que peut-on dire à une maman pour lui marquer tout l'amour que l'on a pour elle, toute la sublimité du dire et l'intonation du battement du coeur plein de soupirs lorsqu'on la perd merci Gilles pour la lecture, merci Thierry pour la poésie
Merveilleux poème très touchant , Maman c'est notre plus grand amour !!!!!!!!!!! Amitié Raymond de Marseille !!!!!!!!!
13 лет назад+1
Maman s'en est allée, endormie pour une nuit infinie ,il y a peu... mais comme il me semble que ça fait longtemps déjà, elle s'en est allée,seule, de sa prison de silence et peut être désormais, pourra t' elle entendre ce beau poème que vous avez dédié à votre maman mais aussi à toutes nos mamans. Merci cher Thierry,pour votre immense talent, pour vos sentiments remplis d'émotion qui font chauds à nos humbles cœurs. Merci Thierry. Joël
Vibrant homage à toutes les mamans parties à jamais laissant leurs enfants grands ou petits orphelins portés par cette belle voix oh combien touchante , émouvante, attendrissante à l image de l amour d une mère. Merci Mr pour ce choix, cette œuvre d art magique également pour toutes les mamans vivantes .
Bouleversant!!! Il se produit toujours un miracle lorsque deux grands créateurs s'unissent dans un même élan d'osmose et d'amour!!! Merci!!!!!!! Johanne
Je me délecte en écoutant ce bel hommage à la mère qui laisse cette empreinte solennelle et émouvante dans le coeur et l'esprit du poète ! Tous les détails de la description de cette maman si gracieuse, la rend divine et divinement sacrée ! De plus, cette voix si éthérée rend cet attachement maternel très émouvant, j'aime beaucoup.
Bravo!!!! Magnifique poème, belle voix et une façon de réciter, hors commun. Merci Mr. Thériault d'une si belle présentation et merci à Mr. Cabot de produit un poème assez riche de sentiment et beauté. Mes salutation d'outre mer au Brésil.
très beau poème car j'aime la poésie et ma maman étant disparue voilà plus de 30 ans un 6 janv mais on n'oublie jamais et comme le disait frédéric Dard "le vrai tombeau des morts est dans le coeur des vivants"
tres belle et tres triste poeme où l'enfant qui a perdu sa mère s'aperçoit que s'en elle,il ne peut vivre, cet amour fusionel est trop intense pour ll'enfant de la mère car là on approche la vénération et cela peut être grave, car cet homme ne trouvera pas de femme à la dimension de sa mére.THOMAS ANDRE
The mellow voice, the wonderful cello & and the expressive picture are already quite overwhelmingly beautiful. I suppose it would almost be too much, if I could also comprehend, what is being said ;o) Thanks ~ and kind regards from Ontario
MAMAN Mère n’est plus ; l’enfance est morte Et moi, je suis toujours vivant ; Un fleuve arrêté qui n’emporte Que de la poussière et du vent. Ses yeux nacrés, son teint magique, Ses longs doigts souples et rêveurs Jouaient une même musique Aux plus délectables saveurs. Il flottait je ne sais quel trouble Dans son beau rire flamboyant, Tout à la fois sincère et double Comme un grand soleil ondoyant. Lorsqu’elle allait, le ciel aux lèvres, A mon petit bras jalousé, J’étais saisi de douces fièvres Au seul prodige d’un baiser. Sa haute chevelure altière En boucles brunes voletant, Semblait pour moi la grâce entière Sous l’ample houle de l’autan. L’orgueil enflammait son pied tendre, Le jour s’étoilait de stupeur Et je voyais l’amour s’étendre Si loin, si loin qu’il faisait peur… II Mon idole unique, ma mère, Reconnais-tu cet orphelin ? Toi qui fuyais tant l’éphémère, O toi, mon éternel câlin ! Quand ton image se dérobe, Je crois entendre maintes fois Le bruissement nu de ta robe, Le cher miracle de ta voix. De mes mains vides et souffrantes, Je crois encore un peu toucher Toutes les douceurs fulgurantes Dont rien n’a pu me détacher. Maman, c’est trop ; je hais le monde, Je hais la vie où tu n’es pas. Vite ! qu’enfin mon pas se fonde Dans la lumière de ton pas.
@TAMdeGledel Merci pour votre généreux commentaire. Je comprends vos attentes face à la ‘déclamation’. Cependant c’est par choix que je tente de garder une certaine ‘distanciation’ ; de ne pas ‘jouer’ le texte, pour servir le plus possible de médiation. Et paraphrasant Léo Ferré, je tente que ma voix ne soit qu’un archet qui frotte les mots, sachant que le luthier, c’est l’auteur du texte, le poète.
Dans ce poème, il y a deux extrêmes: Un diseur, celui qui décrit en mots et si bien qu'on en a la chair de poule, et le compositeur tout aussi pro, dommage que cette époque soit si lointaine, Peut-t-il revenir ce temps où les mères ou les femmes; étaient respectées pour ce qu'elles étaient vraiment??? Et pourtant, elles n'ont pas changer... elles sont les mêmes au-dedans!!!!
J'ai le plaisir de vous annoncer, aujourd'hui, la parution de l'édition complète de mon livre intitulé "La Blessure des Mots". www.accents-poetiques-editions.com/produit/la-blessure-des-mots/ En voici, ci-dessous, l'avant-propos : Cette œuvre poétique, longtemps méditée et dont la création s'est étalée sur plus de quatre décennies (de 1978 à 2019), a évidemment un début et une fin. Les textes, que vous pouvez découvrir ou redécouvrir dans ce livre, gagnent à être lus dans l'ordre qui a présidé à leur élaboration. Pourquoi ? Parce que, même si chacun d'eux obéit à une logique interne, une trame précise en gouverne l'ensemble. De la première partie intitulée « Le temps » à la dernière intitulée « La foi en question », c'est en effet à une sorte de cheminement, de voyage, à la fois émotionnel, esthétique et spirituel, qu'est ici convié le lecteur. Soixante-six poèmes sont venus s'ajouter de manière quasi naturelle à la précédente édition afin de donner une impulsion et un prolongement nouveaux à ma démarche artistique. Ils forment eux-mêmes l'élargissement d'une vision, d'un regard, d'un questionnement sur le monde et la vie. Ils ne peuvent en rien être dissociés des autres. Grâce à un phénomène de capillarité, lesdits poèmes non seulement dialoguent entre eux mais ont vocation à se fondre dans le creuset des pièces composées plus tôt. Celle qui clôt le livre et en résume un peu la substance ferme à cet égard la boucle d'un long itinéraire suivi avec obstination. Au terme de cette dernière étape, dans la lumière crue de l'achèvement, me voilà pour le moins saisi par le vertige. La Blessure des Mots va désormais poursuivre son chemin toute seule... Puisse-t-elle, chers amis lecteurs, trouver une petite place dans votre cœur ! En voici, ci-dessous, l'avant-propos :
Toujours aussi émue devant la puissance des images qui disent le vide insupportable ressenti face à l'absence maternelle : "Mettre ses pas dans les pas de lumière" ne peut consoler que ceux qui ont acquis la conviction que tout ne finit pas avec la Mort.
Merci pour ce beau poême, Maman ,ce mot si souvent répété par petits et grands
même si la mienne est partie là-haut,c'est toujours Maman
j'adore, aussi la musique reposante et le beau texte si riche et troublant
merci
que peut-on dire à une maman
pour lui marquer tout l'amour
que l'on a pour elle, toute la sublimité du dire et l'intonation du battement du coeur plein de soupirs lorsqu'on la perd
merci Gilles pour la lecture, merci Thierry pour la poésie
Merveilleux poème très touchant , Maman c'est notre plus grand amour !!!!!!!!!!!
Amitié Raymond de Marseille !!!!!!!!!
Maman s'en est allée, endormie pour une nuit infinie ,il y a peu... mais comme il me semble que ça fait longtemps déjà, elle s'en est allée,seule, de sa prison de silence et peut être désormais, pourra t' elle entendre ce beau poème que vous avez dédié à votre maman mais aussi à toutes nos mamans.
Merci cher Thierry,pour votre immense talent, pour vos sentiments remplis d'émotion qui font chauds à nos humbles cœurs.
Merci Thierry.
Joël
bonjour mon ami merci detre passer tres joli ta pesentasion riri
Vibrant homage à toutes les mamans parties à jamais laissant leurs enfants grands ou petits orphelins portés par cette belle voix oh combien touchante , émouvante, attendrissante à l image de l amour d une mère. Merci Mr pour ce choix, cette œuvre d art magique également pour toutes les mamans vivantes .
Bouleversant!!! Il se produit toujours un miracle lorsque deux grands créateurs s'unissent dans un même élan d'osmose et d'amour!!! Merci!!!!!!! Johanne
Je me délecte en écoutant ce bel hommage à la mère qui laisse cette empreinte solennelle et émouvante dans le coeur et l'esprit du poète ! Tous les détails de la description de cette maman si gracieuse, la rend divine et divinement sacrée ! De plus, cette voix si éthérée rend cet attachement maternel très émouvant, j'aime beaucoup.
Merveilleusement réciter !
Magnifique poème !
Belle voix recitante ce poème de Maman qui n'est plut !!
Amitié de Marseille !!!!!!!
Super ton poéme!!!!!! bel homage pour les mamans qui ne sont plus de ce monde
superbe si fort si doux, si bouleversant merci et bravo jean daniel girard
Bravo!!!! Magnifique poème, belle voix et une façon de réciter, hors commun. Merci Mr. Thériault d'une si belle présentation et merci à Mr. Cabot de produit un poème assez riche de sentiment et beauté. Mes salutation d'outre mer au Brésil.
Merci beaucoup!
j'aime beaucoup ce poème! Merci pour le partage Gilles-Claude Thériault
Je suis bien touchée. Merci beaucoup Thierry. Merci...Susanne.
Magnifique Thierry et grande émotion dans la lecture de Theriault100 !
Merci pour ce beau poême, Maman
j'adhère pleinement
Bravissimo!!!!
Roberto.
très beau poème car j'aime la poésie et ma maman étant disparue voilà plus de 30 ans un 6 janv mais on n'oublie jamais et comme le disait frédéric Dard "le vrai tombeau des morts est dans le coeur des vivants"
"Vite, qu'enfin mon pas se fonde, dans la lumière de ton pas..." Cette phrase me brise vraiment le coeur....
encantador tu video !
A nouveau..j'écoute..très ému...merci..c'est tout...
magnifique poème! merci beaucoup!
Tres Beau Thierry ! :)
Treès beau !
merci !
Beautiful - a very touching and deeply emotional poem. Sad, so sad!
Splenidid......bravo!!
Excellent !! my friend. Great work!! Thumbs up of course. G.
Beautiful poem , expressive paintings
Poema triste - so porque morre um filho a mae nao cessa de ser mae - lindo - amei meu amigo obrigado por enviar -abracos
! chapeau bas *
Very beautiful poem.
Merci pour la vidéo merveilleux.
Beau travail ! : )
mon blog se trouve sur mon pofil...bonne fin de journée
Patrick
Merci à toutes et à tous !
tres belle et tres triste poeme où l'enfant qui a perdu sa mère s'aperçoit que s'en elle,il ne peut vivre, cet amour fusionel est trop intense pour ll'enfant de la mère car là on approche la vénération et cela peut être grave, car cet homme ne trouvera pas de femme à la dimension de sa mére.THOMAS ANDRE
J'adore, j'adore
The mellow voice, the wonderful cello & and the expressive picture are already quite overwhelmingly beautiful. I suppose it would almost be too much, if I could also comprehend, what is being said ;o)
Thanks ~ and kind regards from Ontario
Magnifique poème !
Somptueux !
très émouvant a écouter ♥
très beau poème, ma mère aussi est partie
MAMAN
Mère n’est plus ; l’enfance est morte
Et moi, je suis toujours vivant ;
Un fleuve arrêté qui n’emporte
Que de la poussière et du vent.
Ses yeux nacrés, son teint magique,
Ses longs doigts souples et rêveurs
Jouaient une même musique
Aux plus délectables saveurs.
Il flottait je ne sais quel trouble
Dans son beau rire flamboyant,
Tout à la fois sincère et double
Comme un grand soleil ondoyant.
Lorsqu’elle allait, le ciel aux lèvres,
A mon petit bras jalousé,
J’étais saisi de douces fièvres
Au seul prodige d’un baiser.
Sa haute chevelure altière
En boucles brunes voletant,
Semblait pour moi la grâce entière
Sous l’ample houle de l’autan.
L’orgueil enflammait son pied tendre,
Le jour s’étoilait de stupeur
Et je voyais l’amour s’étendre
Si loin, si loin qu’il faisait peur…
II
Mon idole unique, ma mère,
Reconnais-tu cet orphelin ?
Toi qui fuyais tant l’éphémère,
O toi, mon éternel câlin !
Quand ton image se dérobe,
Je crois entendre maintes fois
Le bruissement nu de ta robe,
Le cher miracle de ta voix.
De mes mains vides et souffrantes,
Je crois encore un peu toucher
Toutes les douceurs fulgurantes
Dont rien n’a pu me détacher.
Maman, c’est trop ; je hais le monde,
Je hais la vie où tu n’es pas.
Vite ! qu’enfin mon pas se fonde
Dans la lumière de ton pas.
@TAMdeGledel
Merci pour votre généreux commentaire.
Je comprends vos attentes face à la ‘déclamation’.
Cependant c’est par choix que je tente de garder une certaine ‘distanciation’ ; de ne pas ‘jouer’ le texte, pour servir le plus possible de médiation.
Et paraphrasant Léo Ferré, je tente que ma voix ne soit qu’un archet
qui frotte les mots, sachant que le luthier, c’est l’auteur du texte, le poète.
Delicious!!!
Dans ce poème, il y a deux extrêmes: Un diseur, celui qui décrit en mots et si bien qu'on en a la chair de poule, et le compositeur tout aussi pro, dommage que cette époque soit si lointaine, Peut-t-il revenir ce temps où les mères ou les femmes; étaient respectées pour ce qu'elles étaient vraiment??? Et pourtant, elles n'ont pas changer... elles sont les mêmes au-dedans!!!!
J'ai le plaisir de vous annoncer, aujourd'hui, la parution de l'édition complète de mon livre intitulé "La Blessure des Mots".
www.accents-poetiques-editions.com/produit/la-blessure-des-mots/
En voici, ci-dessous, l'avant-propos :
Cette œuvre poétique, longtemps méditée et dont la création s'est étalée sur plus de quatre décennies (de 1978 à 2019), a évidemment un début et une fin. Les textes, que vous pouvez découvrir ou redécouvrir dans ce livre, gagnent à être lus dans l'ordre qui a présidé à leur élaboration. Pourquoi ? Parce que, même si chacun d'eux obéit à une logique interne, une trame précise en gouverne l'ensemble. De la première partie intitulée « Le temps » à la dernière intitulée « La foi en question », c'est en effet à une sorte de cheminement, de voyage, à la fois émotionnel, esthétique et spirituel, qu'est ici convié le lecteur.
Soixante-six poèmes sont venus s'ajouter de manière quasi naturelle à la précédente édition afin de donner une impulsion et un prolongement nouveaux à ma démarche artistique. Ils forment eux-mêmes l'élargissement d'une vision, d'un regard, d'un questionnement sur le monde et la vie. Ils ne peuvent en rien être dissociés des autres. Grâce à un phénomène de capillarité, lesdits poèmes non seulement dialoguent entre eux mais ont vocation à se fondre dans le creuset des pièces composées plus tôt. Celle qui clôt le livre et en résume un peu la substance ferme à cet égard la boucle d'un long itinéraire suivi avec obstination.
Au terme de cette dernière étape, dans la lumière crue de l'achèvement, me voilà pour le moins saisi par le vertige. La Blessure des Mots va désormais poursuivre son chemin toute seule... Puisse-t-elle, chers amis lecteurs, trouver une petite place dans votre cœur !
En voici, ci-dessous, l'avant-propos :
MAgique...
:-)
Toujours aussi émue devant la puissance des images qui disent le vide insupportable ressenti face à l'absence maternelle : "Mettre ses pas dans les pas de lumière" ne peut consoler que ceux qui ont acquis la conviction que tout ne finit pas avec la Mort.
j'adore, aussi la musique reposante et le beau texte si riche et troublant
merci