Pour le Moyen-âge, je rajouterai 2 compositeur incontournables : le trouvère Adam de la Halle qui a composé les toutes premières chansons polyphonique profane ainsi que le Jeu de Marion et Robin, une pièce de théâtre mêlée de chants qui préfigure l'opéra, et le compositeur anglais John Dunstable, l'une des influences les plus importantes de Guillaume Dufay.
Connaissez-vous aussi Alphonse le Sage ? Aussi le Llivre Vermell de Montserrat est une merveille. Ludus Danielis est un peu l'arrière-grand-père de l'opéra si on peut dire.
Más que interesante, lo que me molesta es lo rápido que habla y lo corta enseguida. Tendré que escucharlo más veces y me gustaría una muestrita de Monteverdi, músico que adoro. Muchas gracias.
une question à laquelle j'aimerais bien avoir une réponse. Si la musique modale n'a ni diese ni bémol, cela veut dire que l'écoute sans technique a mené à cela, c'est à dire un respect aléatoire du nombre de coma entre chaque note. Et cela doit avoir bien une explication, autre que c'était ainsi... et cela m'intrigue beaucoup mais personne ne semble comprendre mon intéroggation. Donc si vous pouvez m'éclairer
En fait, dès l'Antiquité il y avait la notion de transposition et donc l'utilisation d'un bémol (pour passer de Do à Fa) afin de respecter les intervalles propres aux modes. A vrai dire la notion même d'intervalle avait été théorisée très précisément par Pythagore grâce à des fractions, et la notion de demi-ton était déjà présente à cette époque. C'était loin d'être une période obscure où on ne faisait que tâtonner, en somme :)
8:15 En vérité, cette affirmation n'est pas tout à fait valable pour la totalité du Moyen-âge. En effet, à partir des XIIième-XIIIième siècles, on observe l'apparition d'un important répertoire de musique profane savante notée avec les motets profanes (comme ceux du codex de Montpellier) et les rondeaux polyphonique (comme ceux d'Adam de la Halle). Au XIVième siècle, la chanson polyphonique profane fût même l'un des genres où les compositeurs (Machaut, Landini, Solage...) se sont montrés les plus novateurs et originaux. Je tenais à le souligner car c'est un répertoire que j'aime beaucoup. Très bonne vidéo en tout cas. J'aimerais qu'il y en ait plus dans ce genre sur le RUclips francophone.
Salut. Pas pire ta chaîne! As tu une référence ou vas tu faire une vidéo sur la théorie du début moyen âge, outre le clérical et outre la musique juive...? Car j.ai.deja fait ces recherches. Ps: je dois réécouter ta vidéo pour tout assimiler et bien comprendre... C est un bon signe
Par contre... J aime pas system ni metalica... Pas de haine... Je reste seulement indifférent... Je préfère le style de taake, myrkur, gaahlskag ou Fantômas. Mais les goûts... Ca se discute pas! Bref j espère que tu vas continuer!
très bonne vidéo, mais dommage que tu n'aies pas mentionné tielman susato parmi les compositeurs de la Renaissance, c'est quand meme le premier compositeur à présenter un important répertoire spécifiquement instrumental (bien qu'inspiré par des œuvres vocales). Sinon pour la musique medievale, il y avait quand meme de la musique profane notée bien que très minoritaire.
![[1/3] L'école musicale de Notre-Dame : le contexte](http://i.ytimg.com/vi/3Hcy4x3iBtM/mqdefault.jpg)
mec sérieux merci j'ai un partiel sur ça demain tu gère trop
Très bonne vidéo, bel effort dans l'équilibre entre vulgarisation et pertinence
J'aime beaucoup 👍🏻
C'est très très intéressant et bon! Merci pour ce video!
Si, au Lycée, j'avais eu un Prof de musique avec un tel talent, je n'aurais certainement pas séché les cours comme il m'est arrivé de la faire !
Franchement bravo jeune homme😊
Merci pour cette vidéo, très instructive, claire et pleines de références ! Bravo pour tout ce travail et encore merci !
merci beaucoup pour cette belle vidéo
Pour le Moyen-âge, je rajouterai 2 compositeur incontournables : le trouvère Adam de la Halle qui a composé les toutes premières chansons polyphonique profane ainsi que le Jeu de Marion et Robin, une pièce de théâtre mêlée de chants qui préfigure l'opéra, et le compositeur anglais John Dunstable, l'une des influences les plus importantes de Guillaume Dufay.
Heeuuuu, on en redemande !
Merci!!!
Merci pour ce contenu de qualité :)
Bravo!Any Perla (ex choriste polyphonies)
Connaissez-vous aussi Alphonse le Sage ?
Aussi le Llivre Vermell de Montserrat est une merveille.
Ludus Danielis est un peu l'arrière-grand-père de l'opéra si on peut dire.
Salut gros on t'embrasse bien fort
Sur les partitions de notation carrée, il est d'usage d'indiquer où se trouve le do. Ça serait une forme de clef non ?
Merci !
On peut être un poète
En débitant de la côtelette
Amitiés.
Titi le Troyens
excellente vidéo merci j'aurais du la découvrir avant mon ds de musique j'aurais pas eu 6 hahaha
Más que interesante, lo que me molesta es lo rápido que habla y lo corta enseguida. Tendré que escucharlo más veces y me gustaría una muestrita de Monteverdi, músico que adoro. Muchas gracias.
T'as un petit air de
Motorhead...
Bisous à toi
intéressant voyage historique en musique
une question à laquelle j'aimerais bien avoir une réponse. Si la musique modale n'a ni diese ni bémol, cela veut dire que l'écoute sans technique a mené à cela, c'est à dire un respect aléatoire du nombre de coma entre chaque note. Et cela doit avoir bien une explication, autre que c'était ainsi... et cela m'intrigue beaucoup mais personne ne semble comprendre mon intéroggation. Donc si vous pouvez m'éclairer
En fait, dès l'Antiquité il y avait la notion de transposition et donc l'utilisation d'un bémol (pour passer de Do à Fa) afin de respecter les intervalles propres aux modes. A vrai dire la notion même d'intervalle avait été théorisée très précisément par Pythagore grâce à des fractions, et la notion de demi-ton était déjà présente à cette époque. C'était loin d'être une période obscure où on ne faisait que tâtonner, en somme :)
18.31 N’est-ce pas le Roi Henri III?
Les portraits ce ressemblent, mais c'est bien Clément Jannequin !
8:15 En vérité, cette affirmation n'est pas tout à fait valable pour la totalité du Moyen-âge. En effet, à partir des XIIième-XIIIième siècles, on observe l'apparition d'un important répertoire de musique profane savante notée avec les motets profanes (comme ceux du codex de Montpellier) et les rondeaux polyphonique (comme ceux d'Adam de la Halle). Au XIVième siècle, la chanson polyphonique profane fût même l'un des genres où les compositeurs (Machaut, Landini, Solage...) se sont montrés les plus novateurs et originaux. Je tenais à le souligner car c'est un répertoire que j'aime beaucoup.
Très bonne vidéo en tout cas. J'aimerais qu'il y en ait plus dans ce genre sur le RUclips francophone.
Merci pour la précision !
Amour sécurité pour un
Garçon boucher....
Villon is not dead
Salut. Pas pire ta chaîne! As tu une référence ou vas tu faire une vidéo sur la théorie du début moyen âge, outre le clérical et outre la musique juive...? Car j.ai.deja fait ces recherches.
Ps: je dois réécouter ta vidéo pour tout assimiler et bien comprendre... C est un bon signe
Par contre... J aime pas system ni metalica... Pas de haine... Je reste seulement indifférent... Je préfère le style de taake, myrkur, gaahlskag ou Fantômas. Mais les goûts... Ca se discute pas! Bref j espère que tu vas continuer!
très bonne vidéo, mais dommage que tu n'aies pas mentionné tielman susato parmi les compositeurs de la Renaissance, c'est quand meme le premier compositeur à présenter un important répertoire spécifiquement instrumental (bien qu'inspiré par des œuvres vocales).
Sinon pour la musique medievale, il y avait quand meme de la musique profane notée bien que très minoritaire.