Quel rôle joue la science en démocratie ?

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  • Опубликовано: 13 сен 2024
  • Ancien directeur général du CNRS et PDG de l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (IFREMER), Pierre Papon est professeur honoraire à l’École supérieure de physique et chimie industrielles de Paris (Université PSL) et conseiller scientifique de Futuribles international.
    Il publie "La démocratie a-t-elle besoin de la science ?" (CNRS, 17 septembre 2020), où il défend le rôle de vigie de la science. En outre, la crise sanitaire a mis en lumière le rôle crucial de l’expertise scientifique, laquelle prend de plus en plus de place dans l’élaboration des politiques publiques. En même temps, si la science a contribué à améliorer les conditions de vie de chacun, elle est souvent contestée.

Комментарии • 8

  • @LegalmanXXVII
    @LegalmanXXVII 3 года назад +5

    En termes de culture générale...
    Tu veux réussir l'ENA, écoute aussi cette émission. Period.

  • @agnesburnand4866
    @agnesburnand4866 3 года назад +4

    Ce monsieur passe à côté d une question essentielle, celle des propres croyances de la science, c est -à -dire de l observateur . En séparant d un côté la science assimilé au réel et au vrai de la politique, le subjectif et le contingent.
    Dommage. Le sujet méritait mieux.

  • @bolt8987
    @bolt8987 3 года назад +1

    Merci

  • @Joe_from_Rio
    @Joe_from_Rio 3 года назад +5

    25:10 : Quelques chiffres
    - Salaire net de post-doc en Suisse : 4600 euros net
    - Salaire de chercheur débutant en France : 1800 euros net
    - Salaire d'ingénieur débutant en France : 2500 euros net
    - Salaire d'ingénieur débutant en Suisse : 7000 euros net

    • @CamilleCommercy
      @CamilleCommercy 3 года назад

      Peut-être faudrait-il aussi en terminer avec cette volonté d'enrichissement individuel comme horizon indépassable.

    • @Joe_from_Rio
      @Joe_from_Rio 3 года назад

      @@CamilleCommercy ce n'est pas qu'une question de salaire : les cadres de vie et de travail rentrent aussi en compte. Exemple : vous êtes post-doctorant en Suisse, avec un salaire, des conditions de vie (lac, montagne, sécurité etc.) et de travail (salle blanche, équipements de pointe) exceptionnels. A l'issue de votre post doctorat vous avez le choix entre :
      1- Devenir chercheur en Suisse : c'est le jackpot (intérêt du travail, cadre, salaire etc.) mais la sélection est impitoyable à l'entrée
      2- Passer dans l'industrie en devenant ingénieur avec des avantages en France (plus de congés qu'en Suisse) ou en Suisse (salaires élevés et autres avantages comme le cadre), sachant que votre doctorat pourra être pénalisant au recrutement en France (alors qu'il est valorisé en Allemagne).
      3- Passer un concours très sélectif pour entrer dans la recherche française (CNRS ou Université), avec un salaire divisé par 2 (par parité de pouvoir d'achat), une baisse de votre confort de vie et de travail et une surtout une évolution de carrière moins ambitieuse que celle de l'ingénieur (en termes de mobilité, salaire, responsabilités, variété). Autre aspect : il vous faudra probablement plusieurs années avant d'être enfin recruté, ce qui vous contraindra probablement à rempiler pour un autre post doc en attendant.
      A moins d'être très motivés par la recherche (et supporter tous les travers liés au monde de la recherche), la plupart des post-doctorants miseront sur l'option 1 ou 2 plutôt que de parier sur un poste dans la recherche française. C'est l'une des raisons pour laquelle la plupart de mes collègues avec qui j'ai fait mon doctorat sont ingénieurs ou chercheurs à l'étranger.

  • @Dummy257
    @Dummy257 3 года назад +2

    """""""""""""""""""""""""""Démocratie."""""""""""""""""""""""""""

  • @alf9340
    @alf9340 3 года назад +1

    Scientisme?