Ah oui super idee le clivage ! Et puis il y a tous les autres mécanismes de defense...de quoi faire un max de videos...merci pour ce travail et bravo !
Bonjour !! J'adore vos vidéo j'ai une question , le déni ne l'utilise-t-on pas tous à certain moment pour process des situation que le refoulement peut pas gérer ? Et que se passe-t-il quand on en manque ? heu question de moldus dsl si c'est pas clair 😅
Mes parents m'ont toujours dit qu'il m'ont conçu par accident dans les brouillards du Rhone… et vu mon mois de naissance ça m'est facile de les imaginer à la sortie d'un bal populaire en début d'hiver 😘
Du coup je me pose une petite question suite à ces éclairages type "spot white" : oublier quelque chose (un rendez-vous, un événement...) peut-il s'apparenter ou être une conséquence d'un refoulement ou c'est encore autre chose ? Et quand on se dit "mais non ça va pas bouchonner" alors qu'on sais pertinemment qu'on part en pleine heure de pointe sur une route très fréquentée c'est plutôt du refoulement du coup ? parce que justement là on aurait tendance à dire à la personne qu'elle est "dans le déni", hors l'information elle l'a, c'est juste qu'elle "décide" (c'est un grand mot) de ne pas en tenir compte car c'est plus "confortable" comme ça... ? Du coup en réalité je me dis que les situations de réels déni doivent être finalement assez peu nombreuses pour la plupart des gens contrairement à ce que l'on pourrait penser à cause d'un abus de langage... ^^ (ou alors j'ai rien pigé et faut que je regarde à nouveau la vidéo xD) Et enfin pour revenir au thème de la mort et du fait que le refoulement permet de se "protéger" et de vivre "normalement", je me demandais ce qu'il en était des personnes qui réussissent à être "ok" avec l'idée de leur mort, je veux dire en totale acceptation (je pense notamment aux maîtres "zen" ou grand adeptes de la méditation par exemple parmi d'autre possibilités) parce que j'ai eu une période comme ça ou l'idée de ma propre mort ne me faisais plus peur quand j'y pensais, comme si j'avais réussi à l'accepter, et je me sentais tellement plus sereine en réalité... c'est plus le cas depuis un petit moment (va comprendre pourquoi mais bref) et je sens bien que je suis plus aussi "tranquille" face à beaucoup de choses dans ma vie, du coup j'étais curieuse d''avoir un avis éclairé là dessus aussi ;)
Bonjour il me semble qu´on peut présenter parfois du déni, parfois du refoulement parfois du clivage? Définir la structure me semble très compliqué et même dommageable non?
En effet c'est surtout une question d'échelle, telle structure aura plutôt tendance à utiliser (à "trop" utiliser lorsque c'est pathologique) tel ou tel mécanisme, mais n'utilise pas exclusivement celui-ci. Et cela ne suffit pas pour faire une hypothèse structurale, il faut aussi prendre en compte d'autres éléments comme par exemple la nature de l'angoisse ou encore le mode de relation d'objet. Cette triade refoulement/déni/clivage est un repère intéressant et important à connaître, mais cela reste théorique et schématique, bien souvent la réalité des personnalités est plus complexe et nuancée
Quelque chose m'échappe car imaginer mes parents en train de faire cracboumboum pour arriver à moi ça ne me parait pas plus dérangeant qu'autre chose? Pourtant y avait même pas Frankie Vincent dans l'poste à l'époque. Je peux me le représenter sans que ça ne génère le moindre inconfort...Suis-je donc le seul?
si j'ai bien suivi, ce serait plutôt la Réunion... (toute ressemblance avec des tubes de Francky seraient donc parfaitement fortuites et à la mauvaise latitude ! 😅)
🙏😁😁😁donc suis juste névrosé, m c pas une insulte par ce que ce que je comprend c'est que..... Je reprend mon souffle... La névrose c'est psychanalysable, (le déni c cause perdue nan, ou contre son gré..🤣ouffff
Je n'ai aucune difficulté à imaginer mes parents en train d'avoir un rapport sexuel. En revanche, à la suite d'une discussion avec mes géniteurs, il semble que ma mère n'ait jamais joui et que mon père n'ait jamais été haletant et transpirant à cause du plaisir. Je les imagine comme un couple très plan-plan et, aussi bien l'un que l'autre, très peu attirés par le sexe, qu'ils m'ont toujours présenté comme quelque chose de sale.
Il est plus facile d’imaginer quelque chose de refoulé déjà fortement chez les personnes concernées puisque avec les superpositions de refoulements, vous avez été mis suffisamment à distance (et vous parlez de “géniteurs”, ce qui va dans ce sens et diminue un potentiel climat inadapté), pour que cela ne soit pas aussi gênant et transgressif au vu de la place du plaisir très évacué. Parcontre c’est un paradoxe intéressant avec l’information “crue” que vous dites avoir eu de leur part en même temps. Et donc imaginer très peu de plaisir, et avoir eu une curiosité à la fois plus importante et entravée doit bien influencer quelque part la parade a un danger perçu dans l’activation de votre imagination (“bébé refoulement”, voir levée du refoulement), peu plaisant et transgression d’imaginer qui reste “plaisante” puisque c’est l’interdit, le défendu, le refoulé. Mais parlé, tout de même. Et en même temps, le caractère légèrement transgressif avec les détails partagés vous fait peut être aussi y penser sans gêne particulière puisque vous donner ces détails reste une forme d’effraction psychique quelque part. Le fait d’être “très” à l’aise pourrait aller avec ces éléments, par hypothèses.
XD Alors vu comment mon père il est mou c’est pas dur à imaginer: il suffit d’imaginer la position la plus banale et c’est sûr que c’était ça. Je pense que le fait de ne jamais avoir vraiment connu mon père (ma mère l’a quitté quand j’avais un an et je ne l’ai vu que 6 fois dans ma vie) mais d’avoir quand même une image physique de lui aide à imaginer. Parce que si j’avais jamais vu son corps ça poserait une difficulté de nécessiter beaucoup d’imagination et si j’avais une relation père - fille avec lui ça devrait poser une difficulté aussi. Mais il m’est facile d’ignorer cette difficulté puisque personne n’ayant pris sa place je ne sais pas ce que c’est une relation père - fille, ça me dégoûte juste par l’écart d’âge mais ma mère avait bien l’âge de coucher avec lui donc pas de problème pour elle. Et comme ma mère m’a raconté toute sa vie sexuelle en direct comme si on était meilleures amies, j’ai rien à imaginer pour savoir comment elle est au lit avec un homme. L’équation des goûts et du comportement de ma mère avec le caractère de mon père sort un résultat de seulement deux positions dans lesquelles j’aurais pu être conçue.
mh. Peut-être que c'est moins tabou à imaginer quand il y a une très grande distance relationnelle avec un des parent? Mais que ça reste néanmoins questionnant, surtout si l'autre parent n'a pas respecté de distance ? #vtfs
@@pochaze671 Maintenant que j’y pense, en dehors du fait que ma mère soit plutôt une pote, qui est gentille mais qui n’est pas une personne ressource comme le serait un adulte, et qu’il n’y a donc pas de barrière liée à l’autorité, et que mon père soit son ex qui lui a brisé le cœur et dont elle m’a raconté l’histoire assez longuement, ce qui me donne beaucoup de matière pour imaginer, il y a aussi un autre point qui rentre probablement en jeu c’est que je suis moi même asexuelle et que imaginer du sexe est donc pour moi quelque chose qui reste une action physique. Comme je ne sais pas ce que c’est que de ressentir du désir sexuel je ne peux pas aller plus loin que concevoir que quelqu’un qui pratique en étant consentant ait conscience de son propre désir de le faire et que c’est probablement pour ça qu’il passe à l’acte, mais il m’est impossible de donner du sens à la différence entre le désir sexuel et le désir de manger une glace. C’est probablement pour ça que je ne peux pas comprendre pourquoi c’est tabou, l’objet du tabou en lui même est insaisissable pour moi.
@@unrealemma8724 tant que cela n'est pas cause de mal-être et ne vient pas faire obstacle à tes projets de vie, ton approche rationaliste de ce sujet ne semble pas un problème. On voit que tu as un degré certain d'introspection et d'élaboration, logique si on commente sur cette chaîne. Vois-tu la psychologie (ou la psychanalyse) comme un loisir, une ressource, un projet ?
@@pochaze671 Pour moi la psychologie est un loisir. Ça découle à l’origine de mon attrait pour les films d’horreur, j’ai commencé à chercher des documents sur le véritable milieu psychiatrique fermé par attirance morbide pour les trucs glauques. Après internet a évolué et il y a commencé à y avoir beaucoup de contenus sur la psycho qui n’était pas dark du tout et je suis passée de la catégorie horreur à la catégorie comédie dans ma consommation de contenu parce que c’est devenu une source inépuisable d’amusement d’explorer l’écart entre mon fonctionnement et le fonctionnement « normal » qui est décrit dans ce type de vidéos. Comme j’ai été diagnostiquée autiste avec des zones de surdouance dans mon QI j’ai aussi essayé de voir si les gens qui avaient un diagnostic similaire me ressemblaient beaucoup. J’ai découvert que non, ce qui a d’abord été très irritant parce que c’était censé être le cas, puis finalement je me suis dit que ça n’a aucune importance. Ce qui compte c’est que ce diagnostic explique au autres les bizarreries de mon comportement d’une façon qui soit satisfaisante pour eux, ce qui désamorce les problèmes. Parfois ce type de vidéo peut aussi me faire gagner du temps en apportant des réponses sur des choses qu’il est apparemment tabou d’expliquer dans la vraie vie, comme qu’est-ce qu’il est censé se passer pour une personne normale quand elle parle à un psy. Parce que IRL on va me dire « ça serait bien que tu sois suivie » ou « ça serait bien que tu en parles à un psy », et si je demande pourquoi on me dit que « je verrai », qu’il faut que j’essaye pour découvrir. Ça me rappelle quand on m’a inscrit dans un cours de danse quand j’avais huit ans et que quand j’ai eu la vingtaine, au hasard d’une conversation téléphonique ma grand mère me révèle que ma famille espérait que je me fasse des amies au cours de danse parce que ça les tracassait que j’ai pas d’ami. J’étais là « AH » ça aurait été bien de le dire à l’époque parce que comme je ne le savais pas je suis partie dès le début du principe que je n’allais les voir que une fois par semaine et je n’ai même jamais connu le prénom de aucune d’entre elles. Quand les gens ne savent pas à qui ils s’adressent sur internet, ils disent des choses qui balayent plusieurs interlocuteurs possibles et donc ils donnent plus de contenu dans leur discours que dans une conversation IRL
Et parler de "bestioles" pour désigner des Animaux sensibles et intelligents .. des individus à part entière avec une personnalité bien à eux... On est toujours dans le refoulement/ déni ... 💔 🐾 🌏 ❤🌊 Leurs cris sont bien réels et leur envie de vivre aussi. Faut vraiment arrêter de se voiler la face ou même de prendre un ton si léger pour parler de leur exploitation, leur torture et leur massacre ... 💔 🐾 🌊 🌏 La Nature, la Planète, les Arbres font partie du vivant et doivent être respectés ... les humains ne sont pas supérieurs 🌳🌲🐾 ❤ 🌏 🌊
(du coup OUI je suis venue me réfugier dans les commentaires quand on m'a demandé d'imaginer mes parents copuler, je fais pareil quand je flippe devant un thread horreur 🤭)
Déjà quand tu parles de rapport à l'objet pour affiner un diagnostic, quand j'entends que t'en es encore à '' névrose ou psychose'', soit des concepts des années fin 1800 et tellement marqués par le freudisme dont les théories ont été démontées depuis si longtemps, je me dis que si je te vois comme psy : je fuis ! Si je dois avoir un diagnostic sur le dos, j'entends etre écoutée par des professionnels de la psychologie formés aux dernières théories de la psychologie scientifique et non avec des mythes psychanalytiques pourris. Au revoir !
Ah les conflits de chapelles. Pourtant c’est un peu comment mettre en guerre l’ancien et le nouveau testament. Les nouveaux n’auraient jamais pu voir le jour sans la profondeur et les explorations de l’ancien. Et libre à chacun de considérer ce qui date chronologiquement. À votre avis tout jeter sans distinction serait plutôt du côté du refoulement ou du déni ? ;-)
Volontier pour la vidéo sur le clivage 😊😊😊 c'est top pour les étudiants d'avoir des exemples concrets
Je suis pour!! 😉
Oui, très intéressé par une vidéo sur le clivage !
L'exemple du refoulement m'a vraiment beaucoup fait rire, effectivement je suis sûr de m'en souvenir !
oui !volontiers pour le clivage. mais quelles différence entre clivage et dissociation????
Ce style de vidéo est vraiment top merci beaucoup !
Oui moi aussi je veux bien une vidéo pour le clivage, un grand merci.
Ah oui super idee le clivage ! Et puis il y a tous les autres mécanismes de defense...de quoi faire un max de videos...merci pour ce travail et bravo !
Bonjour, toutes vos vidéos sont intéressantes et oui, volontiers pour un sujet sur le clivage... 🤗
Hâte de la vidéo sur le clivage 🤞🏽
Je suis aussi très intéressée pour une vidéo sur le clivage! 🙂
ok pour une vidéo sur le clivage. et merci pour les vidéos !
Je vous suis depuis longtemps et je suis très interressée par une vidéo sur le clivage.
Merci.
Merci pour la vidéo c'était très clair et je ne m'attendais pas à rire autant 😂
Merci ! Je suis fan des références!
Le clivage m'intéresse aussi
Merci . J'ai pris tes 2 livres.
Intéressé pour la vidéo du clivage. Je pense que ma daronne a clivé sur moi mdrrr. Sur ses enfants je suis le mauvais enfant.
J'ai brisé toutes les limites ! 👑
Bonjour !! J'adore vos vidéo j'ai une question , le déni ne l'utilise-t-on pas tous à certain moment pour process des situation que le refoulement peut pas gérer ? Et que se passe-t-il quand on en manque ? heu question de moldus dsl si c'est pas clair 😅
Mes parents m'ont toujours dit qu'il m'ont conçu par accident dans les brouillards du Rhone… et vu mon mois de naissance ça m'est facile de les imaginer à la sortie d'un bal populaire en début d'hiver 😘
Le clivage c'est un peu le point de bascule entre névrose et psychose, c'est ça ?
Du coup je me pose une petite question suite à ces éclairages type "spot white" : oublier quelque chose (un rendez-vous, un événement...) peut-il s'apparenter ou être une conséquence d'un refoulement ou c'est encore autre chose ?
Et quand on se dit "mais non ça va pas bouchonner" alors qu'on sais pertinemment qu'on part en pleine heure de pointe sur une route très fréquentée c'est plutôt du refoulement du coup ? parce que justement là on aurait tendance à dire à la personne qu'elle est "dans le déni", hors l'information elle l'a, c'est juste qu'elle "décide" (c'est un grand mot) de ne pas en tenir compte car c'est plus "confortable" comme ça... ? Du coup en réalité je me dis que les situations de réels déni doivent être finalement assez peu nombreuses pour la plupart des gens contrairement à ce que l'on pourrait penser à cause d'un abus de langage... ^^ (ou alors j'ai rien pigé et faut que je regarde à nouveau la vidéo xD)
Et enfin pour revenir au thème de la mort et du fait que le refoulement permet de se "protéger" et de vivre "normalement", je me demandais ce qu'il en était des personnes qui réussissent à être "ok" avec l'idée de leur mort, je veux dire en totale acceptation (je pense notamment aux maîtres "zen" ou grand adeptes de la méditation par exemple parmi d'autre possibilités) parce que j'ai eu une période comme ça ou l'idée de ma propre mort ne me faisais plus peur quand j'y pensais, comme si j'avais réussi à l'accepter, et je me sentais tellement plus sereine en réalité... c'est plus le cas depuis un petit moment (va comprendre pourquoi mais bref) et je sens bien que je suis plus aussi "tranquille" face à beaucoup de choses dans ma vie, du coup j'étais curieuse d''avoir un avis éclairé là dessus aussi ;)
Merci
Oui au clivage😊😊😊😊
Bonjour il me semble qu´on peut présenter parfois du déni, parfois du refoulement parfois du clivage? Définir la structure me semble très compliqué et même dommageable non?
En effet c'est surtout une question d'échelle, telle structure aura plutôt tendance à utiliser (à "trop" utiliser lorsque c'est pathologique) tel ou tel mécanisme, mais n'utilise pas exclusivement celui-ci. Et cela ne suffit pas pour faire une hypothèse structurale, il faut aussi prendre en compte d'autres éléments comme par exemple la nature de l'angoisse ou encore le mode de relation d'objet. Cette triade refoulement/déni/clivage est un repère intéressant et important à connaître, mais cela reste théorique et schématique, bien souvent la réalité des personnalités est plus complexe et nuancée
Quelque chose m'échappe car imaginer mes parents en train de faire cracboumboum pour arriver à moi ça ne me parait pas plus dérangeant qu'autre chose? Pourtant y avait même pas Frankie Vincent dans l'poste à l'époque. Je peux me le représenter sans que ça ne génère le moindre inconfort...Suis-je donc le seul?
Idem
Vous êtes aux Antilles ?
si j'ai bien suivi, ce serait plutôt la Réunion... (toute ressemblance avec des tubes de Francky seraient donc parfaitement fortuites et à la mauvaise latitude ! 😅)
🙏😁😁😁donc suis juste névrosé, m c pas une insulte par ce que ce que je comprend c'est que..... Je reprend mon souffle... La névrose c'est psychanalysable, (le déni c cause perdue nan, ou contre son gré..🤣ouffff
Je n'ai aucune difficulté à imaginer mes parents en train d'avoir un rapport sexuel. En revanche, à la suite d'une discussion avec mes géniteurs, il semble que ma mère n'ait jamais joui et que mon père n'ait jamais été haletant et transpirant à cause du plaisir. Je les imagine comme un couple très plan-plan et, aussi bien l'un que l'autre, très peu attirés par le sexe, qu'ils m'ont toujours présenté comme quelque chose de sale.
Il est plus facile d’imaginer quelque chose de refoulé déjà fortement chez les personnes concernées puisque avec les superpositions de refoulements, vous avez été mis suffisamment à distance (et vous parlez de “géniteurs”, ce qui va dans ce sens et diminue un potentiel climat inadapté), pour que cela ne soit pas aussi gênant et transgressif au vu de la place du plaisir très évacué. Parcontre c’est un paradoxe intéressant avec l’information “crue” que vous dites avoir eu de leur part en même temps. Et donc imaginer très peu de plaisir, et avoir eu une curiosité à la fois plus importante et entravée doit bien influencer quelque part la parade a un danger perçu dans l’activation de votre imagination (“bébé refoulement”, voir levée du refoulement), peu plaisant et transgression d’imaginer qui reste “plaisante” puisque c’est l’interdit, le défendu, le refoulé. Mais parlé, tout de même. Et en même temps, le caractère légèrement transgressif avec les détails partagés vous fait peut être aussi y penser sans gêne particulière puisque vous donner ces détails reste une forme d’effraction psychique quelque part. Le fait d’être “très” à l’aise pourrait aller avec ces éléments, par hypothèses.
👍
XD Alors vu comment mon père il est mou c’est pas dur à imaginer: il suffit d’imaginer la position la plus banale et c’est sûr que c’était ça. Je pense que le fait de ne jamais avoir vraiment connu mon père (ma mère l’a quitté quand j’avais un an et je ne l’ai vu que 6 fois dans ma vie) mais d’avoir quand même une image physique de lui aide à imaginer. Parce que si j’avais jamais vu son corps ça poserait une difficulté de nécessiter beaucoup d’imagination et si j’avais une relation père - fille avec lui ça devrait poser une difficulté aussi. Mais il m’est facile d’ignorer cette difficulté puisque personne n’ayant pris sa place je ne sais pas ce que c’est une relation père - fille, ça me dégoûte juste par l’écart d’âge mais ma mère avait bien l’âge de coucher avec lui donc pas de problème pour elle. Et comme ma mère m’a raconté toute sa vie sexuelle en direct comme si on était meilleures amies, j’ai rien à imaginer pour savoir comment elle est au lit avec un homme. L’équation des goûts et du comportement de ma mère avec le caractère de mon père sort un résultat de seulement deux positions dans lesquelles j’aurais pu être conçue.
mh. Peut-être que c'est moins tabou à imaginer quand il y a une très grande distance relationnelle avec un des parent? Mais que ça reste néanmoins questionnant, surtout si l'autre parent n'a pas respecté de distance ?
#vtfs
@@pochaze671 Maintenant que j’y pense, en dehors du fait que ma mère soit plutôt une pote, qui est gentille mais qui n’est pas une personne ressource comme le serait un adulte, et qu’il n’y a donc pas de barrière liée à l’autorité, et que mon père soit son ex qui lui a brisé le cœur et dont elle m’a raconté l’histoire assez longuement, ce qui me donne beaucoup de matière pour imaginer, il y a aussi un autre point qui rentre probablement en jeu c’est que je suis moi même asexuelle et que imaginer du sexe est donc pour moi quelque chose qui reste une action physique. Comme je ne sais pas ce que c’est que de ressentir du désir sexuel je ne peux pas aller plus loin que concevoir que quelqu’un qui pratique en étant consentant ait conscience de son propre désir de le faire et que c’est probablement pour ça qu’il passe à l’acte, mais il m’est impossible de donner du sens à la différence entre le désir sexuel et le désir de manger une glace. C’est probablement pour ça que je ne peux pas comprendre pourquoi c’est tabou, l’objet du tabou en lui même est insaisissable pour moi.
@@unrealemma8724 tant que cela n'est pas cause de mal-être et ne vient pas faire obstacle à tes projets de vie, ton approche rationaliste de ce sujet ne semble pas un problème.
On voit que tu as un degré certain d'introspection et d'élaboration, logique si on commente sur cette chaîne. Vois-tu la psychologie (ou la psychanalyse) comme un loisir, une ressource, un projet ?
@@pochaze671 Pour moi la psychologie est un loisir. Ça découle à l’origine de mon attrait pour les films d’horreur, j’ai commencé à chercher des documents sur le véritable milieu psychiatrique fermé par attirance morbide pour les trucs glauques. Après internet a évolué et il y a commencé à y avoir beaucoup de contenus sur la psycho qui n’était pas dark du tout et je suis passée de la catégorie horreur à la catégorie comédie dans ma consommation de contenu parce que c’est devenu une source inépuisable d’amusement d’explorer l’écart entre mon fonctionnement et le fonctionnement « normal » qui est décrit dans ce type de vidéos. Comme j’ai été diagnostiquée autiste avec des zones de surdouance dans mon QI j’ai aussi essayé de voir si les gens qui avaient un diagnostic similaire me ressemblaient beaucoup. J’ai découvert que non, ce qui a d’abord été très irritant parce que c’était censé être le cas, puis finalement je me suis dit que ça n’a aucune importance. Ce qui compte c’est que ce diagnostic explique au autres les bizarreries de mon comportement d’une façon qui soit satisfaisante pour eux, ce qui désamorce les problèmes.
Parfois ce type de vidéo peut aussi me faire gagner du temps en apportant des réponses sur des choses qu’il est apparemment tabou d’expliquer dans la vraie vie, comme qu’est-ce qu’il est censé se passer pour une personne normale quand elle parle à un psy. Parce que IRL on va me dire « ça serait bien que tu sois suivie » ou « ça serait bien que tu en parles à un psy », et si je demande pourquoi on me dit que « je verrai », qu’il faut que j’essaye pour découvrir. Ça me rappelle quand on m’a inscrit dans un cours de danse quand j’avais huit ans et que quand j’ai eu la vingtaine, au hasard d’une conversation téléphonique ma grand mère me révèle que ma famille espérait que je me fasse des amies au cours de danse parce que ça les tracassait que j’ai pas d’ami. J’étais là « AH » ça aurait été bien de le dire à l’époque parce que comme je ne le savais pas je suis partie dès le début du principe que je n’allais les voir que une fois par semaine et je n’ai même jamais connu le prénom de aucune d’entre elles.
Quand les gens ne savent pas à qui ils s’adressent sur internet, ils disent des choses qui balayent plusieurs interlocuteurs possibles et donc ils donnent plus de contenu dans leur discours que dans une conversation IRL
Et parler de "bestioles" pour désigner des Animaux sensibles et intelligents .. des individus à part entière avec une personnalité bien à eux...
On est toujours dans le refoulement/ déni ...
💔 🐾 🌏 ❤🌊
Leurs cris sont bien réels et leur envie de vivre aussi.
Faut vraiment arrêter de se voiler la face ou même de prendre un ton si léger pour parler de leur exploitation, leur torture et leur massacre ... 💔 🐾 🌊 🌏
La Nature, la Planète, les Arbres font partie du vivant et doivent être respectés ... les humains ne sont pas supérieurs 🌳🌲🐾 ❤ 🌏 🌊
Il ne faut JAMAIS tondre son gazon. Cela empèche la biodiversité de se développer.
Je lis ce commentaire au moment du "ta touffe m'étouffe", du coup j'ai fortement douté de quel gazon il s'agissait ici 🤣
(du coup OUI je suis venue me réfugier dans les commentaires quand on m'a demandé d'imaginer mes parents copuler, je fais pareil quand je flippe devant un thread horreur 🤭)
C'était donc vrai ! Les films et autres médias d'horreur sont bien reliés au refoulement sexuel! 😁
Déjà quand tu parles de rapport à l'objet pour affiner un diagnostic, quand j'entends que t'en es encore à '' névrose ou psychose'', soit des concepts des années fin 1800 et tellement marqués par le freudisme dont les théories ont été démontées depuis si longtemps, je me dis que si je te vois comme psy : je fuis !
Si je dois avoir un diagnostic sur le dos, j'entends etre écoutée par des professionnels de la psychologie formés aux dernières théories de la psychologie scientifique et non avec des mythes psychanalytiques pourris. Au revoir !
La fuite... hum... ah oui ?
après l'agression 'objective'. Autant pour la distinction entre cadre thérapeutique et dialogue avec le thérapeute.
Ah les conflits de chapelles. Pourtant c’est un peu comment mettre en guerre l’ancien et le nouveau testament. Les nouveaux n’auraient jamais pu voir le jour sans la profondeur et les explorations de l’ancien. Et libre à chacun de considérer ce qui date chronologiquement. À votre avis tout jeter sans distinction serait plutôt du côté du refoulement ou du déni ? ;-)