Dank u well voor de mooie fotos. Ik hou van De Panne, aangezien ik ben een haar oud. En ik kom terug elk jaar.Maar nooit in December. Het ziet er prachtig.
...l'aspect que je déteste le plus, de De Panne ; fort bien mis en scène, avec en sus, cette musique de Wagner que Visconti avait choisi pour illustrer le confort bourgeois acquis par ce compositeur grâce aux largesses, non de Léopold, mais de Louis II. Un jour de Noël, justement. Dans les années 60, lorsque j'allais à la panne, le monument terminait la ville, et au-delà s'étendaient les dunes, à perte de vue. La ville a gagné...
Michel Vaneenoge Salut Mr Vaneenoge, Merci pour votre commentaire. J’ai aussi connu la Panne sans tout ces monstres en béton à côté du monument. Heureusement il reste encore quelques hectares de nature.
Bonsoir, Serge Bellemans...votre montage est superbe, et d'une grande sensibilité ; et le choix de cette musique-là, précisément, particulièrement heureuse : elle souligne, sans la dénoncer, cette immense nostalgie de ce qui fut et n'est plus. De Panne reste, et restera, dans mon cœur, comme dans le vôtre, visiblement, tout un monde d'émotions - merci ! Quelques hectares de nature, oui ; "protégée", donc, enclose. Et défendue du travail de, mais aussi du dialogue avec, la mer par une digue de béton. Enfant, nous y avons passé, mes parents, mon frère et moi, certains de nos plus merveilleux dimanches..."en toute liberté"; Quelques hectares, oui...Ne jamais se retourner en arrière. Bien cordialement vôtre
![Diggy Graves - Red Vineyard [Official Lyric Video]](http://i.ytimg.com/vi/8Ro085T0mnQ/mqdefault.jpg)
Dank u well voor de mooie fotos. Ik hou van De Panne, aangezien ik ben een haar oud. En ik kom terug elk jaar.Maar nooit in December. Het ziet er prachtig.
...l'aspect que je déteste le plus, de De Panne ; fort bien mis en scène, avec en sus, cette musique de Wagner que Visconti avait choisi pour illustrer le confort bourgeois acquis par ce compositeur grâce aux largesses, non de Léopold, mais de Louis II. Un jour de Noël, justement. Dans les années 60, lorsque j'allais à la panne, le monument terminait la ville, et au-delà s'étendaient les dunes, à perte de vue. La ville a gagné...
Michel Vaneenoge Salut Mr Vaneenoge,
Merci pour votre commentaire. J’ai aussi connu la Panne sans tout ces monstres en béton à côté du monument. Heureusement il reste encore quelques hectares de nature.
Bonsoir, Serge Bellemans...votre montage est superbe, et d'une grande sensibilité ; et le choix de cette musique-là, précisément, particulièrement heureuse : elle souligne, sans la dénoncer, cette immense nostalgie de ce qui fut et n'est plus. De Panne reste, et restera, dans mon cœur, comme dans le vôtre, visiblement, tout un monde d'émotions - merci !
Quelques hectares de nature, oui ; "protégée", donc, enclose. Et défendue du travail de, mais aussi du dialogue avec, la mer par une digue de béton. Enfant, nous y avons passé, mes parents, mon frère et moi, certains de nos plus merveilleux dimanches..."en toute liberté"; Quelques hectares, oui...Ne jamais se retourner en arrière. Bien cordialement vôtre