قصيدة و كلمة بدر الداهوم من ندوة الكويت إلى أين

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  • Опубликовано: 13 сен 2024
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    قصيدة و كلمة بدر الداهوم من ندوة الكويت إلى أين | ديوان الصواغ في الفنطاس
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Комментарии • 13

  • @أنسالبرجس
    @أنسالبرجس 3 года назад +3

    مليون نعم فيك يا الداهوم 🌷🌷

  • @CHIESA965
    @CHIESA965 3 года назад +5

    اما نعيش بعز مع حرية ولا عسانا بالزمان الفاني

  • @msm8186
    @msm8186 3 года назад +7

    محبك في الله يالداهووم .. كل يوم تكبر في عيوننا

  • @1i.s
    @1i.s 3 года назад +8

    ماشاءالله الحين هو نائب

    • @xh2o838
      @xh2o838 3 года назад +4

      من ٢٠١٢ وهو نائب

  • @nfnf2329
    @nfnf2329 3 года назад +3

    اسد

  • @almsrany
    @almsrany 3 года назад +3

    👏

  • @beebee8821
    @beebee8821 3 года назад

    كفو كفو كفو كفو

  • @elmutairy
    @elmutairy 2 года назад

    3:32 سجاني 😂😂😂😂

  • @khlaifnuhaiter6033
    @khlaifnuhaiter6033 3 года назад

    هذه توصيت الغذافي للزوار (الفوضي الخلاقه

  • @hussainjaffar9300
    @hussainjaffar9300 3 года назад

    La question de la liberté pose toujours le problème du monopole de la démocratie et de la probabilité que les forces islamiques réussissent dans la compétition et bloquent plus tard le transfert de pouvoir et d'autres hypothèses qui précèdent ce qui peut être produit par les faits sur le terrain. Il est probable qu'un tel problème ne se produira pas, pour des raisons qui ne sont pas liées à des facteurs subjectifs, mais plutôt à des circonstances objectives, à l'environnement culturel local et aux espaces régionaux et internationaux. Les forces islamiques émergeant sous les projecteurs ne sont pas loin de la «modernité» que les autorités politiques ont tenté d'imposer «d'en haut», en utilisant des moyens coercitifs et violents pour y parvenir. Le discours islamique (le fondamentaliste, les salafistes ou la confrérie) est en fin de compte le produit de l'époque, pas du passé. C'est précisément le produit de l'échec de la modernisation que les autorités autoritaires ont tenté d'imposer par la force et la coexistence passive avec les spectres de la société.
    Les islamistes sont une conséquence politique de la crise actuelle, même si leur discours idéologique est limité ou une réaction à la tyrannie du pouvoir. Le problème de la question de l'étendue de la volonté des forces islamiques de se retourner contre la démocratie et le «printemps arabe» ne se résume pas aux textes qu'elles adoptent pour traiter des problèmes contemporains, mais plutôt à leur incapacité à voler le pouvoir et à le monopoliser après l'atteindre par l'urne. Quiconque accède au pouvoir par trahison et au moyen d'un tank n'ira que par trahison ou au moyen d'un tank. Celui qui fait la saisie et le pillage ne va que par le contre-pillage, la saisie et le coup d'État. Quiconque apporte la falsification, la fabrication, la tromperie et la conspiration avec des puissances extérieures, tombe lorsque les circonstances internationales, les intérêts et les équations changent. De plus, celui qui vient par le vote et les urnes perd le pouvoir en votant et en utilisant les urnes. Par conséquent, il n'y a pas de peur des islamistes et des autres tant que la question de la rotation du pouvoir est devenue un axiome politique dans la période de transition arabe. Le problème ne se limite pas au discours politique et à ses complications, mais plutôt à l'environnement culturel qui l'a produit et a misé dessus.
    Le dilemme réside principalement dans le despotisme de l'État (le despotisme a donné une opportunité pour la croissance du nouveau projet au Moyen-Orient), et il est représenté en l'absence d'une constitution qui
    Jaafar Abdul Karim Al-Khabouri