BACKSEAT #15 avec Deujna et Laurent Saint-Martin
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- Опубликовано: 25 июл 2024
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Au programme du jour :
00:00:00 : Intro & sujets de la semaine
00:44:17 : Deujna, l'invitée de la semaine
01:11:55 : Le Quizz à la Con
01:33:27 : Laurent Saint-Martin, l'invité politique
02:21:44 : Conclusion
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Émission du 25/11/2021
#Backseat #Politique #Talkshow #Actu
C'est incroyable, tous ces gens qui martèlent que «j'ai l'impression de pas avoir un bagage suffisant pour parler politique» et qui sont sortis d'études supérieures, voire de Sciences Po. C'est comme si on avait intégré un fonctionnement aristocratique où, si on n'est pas persuadés d'être les meilleurs citoyens, on se retient d'intervenir dans les affaires publiques.
Mais, en y regardant à deux fois, c'est aussi incroyable ce que la société est exaspérante lorsque vous connaissez un sujet et que vous entendez tous les incompétents donner leur avis péremptoire et influencer la population en tirant parti de l'ignorance. Donc, malgré que cela peut sembler une réticence à l'exercice démocratique, c'est une posture que je comprends. Plus nous en savons, plus nous sommes conscients de l'immensité de ce que nous ne savons pas
Bravo pour l'émission, c'est pas facile d’interviewer ce genre de personnage qui présente leur vision de l'économie comme la norme normal et naturelle et raisonnable ... Vous vous en êtes quand même bien sorti !
Je découvre Deujna. Vraiment très intéressante comme invitée avec un grande réflexion cachée derrière beaucoup de modestie.
Elle se sent pas légitime alors qu'elle a justement une réflexion plus poussée que tous les clowns dans les émissions politiques à la TV.
@@narglad c'est exactement ça.
Avis un peu en retard mais je trouve que l'interview "technique" était géniale. C'est chouette de pousser un peu dans les mécanismes de l'état et d'aller plus loin que l'idéologie justement.
Dire que la dette est un problème et qu'il faut assainir les comptes sont des postures hautement idéologiques sous couvert de technicité. L'idéologie néolibérale avance masquée.
@@narglad Je suis d'accord avec toi, mais je pense aussi que cela demande quand même de connaître de la science économique pour comprendre pourquoi cette obsession sur la dette publique est idéologique. On a besoin d'être un peu technique pour répondre aux idéologues néo-libéraux ^^
Surtout quand ces mécanismes de l'état orientent en bonne partie les politiques publiques
Merci ! Au top comme d'hab !
Laurent Saint-Martin : "le mouvement du General de Gaulle il a mis combien de temps avant de s'implanter localement? Très longtemps"
Wikipedia: Six mois après seulement sa création, le RPF remporte les élections municipales des 19 et 26 octobre 1947,
Quand le mec dit "on peut faire mieux avec moins, on a baissé le chômage et ça assainit les comptes publics" il faut réagir les gars ! Rentrez lui dedans pour nous !
Usul au secours !!
Merci beaucoup pour ces émissions ! Ça fait vraiment plaisir de voir des émissions politiques avec une approche bien plus contemporaine. Une seule petite remarque sur les invités "web" qui effectivement ont tous un profil assez similaire, ce serait chouette un peu plus de diversité (j'avoue ne pas avoir trop d'idée en tête).
Mais à nouveau merci, je trouve ça étonnement interessant de voir ces entretiens avec des profils politiques que je n'aurais jamais découvert sinon, parce que étrangers à mon bord.
Et votre juste équilibre entre vos idées militantes et votre professionnalisme c'est également un vrai point fort de l'émission.
À la semaine prochaine !
A mon avis invité des streamer sert uniquement à attirer leurs communautés vers du contenu politique. Il y a eu des invités intéressants mais dans l'ensemble ils ont pas grand chose à dire (sur la politique) .
@@nodips5641 Oui c'est bien probable que ce soit la ou l'une des raisons de ces invitations, et c'est totalement compréhensible ! Mais il y a pleins d'autres "créateurs de contenus", youtubers, musiciens/chanteurs, illustrateurs, il y a de quoi faire j'espère !
vraiment tres intéressant l'interview de laurent saint martin, c'est assez unique dans le PAF d'entendre ce genre débat, j'ai appris plein de truc merci :)
Su tu es curieux de l'économie, fait un tour sur eur?ka ils explique trezs bien les différentes théories, les mécanismes ect..
Salut l’équipe, amour, câlin et bienveillance, cela va sans dire
Mais
J’avoue que cet épisode officialise ce que beaucoup d’auditeurs.trices ressentaient pressentaient depuis les tous premiers épisodes :
En dehors de la première partie, qui se cherche encore niveau formule de croisière, je crois que la partie ’invité.e politique pose vraiment, mais vraiment problème...
Là je voudrais alerter le MC, et/ou le.la producteur.trice, sur l’inconvenance du traitement du député LREM.
L’épisode avec NVB avait été edgy de ce pt de vue là (invité.e ne rendant aucun compte, s’indignant des dynamiques socio-politiques qu’elle a contribué à produire, dans une posture à la limite de l’indécence).
Mais là ce député M. Saint-Martin est odieux... il fait la propagande d’un gouvernement et d’un mandat qui ont porté au sommet le démantèlement de l’Etat et de ses moyens, se permet des diatribes sur l’évasion fiscale et la responsabilité budgétaire en ayant voté la flat tax et la suppression de l’ISF...
M. Massiet, en l’occurrence vous vous mettez en porte-à-faux, vous ne pouvez pas assumer la ligne éditoriale que vous proclamiez, et avec elle le pacte que vous avez noué avec vos financeurs, à l’aune de cet entretien.
Aux chroniqueurs : vous glissez vers une pente qui vous dessert en contribuant à ’ça’... je veux dire : ces longues minutes de monologues auto-satisfait de M. Saint-Martin. Que vous n’ayez pas osé le couper et le contredire doit être une alerte et un avertissement : plus jamais vous ne devrez être pris dans cette situation. Comme il y a des 'salariés de fait’ ou des 'gestionnaires de fait’, vous êtes dans une position de ’journaliste de fait’.
M. Massiet, pensez-y vous aussi, voire surtout. Ce passage de M. Saint-Martin est extrêmement ’cringe’. Pour ma part je suis un peu refroidi vis-à-vis de l’émission, mais je souhaite sincèrement qu’elle perdure et s’améliore. Pour cela, je vous prie, réfléchissez à fond à cet aspect des choses. J’imagine que l’équilibre est délicat tant vous ’dépendez’ quelque part de la ’sollicitude’ des personnels politiques, mais de l’autre côté, vous devez être 'journalistique', sinon vous êtes BFM/LCI/etc...
Bonne continuation. Bon courage
Le miserabilisme de saint martin est odieux. On a augmente l AHH (sans desolidariser du conjoint) la retraite a 1000 euros genre fermez votre gueule les gueux(maus qui vit avec ca????? ) et laissez nous nous gaver c est patfaitement odieux ! Fallait le couper dans sa fierte de se moquer de la misere.
Bonjour,
Un épisode quelque peu problématique pour ma part, et il me semble que cela tient au format.
Avoir M. Saint-Martin dérouler son propos sans aucune contradiction, sans un contrepoids est un problème. Laisser croire que "nous dépassons les clivages gauche/droite, seule la technique compte" sans que personne ne réagisse est un véritable souci. L'économie n'étant pas une science dure comme on s’évertue à nous le faire croire, mais bien accolée à une idéologie, comment ce monologue a pu se dérouler ainsi ?
Je comprends bien que tout le monde ne peut pas connaître tout sur tout, mais alors il faut peut-être réfléchir à n'aborder que des sujets relativement maîtrisés par les chroniqueurs ? Afin de garantir la qualité du débat ? L'autre solution pourrait-être d'inviter quelqu'un qui touche le domaine concerné, mais je ne peux qu'imaginer la difficulté pour organiser tout ça.
C'est d'autant plus dérangeant, que lors de la première partie, la dame, comme d'autres avant elle, vous a fait part de cette sensation que "finalement, la politique c'est pour les experts, ceux qui s'y connaissent suffisamment" et après une démonstration pareille, comment leur donner tord ? Tenter de nous faire croire que la démocratie, la confrontation, la conflictualité des visions du monde ne sont pas le cœur même de notre contrat social, est véritablement un repoussoir.
Une dernière chose, qui relève plus du questionnement : est-ce moi, ou Jean Massiet a un problème avec M. Melenchon ? J'ai le sentiment de le voir, lors de plusieurs épisodes, saisir la moindre opportunité de lui glisser un petit tacle.
Malgré ces quelques remarques, l'émission est vraiment agréable à regarder, merci beaucoup pour le travail que vous accomplissez
En fait c'est Euhréka qu'il aurait fallu pour lui faire la réplique à Saint Martin
@@etienne8110 Il est salarié de public Sénat ? Tu tiens ça d'où?
Moi j'ai juste l'impression que c'est Jean qui est plutôt d'un naturel sympa. Je l'ai jamais vu rentrer dans le conflit avec qui que ce soit ^^"
Je me suis fait le même avis. On n'invite pas la rapporteur général des finances sans pouvoir soi-même veiller à ce qu'on ne raconte pas n'importe quoi. Ou alors comme d'autres le suggèrent, on invite face à lui un spécialiste du domaine (ici en économie et plus précisément en finance).
1:33:25 "Quand le parc flora-leu se met à chanter, c'est l'île de Fran-ceu qui va s'ambiancer" 😂
Il a bien joue. Il a prefere couper l herbe sous le pied avant de se faire charrier😁😁
"Je ne toucherais pas à l' âge des retraites"
#nousquandonfaitdespromessesonlestiens
Excellente émission, surtout les deux premières parties notamment les questions de légitimité 👍
Pour la troisième, c'est sympa de débattre d'arguments techniques liés aux choix politiques ; à condition de comprendre que c'est un outil, comme dit à la fin. On débat du cadre, et ensuite on débat comment on applique, voire on peut tout faire et se servir de technique pour esquiver un débat est toxique. Là, le seul moment où il a débattu vite fait du cadre, c'était en répétant "J'y crois" (ok, c'est positif de montrer que c'est un choix politique, mais juste répéter ça sans aller plus loin...), "Je veux des résultats" et on réembraye directement sur les choix politiques à l'intérieur du cadre du marché : il faut travailler, il faut créer de l'emploi, etc. (Je note que oui, il y a des gens qui détruisent l'école publique, ce sont ceux qui veulent l'école privée ; quand c'est l'école ou les hôpitaux on peut faire plus avec moins, quand c'est la police on va mettre les moyens, derrière les discours cools et raisonnables il y a tout de même des choix et des actes marqués) (D'ailleurs c'était marrant quand il s'est en quelque sorte plaint en rigolant de l'excès de démocratie, en disant que discuter budget ça faisait travailler le rapporteur : bah, ça crée de l'emploi.)
Sur les réflexions autour des mécaniques de neutralité, je note que, avec un invité LREM qui défend le gouvernement (et honnêtement, ce n'est pas ce point qui est de la langue de bois : est-ce qu'il défend le gouvernement parce qu'il y est ou est-ce qu'il y est parce qu'il est d'accord ? Ok, ça existe les arrivistes et les menteurs et il fait réfléchir et faire attention, mais partons d'une base de bonne foi sinon on ne peut plus discuter), il y a eu un empressement avide de dire "Oui, les oppositions aussi" (même mécanique que quand on renvoie les zextrêmes dos à dos) : à mon avis, c'est un beau sophisme de la neutralité / tous pourris. En plus, vous vous êtes permis d'inventer (oui, c'était pour la blague et je suis méchant d'argumenter, je connais) que Mme Obono disait "Tout va bien, aucun désaccord" alors qu'elle avait expliqué littéralement l'inverse dans son passage à l'émission (le coup où ce n'était pas une affaire de deux lignes qui existent en même temps, mais où la ligne antiraciste avait convaincu et dégagé l'autre), je trouve que c'est une forme de violence politique de caricaturer et mentir en toute décontraction (en refusant peut-être la critique, si vous balayez mes arguments en disant que je suis énervé - regardez Vice-Versa, la colère c'est le besoin de justice), parce qu'on peut se le permettre alors qu'on ne se permettrait de caricaturer l'invité en inventant "Il vient de dire qu'il voulait détruire l'école publique et qu'il était tout le temps d'accord avec Macron" (alors qu'il a expliqué l'inverse). Je ne suis pas d'accord avec les gens qui vous étiquettent et vous insultent, alors arrêtez avec "les mélenchonnistes" en généralisation, et quand certaines personnes expliquent "Ce qui compte ce sont les idées" ne nous insultez pas de menteurs : ou alors, si vous nous considérez comme ça, insultez-nous plus élégamment en ne vous abaissant pas à notre niveau et en ayant une exigence de respect (ou si vraiment on en reste au niveau relativiser et renvoyer tout le monde dos à dos, dites-vous que quand ça vous énerve à raison les messages pas argumentés de trolls eh ben moi ça me blessé d'écouter des gens qui se permettent tranquille de m'insulter parce que ça permet d'avoir l'air raisonnable).
Je suis très en retard pour regarder cette vidéo.
Globalement j'y connais rien en économie et finance, donc à la fois j'apprends des choses, à la fois je me méfie... Surtout quand à la fin il parle d'investissements dans la "transition énergétique" qui est beaucoup plus proche de mes compétences de métier. Je l'ai trouvé assez honnête dans sa formulation : "je crois aux réacteurs SMR et à l'hydrogène". Il me semble honnête car il dit "je crois" et pas "il faut". Néanmoins, j'attire votre attention sur les limites idéologiques d'un économiste qui n'a pas conscience des problèmes techniques sous-jacents qui existent encore (sans jugement, ce n'est pas son métier) et qui n'ont pas encore de solution aujourd'hui pour même un début d'industrialisation. Je L'hydrogène notamment, on en parle comme le futur depuis les années 1970... Et ce n'est tjrs pas du tout opérationnel et on n'a pas de raison de penser que ce le soit bientôt, on en est encore au stade recherche. Et le temps de diffusion d'une technologie industrielle est de l'ordre de 30 ans dans la société, du coup ça arrive trop tard. Beaucoup d'idéologie à ce niveau là, mais basé sur de la croyance en l'innovation, pas sur la réalité. Et à ce titre, ça me fait penser que, de la même manière, la "gestion sur les résultats" c'est du chiffre macro-économique qui ne prend pas en compte des indicateurs sociaux (comme il ne prend pas en compte la réalité de la science et de la technique). Enfin le crédit impôt recherche, étant moi même chercheur, c'est du foutage de gueule, en dehors même des boîtes qui détournent ces crédits. Ça ne permet pas de faire de la vraie recherche, au sens de faire avancer les connaissances, on doit bosser sur des sujets "à la mode". C'est surtout de la R&D qu'on se tape ! La R&D ce n'est pas mal en soi, mais faire quasiment que ça ce n'est pas le boulot des labos publiques ! En médecine, par exemple, on ne fait quasiment aucune recherche sur les maladies dans les pays pauvres parce que ça ne rapporte pas de thunes aux industries pharmaceutiques ! Et ce n'est même pas efficace car de temps en temps ces maladies arrivent dans nos pays (variole du singe qui est connue depuis 20 ans, la dengue, SARS-CoV...). Je ne sais pas comment ça se passe en sciences sociales mais j'ai des doutes sur les intérêts du privés à investir dans du social sans perspective de gains derrières, alors que ces branches sont extrêmement importantes !
Du coup, je me pose un peu des questions sur ce qu'il ne dit pas parce qu'il n'en à peut-être pas conscience pour le reste. Mais dire d'un côté que la gestion ça marche, mais que dans les hôpitaux, c'était une erreur, ça me semble assez paradoxale. Si ce n'est pas reproductible, je ne vois pas comment on peut s'attendre à ce que ça marche dans n'importe quel domaine.
"Les élections de milieu de mandat sont défavorables au pouvoir en place" que ce soit érigé en règles de base indique "peut être" un problème du système non ?
C'est très agréable de voir Jean répondre du tac au tac sur des points techniques.
Par contre j'aurais bien aimé en savoir plus sur cette mystérieuse science des gynécologues qui murmurent à l'oreille de Laurent.
Le debat impot cotisation etait pas clair. L essentiel de la secu edt finance en deca du plafond urssaf. T es actionnaire retraite tu es sogne par les salaries. La csg touche toutes les autres sources de revenus salariaux. C es normal et insuffisant. Ya que l impot pour prelever sur ces revenus
Il y a un vrai paradoxe difficile à démêler et qui est toujours le même aux Antilles. Chaque crise sociale se tourne contre l etat français colonial, contient des slogans indépendantistes. Pour autant toutes les revendications portées demande une plus grande présence de l etat et une application réelle de l egalite entre les territoires. La position de l etat est difficile à tenir parceque la demande est contradictoire, on veut moins de blancs mais plus de fonctionnaires. La mobilisation anti vaccin fonctionne à plein sur ca, ils agglomerent des indépendantistes qui ne veulent plus rien avoir a faire avec la France, mais aussi des revendications sociales sur le manque de service public. Les antilles sont des territoires sans autochtones (parcequ ils ont été massacres) l identite antillaise a été forgée avec et contre la France et ca se ressent aujourdhui. Bref la France a une position presque intenable aux Antilles parcequ elle en fait parti tout en étant la cible des frustrations. Par ailleurs on peut constater en Guadeloupe comme ailleurs un glissement des revendications sociales vers des thématiques identitaires, la mobilisation de 2009 s est faite contre la bourgeoisie symbole de la profitation, aujourdhui c est contre l influence de la France (par exemple le vaccin est toujours mis en opposition à des médecines locales, le zeb a pik notamment ). En bref c est vraiment une situation pas simple sur fond de drame social (60% de chômage chez les moins de 25 ans, la plupart des moins de 30 ans sont obligés de vivre encore chez leurs parents pour ceux qui n ont pas pu se payer des études en métropole ou au canada). Les Antilles sont une poudrière qu on gère comme si de rien n etait, avec enfaite une gestion qui n est pas si colonial, qui est juste la même qu on fait dans tous les territoires reculés c est a dire l abandon.
1:42:07 Ah dommage que c'était ce Monsieur à l'époque, j'aurais adoré voir Joël Giraud à sa place 😂 (Pas que je le méprise au contraire)
Le retrait des ABCD de l'égalité est quand même le résultat d'une convergence inédite entre la droite institutionnelle de l'époque, l'extrême-droite (il y avait les séquelles du débat sur le mariage pour tous) et une partie des milieux musulmans conservateurs et islamistes (les fameuses "journées de retrait de l'école")
D'ailleurs pour les municipales de 2014, l'UMP s'était lancée dans une drague de l'électorat musulman de l'époque contre les fameuses "théories du genre" et avait chargé un certain Gérald Darmanin de cela. Ça avait partiellement marché
"Mais personne veut plomber l'éducation nationale. Là c'est vous qui faites de l'idéologie."
Cette phrase est à vomir, et vous n'avez pas réagi...
Pour les personnes qui défend le vote blanc,
Expliquez moi ce que ça rapporte un vote blanc, qu'est-ce que ça représente ?
Une validation de l’élection mais un refus des candidats/listes, par exemple. C'est une manière de dire "Je suis politisé, mais je ne suis pas convaincu par l'offre politique actuelle"'.
C'est parfois une décision politique. Certaines personnes sont attachés a l'idée du vote obligatoire, je connais aussi des femmes qui vont systématiquement voter en hommage au combat pour le droit de vote des femmes.
Ça a son symbolisme, un peu différent de celui des abstentionnistes.
Tin c'est ouf comme mon intérêt dans l’émission chute régulièrement au moment de l'invité politique --'.
C'est marrant, moi je regarde presque que ça ^^"
@@912silver Après ça dépends de l'invité, et en général je regarde quand même pour les interventions ds éditorialistes, mais pff entre celui là, Fabien Roussel et quelques autres...
C'est plutôt Richard Nixon qui a mordu le chien de VGE
Parler taux prelevement obligatoire c est pur bullshit: fait pas laisser passer. Dubai a un salaire net et zero prelevement: tu payes ta sante l ecole de tes enfants et ya pas de retraite. En suisse aussi c est salaire net. T es libre de t assurer sante ou pas c est cool et la retraite est faible. Yaura jamais record de prelevement en suisse
Le mec déroule et se pose en technicien sans idéologie. Faudra travailler un peu plus pour être en mesure de répliquer a ces postures technocratiques. L'invité vante son bilan et les actions du gouv. de façon habile, il a un boulevard pour le faire.
Et Akira pour les candidatures féminines ?
Je pige pas, pourquoi il parle de supression de la taxe d'habitation (pour vanter l'amélioration du pouvoir d'achat sous Macron donc) alors que j'en ai reçu une de plus de 800 balles la semaine dernière ? (sans compter que je suis au RSA complément)
La suppression totale sera pour l'année prochaine, cette année elle est supprimée pour seulement 80% des foyers.
Si ceux que vous dites est vrai, vous pouvez contester, il s'agit d'une erreur.
Saucisse Letkhel c'est un breton.
Usul en conclusion râle un peu, mais on a vu ses limites lors de l interview.
Premier lol
GG ! second si je me trompe pas...
Félicitations à vous deux
@@jinceles-chillhoplofibeats5021 merci bien, j'ai travaillé dur pour en arriver là !
Wow, ils se sont complètement fait endormir par l'invité politique, faut se reprendre ! Première émission que je quitte avant la fin pour cause d'ennui, sur 15. Il vous a imposé ses thèmes pour mieux esquiver ce qui auraient pu le mettre en difficulté.