gueules grandes ouvertes ont crié à notre exil.
    Dead Rider - Man’s son
    No flags no country to love
    Ride on, Man’s son
    Ain’t got no country, no home
    Fear and Lust - Sex + Respect
    Anywhere I go, I get what I want
    Blood comes down hot like rain
    Gunsmoke’s like an incense to me.
    Dead wrong- Done with man
    I don’t want no heart or no soul
    Right hand on a gun
    If they get me then I’m not comin’ home...
    Reclus dans les tombeaux du Vieux Monde
    Mille colères ancestrales s’unissent et grondent. Dans les tombeaux du Vieux Monde
    L’esprit souffle où il le désir,
    Les cœurs s’accélèrent... ou succombent.
    Nous somme la foudre qui se perd dans la mer du souvenir et qui exulte,
    Nous sommes le phare isolé au milieu du tumulte.
    Nous sommes libres, dans les tombeaux du vieux monde.
    Pendant que les sots dorment sans rêves,
    C’est sans sommeil que nous rêvons, sans trêve. Nous rêvons de ce siècle voué à l’essence,
    A ce feu silencieux enclôt dans nos cœurs
    Qui luisent comme l’étincelle des étoiles du soir.
    Sortant du miroir, attaquant les sillages que leurs dogmes cloisonnent,
    Nos regards flottent comme des étendards
    Scrutant l’avenir à travers le vitrail d’une vieille cathédrale.
    Ils sont là, le pas traînant
    Creusant un charnier béant.
    Sans fleurs, sans couronne ni épitaphe
    De leur monde, rien ne restera...pas même une tombe.
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