Le Vince ! Sacrés souvenirs de ce développement des Schtroumpfs 2, j'avais complètement zappé cette "grève" et ce téléphone au centre de la pièce à Villeurbanne ! Belle histoire de vie ! Pour t'avoir côtoyer quelques années, je crois que professionnalisme, rigueur et positivité sont les qualités qui ont jalonné ton parcours. Ravi de t'avoir écouté.
Bonjour, finalement j'ai juste raté la dernière heures vite rattrapé ce matin. Pour info le décalage horaire n'est valable que lorsque la France est en horaire d'été, l'hivers c'est pareil car ici pas de changement d'heure 😉
Des coeurs pour sa femme ;) blague à part, ce qui ressort de ces interviews, c'est vraiment la toxicité globale, à différents niveaux, envers les employés. Rien à battre de ta famille, faut que tu rushes, faut que tu bouges, comme si t'étais célib de 20 ans (et encore, est-ce +sain quand les gens sont jeunes et sans attache?). Le métier passion c'est tellement le piège que ça ne peut plus être de la passion à un moment...
@@DrJVTekc'est dit sans être dit ou c'est dit comme si c'était normal. On n'a probablement pas du tout le même curseur sur ces choses là. Mon propos était peu être vague sur ce qui est toxique => le monde du jeu vidéo, je ne parlais pas de Vincent!
Ok, je comprends : tu parlais de manière générale et pas forcément de cette interview en particulier. Tu sais, en tant que professionnel du jeu vidéo, je connais déjà bien ces réalités, les bonnes comme les mauvaises. Mais justement, si je fais ces lives, c'est parce que simplement le dire moi-même ne suffit pas. L'idée, c'est de le montrer à travers des exemples concrets et des témoignages comme celui de Vincent, pour que tout le monde puisse mieux comprendre ce qu'est réellement ce métier. Les développeurs de jeu vidéo sont souvent bien plus passionnés que les joueurs, parce que sans cette passion, ils ne tiendraient pas dans un métier qui peut être ingrat (à part pour une minorité privilégiée). Mais malheureusement, il y a des personnes dans l’industrie, un vrai panier de crabes, qui exploitent cette passion pour en tirer avantage. Cela dit, les choses évoluent : de plus en plus de nouveaux arrivants dans l'industrie ont une approche davantage professionnelle, mais parfois un peu moins passionnée. Ce sont des gens qui peuvent aborder ce métier comme un travail "classique", en se limitant à leurs 7-8 heures par jour, sans forcément chercher à aller au-delà ou à nourrir une démarche artistique ou passionnée. Cette évolution n'a pas que des mauvais côtés : les écoles et les formations ont contribué à professionnaliser l'industrie, à apporter plus de structure et d'organisation. Mais cela a aussi rendu le métier parfois un peu moins "artisanal", où la passion était au cœur de tout. C'est un changement qui a ses avantages, comme plus de stabilité, mais aussi ses inconvénients, car cette passion a souvent été un moteur essentiel pour créer des jeux exceptionnels. Pour revenir au crunch, comme on l'a évoqué dans d'autres lives, ce n'est pas forcément mauvais dans certains cas. Quand c'est une expérience d'équipe volontaire, dans le but de sortir le meilleur jeu possible, ça peut même devenir un moment marquant et enrichissant. Mais cela doit rester sain et jamais forcé pour des raisons économiques ou organisationnelles. Clairement, ce n'est pas fait pour tout le monde. C'est pour ça que j'ai vraiment aimé ce live : il m'a permis de mettre en avant tout ça de manière claire. Ce n'était pas une découverte pour moi, mais un bon exemple pour montrer ce qu'il faut faire (ou éviter) dans cette industrie. Voir un coach-producteur comme Vincent, qui pense avant tout à son équipe, ça montre qu’il y a une autre façon de faire, et ça redonne espoir pour l'industrie.
Le Vince ! Sacrés souvenirs de ce développement des Schtroumpfs 2, j'avais complètement zappé cette "grève" et ce téléphone au centre de la pièce à Villeurbanne ! Belle histoire de vie ! Pour t'avoir côtoyer quelques années, je crois que professionnalisme, rigueur et positivité sont les qualités qui ont jalonné ton parcours. Ravi de t'avoir écouté.
Belle découverte, un passionné pur jus ! Dommage qu'on n'ait fait que se croiser chez Psygno.
Bonjour, finalement j'ai juste raté la dernière heures vite rattrapé ce matin. Pour info le décalage horaire n'est valable que lorsque la France est en horaire d'été, l'hivers c'est pareil car ici pas de changement d'heure 😉
Ha lol ok
Des coeurs pour sa femme ;) blague à part, ce qui ressort de ces interviews, c'est vraiment la toxicité globale, à différents niveaux, envers les employés. Rien à battre de ta famille, faut que tu rushes, faut que tu bouges, comme si t'étais célib de 20 ans (et encore, est-ce +sain quand les gens sont jeunes et sans attache?). Le métier passion c'est tellement le piège que ça ne peut plus être de la passion à un moment...
On a dit ça nous ???
@@DrJVTekc'est dit sans être dit ou c'est dit comme si c'était normal. On n'a probablement pas du tout le même curseur sur ces choses là. Mon propos était peu être vague sur ce qui est toxique => le monde du jeu vidéo, je ne parlais pas de Vincent!
Ok, je comprends : tu parlais de manière générale et pas forcément de cette interview en particulier. Tu sais, en tant que professionnel du jeu vidéo, je connais déjà bien ces réalités, les bonnes comme les mauvaises. Mais justement, si je fais ces lives, c'est parce que simplement le dire moi-même ne suffit pas. L'idée, c'est de le montrer à travers des exemples concrets et des témoignages comme celui de Vincent, pour que tout le monde puisse mieux comprendre ce qu'est réellement ce métier.
Les développeurs de jeu vidéo sont souvent bien plus passionnés que les joueurs, parce que sans cette passion, ils ne tiendraient pas dans un métier qui peut être ingrat (à part pour une minorité privilégiée). Mais malheureusement, il y a des personnes dans l’industrie, un vrai panier de crabes, qui exploitent cette passion pour en tirer avantage. Cela dit, les choses évoluent : de plus en plus de nouveaux arrivants dans l'industrie ont une approche davantage professionnelle, mais parfois un peu moins passionnée. Ce sont des gens qui peuvent aborder ce métier comme un travail "classique", en se limitant à leurs 7-8 heures par jour, sans forcément chercher à aller au-delà ou à nourrir une démarche artistique ou passionnée.
Cette évolution n'a pas que des mauvais côtés : les écoles et les formations ont contribué à professionnaliser l'industrie, à apporter plus de structure et d'organisation. Mais cela a aussi rendu le métier parfois un peu moins "artisanal", où la passion était au cœur de tout. C'est un changement qui a ses avantages, comme plus de stabilité, mais aussi ses inconvénients, car cette passion a souvent été un moteur essentiel pour créer des jeux exceptionnels.
Pour revenir au crunch, comme on l'a évoqué dans d'autres lives, ce n'est pas forcément mauvais dans certains cas. Quand c'est une expérience d'équipe volontaire, dans le but de sortir le meilleur jeu possible, ça peut même devenir un moment marquant et enrichissant. Mais cela doit rester sain et jamais forcé pour des raisons économiques ou organisationnelles. Clairement, ce n'est pas fait pour tout le monde.
C'est pour ça que j'ai vraiment aimé ce live : il m'a permis de mettre en avant tout ça de manière claire. Ce n'était pas une découverte pour moi, mais un bon exemple pour montrer ce qu'il faut faire (ou éviter) dans cette industrie. Voir un coach-producteur comme Vincent, qui pense avant tout à son équipe, ça montre qu’il y a une autre façon de faire, et ça redonne espoir pour l'industrie.
Oui, Vincent donne envie de travailler avec lui ^_^