J'ai eu une directrice qui se faisait dire HPI. Elle en jouait énormément dans son autorité. Les gens étaient émerveillés et la croyaient tout le temps sans réfléchir. Sauf qu'en vrai, tout le monde faisait tout à sa place. Et elle passait son temps à manipuler tout le monde, favoriser ses choux-choux et ostraciser les autres avant de les dégager. Je suis éducateur, je ne crois personne. Mais au bout d'un moment, il a fallu que je lui dise la vérité. Elle est schizophrène (et très mégalo), perverse et hautement incompétente (sauf en manipulation, mais ça ne tient pas devant un éduc). Comme toute sa petite cour était devenue aussi perverse qu'elle et que les problèmes s'accumulaient sur des sujets très graves qui mettaient en danger la sécurité mentale des enfants et des adultes, et bien je l'ai faite décompenser pour que tout s'arrête. Tout devenait bien trop malsain pour qu'elle reste et elle n'écoutait absolument plus rien. J'ai donc tout dénoncé au Département qui l'engageait et lui ai expliqué en quoi elle n'avait jamais eu le moindre pied sur terre et était particulièrement nocive et fourbe. Je ne regrette aucunement ce que j'ai fait, j'ai "sauvé des vies" (estime des personnes, harcèlement, dénigrement...) et permis d'assainir les horreurs qu'elle avait construites. En tout cas, il est certain qu'elle n'avait aucune curiosité, qu'elle ne supportait pas les changements et les initiatives, qu'elle avait horreur d'aller au fond des choses et qu'il n'y avait que sa réputation qui l'intéressait. Mon diagnostic, que je lui ai donné, c'est qu'elle mentait et qu'elle n'était pas HPI mais HP (hôpital psychiatrique). Il a fallu être aussi méchant pour que tout s'arrête, car tout le monde, en tout cas ceux qu'elle avait patiemment (et violemment) gardés pour constituer sa petite cour, étaient déjà bien trop entrés dans son délire et ses perversités. C'était pour moi le signe qu'elle n'était ni HPI, ni paranoïaque (souci de justice intense, décompensé ou pas, raisonnable ou pas), mais bien schizophrène et bien perchée. Alors quand un parano rencontre une schizo mal intentionnée et méchante, forcément le parano va se faire particulièrement plaisir de tout lui renvoyer avec une grande méticulosité et de manière entièrement ouverte, sans rien cacher ! La méticulosité que je mets dans ces cas-là (j'ai attendu 6 mois avant de me lancer, même si j'avais déjà positionné les dominos qui allaient tomber), c'est pour éviter de me dégoûter en faisant des erreurs car au fond, j'ai horreur d'en arriver là. Même si ça me fait un bien fou pour la justice. Les vrais HPI, généralement, je les kiffe beaucoup et j'aime écouter leurs passions. J'aime les passionnés. C'est grâce aux passionnés que j'arrive à comprendre Jul ou l'intérêt du foot... :)
Mais,ont et tous différents..on peux pas faire comme tout le monde..
J'ai l'impression que tu me décris...
J'ai eu une directrice qui se faisait dire HPI. Elle en jouait énormément dans son autorité. Les gens étaient émerveillés et la croyaient tout le temps sans réfléchir. Sauf qu'en vrai, tout le monde faisait tout à sa place. Et elle passait son temps à manipuler tout le monde, favoriser ses choux-choux et ostraciser les autres avant de les dégager. Je suis éducateur, je ne crois personne.
Mais au bout d'un moment, il a fallu que je lui dise la vérité. Elle est schizophrène (et très mégalo), perverse et hautement incompétente (sauf en manipulation, mais ça ne tient pas devant un éduc). Comme toute sa petite cour était devenue aussi perverse qu'elle et que les problèmes s'accumulaient sur des sujets très graves qui mettaient en danger la sécurité mentale des enfants et des adultes, et bien je l'ai faite décompenser pour que tout s'arrête. Tout devenait bien trop malsain pour qu'elle reste et elle n'écoutait absolument plus rien.
J'ai donc tout dénoncé au Département qui l'engageait et lui ai expliqué en quoi elle n'avait jamais eu le moindre pied sur terre et était particulièrement nocive et fourbe.
Je ne regrette aucunement ce que j'ai fait, j'ai "sauvé des vies" (estime des personnes, harcèlement, dénigrement...) et permis d'assainir les horreurs qu'elle avait construites.
En tout cas, il est certain qu'elle n'avait aucune curiosité, qu'elle ne supportait pas les changements et les initiatives, qu'elle avait horreur d'aller au fond des choses et qu'il n'y avait que sa réputation qui l'intéressait. Mon diagnostic, que je lui ai donné, c'est qu'elle mentait et qu'elle n'était pas HPI mais HP (hôpital psychiatrique). Il a fallu être aussi méchant pour que tout s'arrête, car tout le monde, en tout cas ceux qu'elle avait patiemment (et violemment) gardés pour constituer sa petite cour, étaient déjà bien trop entrés dans son délire et ses perversités. C'était pour moi le signe qu'elle n'était ni HPI, ni paranoïaque (souci de justice intense, décompensé ou pas, raisonnable ou pas), mais bien schizophrène et bien perchée.
Alors quand un parano rencontre une schizo mal intentionnée et méchante, forcément le parano va se faire particulièrement plaisir de tout lui renvoyer avec une grande méticulosité et de manière entièrement ouverte, sans rien cacher ! La méticulosité que je mets dans ces cas-là (j'ai attendu 6 mois avant de me lancer, même si j'avais déjà positionné les dominos qui allaient tomber), c'est pour éviter de me dégoûter en faisant des erreurs car au fond, j'ai horreur d'en arriver là. Même si ça me fait un bien fou pour la justice.
Les vrais HPI, généralement, je les kiffe beaucoup et j'aime écouter leurs passions. J'aime les passionnés. C'est grâce aux passionnés que j'arrive à comprendre Jul ou l'intérêt du foot... :)