Conversation autour de La Fin, le prochain roman de Stéphane Zagdanski

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  • Опубликовано: 15 окт 2024

Комментарии • 5

  • @Maggie-xe7mp
    @Maggie-xe7mp 6 месяцев назад

    Hâte de vous lire pour cette nouvelle creation !

    • @seminairezagdanski
      @seminairezagdanski  6 месяцев назад

      Merci. Abonnez-vous gratuitement à mon Substack pour avoir les textes !

  • @TabTab51
    @TabTab51 6 месяцев назад

    Hâte de suivre le processus de création. 👍

    • @seminairezagdanski
      @seminairezagdanski  6 месяцев назад +1

      Merci, je continue de développer les réseaux sociaux associés. Le 28 avril, le premier paragraphe sera dévoilé, avec commentaires, discussions et explications incluses.

  • @fethiisri2064
    @fethiisri2064 2 месяца назад

    Votre approche de l’écriture inchoative présente indéniablement un intérêt certain, notamment par le partage d’extraits de textes et de bonnes feuilles dans le cadre d’un processus de création littéraire. Cependant, votre analyse semble quelque peu incomplète. En effet, en vous concentrant principalement sur les conséquences d’un événement ou d’une situation, vous négligez d’explorer en profondeur les causes sous-jacentes ainsi que les solutions potentielles qui pourraient en découler, en tenant compte d’une étiologie sociologique locale.
    En tant qu’intellectuel, ne serait-il pas plus pertinent d’envisager des dénouements plus optimistes plutôt que de se cantonner à des catastrophes prévisibles ? Votre insistance sur une fin tragique pourrait laisser penser à une volonté délibérée de cultiver un pessimisme exacerbé. Ne devrions-nous pas, au contraire, chercher à transcender les limites d’une vision strictement réaliste pour envisager des futurs alternatifs plus prometteurs ?
    Il est vrai que les religions se recoupent souvent et peuvent influencer notre perception du monde. Néanmoins, en tant qu’intellectuels, nous avons la capacité de dépasser ces croyances et de construire courageusement une vision plus rationnelle et universelle de l’existence commune et pacifique. Pourquoi ne pas utiliser cette capacité pour imaginer un monde meilleur plutôt que de se complaire dans les pires scénarios ? Si un dieu existait, serait-il contre sa création ? Et s’il n’existait pas, le logos aurait-il perdu la raison ?
    P.S. : Je vous ai écouté jusqu’à la fin sans pouvoir intervenir. Dommage.