Los Bitchos, du rock psyché à la sauce latino-orientale

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Комментарии • 10

  • @KimTebrok
    @KimTebrok Год назад +4

    Beautiful young women. Very talented, happy & I wish them all the success in the world❤️❤️❤️

  • @peterbrown8880
    @peterbrown8880 15 дней назад

    Fantastic Interview!!

  • @k-vn-7
    @k-vn-7 Год назад +2

    Love Los Bitchos, nice interview!

  • @andrewpreston4127
    @andrewpreston4127 2 года назад

    Enjoyed that, good interview.

  • @MALikeThis
    @MALikeThis Год назад

    las amoooo, Los Bitchos me dan vidaaaaa. Las espero en argentina.

  • @Localpeople13
    @Localpeople13 Год назад

    Mmm Augustina... I like her so much ..

  • @ingydar
    @ingydar Год назад

    they're so fucking cool and talented, love

  • @v4life83
    @v4life83 2 года назад

    You made such a recipe that might not consider any other psychedelics no more.

  • @relocazo
    @relocazo 7 месяцев назад +1

    Gardel is from France, he had an uruguayan ID, but he didnt born in Tacuarembo. And he used to sing "mi buenos aires querido".

    • @CasimirLeYeti
      @CasimirLeYeti 5 месяцев назад

      you're bloody well right! You've got a part in english below.
      Dès 1998, la professeure Christiane Bricheteau prouve de façon irréfutable les origines toulousaines de Carlos Gardel du côté maternel. Elle démontre qu'il est le fils naturel de Marie Berthe Gardes et qu'il est né à Toulouse, à l'hospice Saint-Joseph de la Grave, le 11 décembre 1890. En 2008, elle découvre que Carlos Gardel était aussi le fils illégitime d'un Toulousain nommé Paul Lasserre. En 2010, photographies à l'appui, elle en fait la démonstration dans son livre intitulé Carlos Gardel fils de Toulouse - Vérité et preuves en images.
      Le choix de la nationalité uruguayenne par Gardel aurait eu pour but de lui éviter certains problèmes lors de ses tournées européennes et plus particulièrement en France. En effet, de par sa naissance dans ce pays, le citoyen Charles Romuald Gardes était mobilisable dans l'armée française. Une première fois en 1910, pour effectuer son service militaire d'une durée de deux ans à l'époque, puis surtout en 1914 : Charles Romuald Gardes, célibataire, était mobilisable et, cette fois, pour toute la durée du premier conflit mondial.
      Ne s'étant pas présenté aux autorités militaires françaises par deux fois, Charles Romuald Gardes fut donc considéré comme « insoumis » récidiviste. Pour sa première défection, Charles Romuald Gardes risquait cinq ans d'emprisonnement. À partir de 1914, et ce jusqu'au 11 décembre 1943, date à laquelle il aurait été automatiquement amnistié, la deuxième insoumission de Charles Romuald Gardes le rendait passible de la peine de mort. Mais en tant que ressortissant uruguayen et en absence de convention d'extradition entre la France et l'Uruguay (ce sera le cas jusqu'en 1966), Gardel put ainsi jouir d'une immunité totale.
      Concomitamment aux publications du professeur Bricheteau, en 2006, un premier ouvrage coécrit par un trio franco-argentin formé de Monique Ruffié, Juan Carlos Estéban et Georges Galopa corrobore la thèse d'un Charles Romuald Gardes et d'un Carlos Gardel, personne unique. Les auteurs compléteront ce travail initial dans trois autres ouvrages.
      Ce n’est pas par hasard si, dans les quartiers populaires de Buenos Aires en Argentine, Gardel était surnommé « El Francesito » (le petit Français). En France, la connaissance des origines toulousaines de Gardel est toujours restée vivace à Toulouse, de même que sa naissance entourée d'un parfum de scandale. Enfin, les nombreuses visites que Gardel fit à sa famille toulousaine et tarnaise, les photographies faites à ces occasions, ses courriers et son testament olographe étayent solidement et durablement la thèse des origines françaises de celui qui fut l'inventeur emblématique du tango chanté.
      Par comparaison, la thèse uruguayenne ne repose sur aucun fait avéré. De plus, elle n’est pas corrélée par des actes administratifs officiels tels que le certificat de naissance ou de décès de l'enfant « soi-disant substitué » et elle ignore l'endroit répertoriant la sépulture dudit enfant. Enfin, contrairement à la thèse française, « la fable uruguayenne » ne peut s'appuyer sur aucun document photographique d'un Gardel en famille...
      la messe est dite comme on dit en français = the die is cast!
      If you can't read french, you've got the same conclusion in 'The Life, Music, and Times of Carlos Gardel' by Simon Collier:
      In the first biography in English of the great Argentinian tango singer Carlos Gardel (1890-1935), Collier traces his rise from very modest beginnings to become the first genuine “superstar” of twentieth-century Latin America. In his late teens, Gardel won local fame in the barrios of Buenos Aires singing in cafes and political clubs. By the 1920s, after he switched to tango singing, the songs he wrote and sang enjoyed instant popularity and have become classics of the genre. He began making movies in the 1930s, quickly establishing himself as the most popular star of the Spanish-language cinema, and at the time of his death Paramount was planning to launch his Hollywood career.
      Collier's biography focuses on Gardel's artistic career and achievements but also sets his life story within the context of the tango tradition, of early twentieth-century Argentina, and of the history of popular entertainment.
      Scholars such as Vanderbilt University history professor Simon Collier, University of Belgrano agriculture history professor Osvaldo Barsky and Uruguayan history professor Jorge Ruffinelli from Stanford University write about how Gardel was born in Toulouse, France, in 1890, and how he laid a false trail about his birthplace beginning in 1920, when he was almost 30.