La quintessence d'une forme de skate punk avec le D-Beat omniprésent, la progression des accords pop et la voix nasillarde. L'évolution vers le pop-punk (bien que Nofx n'ait jamais complètement sauté le pas) est ouverte ! Carousel de blink, construit quasiment pareil, et parlant d'un sujet quasi similaire mais sur un ton plus sérieux (un gars pauvre mais malheureux alors que l'histoire de Linoleum est quand même celle d'un vagabond joyeux), le montre très bien. NOFX sont quelque part entre le punk de Bad Religion et le skate punk de Lagwagon. Et pour moi ça les rend vraiment uniques.
Ce morceau est une tuerie. Je connais nofx sur le bout des doigts et je pensais que pump up the valium était leur album le plus vendu par contre. Et tu me diras où est ce qu’on passe du nofx encore comme tu le dis. Malheureusement j’entends jamais ça ailleurs qu’à leurs concerts ou dans de de très rares bars. J’oubliais : The decline ! Meilleur morceau.
@@danielito2264 Alors Iinoleum je l’ai bcp entendu dans des bars (a Rennes et a Paris), ainsi qu’en morceau d’attente sur le concert de Sum 41 (c’est pas étonnant vu la filiation NOFX - Sum 41, mais c’est notable quand-meme) ! The décline incroyable ! Je vais checker les chiffres de pump up
Ce que tu dis n'est pas faux, mais n'est pas complètement vrai non plus. C'est vrai qu'il y a eu de nombreuses chansons qui ont eu des succès inattendus. Des morceaux fait à l'arrache, des blagues, des faces B, ou des ovnis que personne n'attendait. On peut parler aussi 2 morceaux qui ont été calibrés pour devenir des succès et qui ont fait de lamentables flops. Mais il faut dire aussi qu'il y a des recettes qui marchent. Même si NOFX a réussi affaire sans succès sortant des sentiers battus, les plus gros succès ont des rimes, des couplets et des refrains. Des producteurs et des compositeurs utilisent des techniques de théorie musicale qui ont fait de multiples fois leurs preuves. Il y a même des hits accidentellespp, qui deviennent des recettes de fabrication pour produire des succès à la chaîne ( ces méthodes et leurs chansons ont souvent une durée de vie limitée). S'il n'y avait pas de recette, il n'y aurait pas de Max Martin. Aujourd'hui on est à l'ère de l'interpolation et de l'intelligence artificielle. Preuve que les recettes existent bel et bien. Bien sûr que les choses sont toujours une part d'aléatoire, mais quand cette aléatoire survient, elle sera intégrée et rentrera dans le rang. On enferme souvent la musique dans un système parce que c'est rassurant. C'est rassurant pour l'oreille de l'auditeur effet rassurant pour l'industrie du disque. Sauf que l'auditeur de temps en temps, as soif de quelque chose de nouveau. Cette nouveauté, ça te fraîcheur hors cadre, devient un succès . L'industrie du disque prix d'abord au dépourvu, l'analyse, s'adapte, puis finit par l'intégrer au système. L'industrie est rassurée, mais l'oreille de l'auditeur aussi. L'auditeur il reviendra dans des moments de nostalgie, quand il manquera d'assurance concernant le futur. Après tout, c'était toujours mieux avant.
Je suis 100% d’accord avec toi. En fait, j’ai axé ma vidéo sur ce sujet car c’est une belle leçon qu’on peut tirer de Linoleum. Mais le sujet peut (et doit) se nuancer. Avant tout, on parle ici de punk : donc c’est déjà un style biaisé pour parler de ça : l’erreur/l’impro / le diy / l’attitude à l’arrache/.. font que dans son essence, on peut + toucher un succès accidentel qu’ailleurs. Également : Linoleum n’a beau pas avoir de refrain: sa chord progression est quand même déjà vue et revue, il y a des répétitions, et bcp de points analysables et intellectualisables dans le morceau. Et enfin, tu as raison sur les Max Martin etc. Bien sûr! Malgré ça, je pense que ça vaut quand-même le coup de parler de la beauté de l’accidentel, et de la “puissance” de l’art. “Qu’est-ce qui est un succès ? Qu’est-ce qui fait une chanson?” Etc. Car je trouve que ca porte tout de même une certaine vérité. Merci de ton com !
![Who Wrote a Short Story That Seriously Disturbed a Teacher? | Dirty Laundry x Smosh [Full Episode]](http://i.ytimg.com/vi/bvHAy_rKoEI/mqdefault.jpg)
La quintessence d'une forme de skate punk avec le D-Beat omniprésent, la progression des accords pop et la voix nasillarde. L'évolution vers le pop-punk (bien que Nofx n'ait jamais complètement sauté le pas) est ouverte ! Carousel de blink, construit quasiment pareil, et parlant d'un sujet quasi similaire mais sur un ton plus sérieux (un gars pauvre mais malheureux alors que l'histoire de Linoleum est quand même celle d'un vagabond joyeux), le montre très bien. NOFX sont quelque part entre le punk de Bad Religion et le skate punk de Lagwagon. Et pour moi ça les rend vraiment uniques.
Je suis totalement d’accord avec ta vision !!
Happy birthday "Linoleum" ! Best song ever !!!
Franchement OUI
🤘.
Intéressante ta vidéo.😉
Ta conclusion sur la "'réussite " du titre est pas mal.👍
Merci!
@@narocoon
De rien.😉
Ce morceau est une tuerie. Je connais nofx sur le bout des doigts et je pensais que pump up the valium était leur album le plus vendu par contre. Et tu me diras où est ce qu’on passe du nofx encore comme tu le dis. Malheureusement j’entends jamais ça ailleurs qu’à leurs concerts ou dans de de très rares bars.
J’oubliais : The decline ! Meilleur morceau.
@@danielito2264 Alors Iinoleum je l’ai bcp entendu dans des bars (a Rennes et a Paris), ainsi qu’en morceau d’attente sur le concert de Sum 41 (c’est pas étonnant vu la filiation NOFX - Sum 41, mais c’est notable quand-meme) !
The décline incroyable !
Je vais checker les chiffres de pump up
Moi je croyais que c'était Leave It Alone leur morceau le plus populaire.
il est très populaire c’est vrai! mais Linoleum est vraiment celui qui a le + marqué commercialement et artistiquement à ma connaissance
Ce que tu dis n'est pas faux, mais n'est pas complètement vrai non plus.
C'est vrai qu'il y a eu de nombreuses chansons qui ont eu des succès inattendus. Des morceaux fait à l'arrache, des blagues, des faces B, ou des ovnis que personne n'attendait.
On peut parler aussi 2 morceaux qui ont été calibrés pour devenir des succès et qui ont fait de lamentables flops.
Mais il faut dire aussi qu'il y a des recettes qui marchent. Même si NOFX a réussi affaire sans succès sortant des sentiers battus, les plus gros succès ont des rimes, des couplets et des refrains. Des producteurs et des compositeurs utilisent des techniques de théorie musicale qui ont fait de multiples fois leurs preuves.
Il y a même des hits accidentellespp, qui deviennent des recettes de fabrication pour produire des succès à la chaîne ( ces méthodes et leurs chansons ont souvent une durée de vie limitée).
S'il n'y avait pas de recette, il n'y aurait pas de Max Martin. Aujourd'hui on est à l'ère de l'interpolation et de l'intelligence artificielle. Preuve que les recettes existent bel et bien.
Bien sûr que les choses sont toujours une part d'aléatoire, mais quand cette aléatoire survient, elle sera intégrée et rentrera dans le rang.
On enferme souvent la musique dans un système parce que c'est rassurant. C'est rassurant pour l'oreille de l'auditeur effet rassurant pour l'industrie du disque. Sauf que l'auditeur de temps en temps, as soif de quelque chose de nouveau. Cette nouveauté, ça te fraîcheur hors cadre, devient un succès . L'industrie du disque prix d'abord au dépourvu, l'analyse, s'adapte, puis finit par l'intégrer au système. L'industrie est rassurée, mais l'oreille de l'auditeur aussi. L'auditeur il reviendra dans des moments de nostalgie, quand il manquera d'assurance concernant le futur. Après tout, c'était toujours mieux avant.
Je suis 100% d’accord avec toi.
En fait, j’ai axé ma vidéo sur ce sujet car c’est une belle leçon qu’on peut tirer de Linoleum. Mais le sujet peut (et doit) se nuancer.
Avant tout, on parle ici de punk : donc c’est déjà un style biaisé pour parler de ça : l’erreur/l’impro / le diy / l’attitude à l’arrache/.. font que dans son essence, on peut + toucher un succès accidentel qu’ailleurs.
Également : Linoleum n’a beau pas avoir de refrain: sa chord progression est quand même déjà vue et revue, il y a des répétitions, et bcp de points analysables et intellectualisables dans le morceau.
Et enfin, tu as raison sur les Max Martin etc. Bien sûr!
Malgré ça, je pense que ça vaut quand-même le coup de parler de la beauté de l’accidentel, et de la “puissance” de l’art. “Qu’est-ce qui est un succès ? Qu’est-ce qui fait une chanson?” Etc. Car je trouve que ca porte tout de même une certaine vérité.
Merci de ton com !