Boris Cÿrulnik dit dans ses conférences que l'utopie doit rester au ciel (avec la vérité accrochée à sa croix) . Il serait intéressant de l'entendre nous expliquer le rôle , fonctionnement et l'intérêt des psychotropes ?
"cette fonctionnalisation désubstantialisante de nos catégories" ah oui pas de doute une amorce pareille ça donne envie d'aller plus loin. J'ai pourtant fait des études de philo et c'est déjà du charabia pour moi, j'ose pas imaginer ce que ça doit être pour le péquin moyen 😅
Il parle en termes aristotéliciens. Substance=substat+essence. La désubstantialisation c'est la perte de l'essence d'homme, pour ne garder que les autres categories, les accidents, tout ça pour nous privant de notre nature d'homme faire de nous des rouages de la machine sans transcendance.
@@OuliadesFolarcos Oui mais quid de la fonctionnalisation? 😅😅Désolé ça reste du charabia, et pour celui qui n'a pas de bagage philosophique ça doit tout simplement être une langue étrangère. Je les ai fréquenté assez les philosophes contemporains, et particulièrement français, pour savoir que très souvent ils sont proprement imbitables, et celui-là en est un bon représentant. Mais bon sang on n'est plus en 350 avant JC dans la Grèce antique, on ne peut plus parler comme à cette époque, 😅😅😅Comment est ce que vous pouvez penser populariser de la philosophie de cette façon?
@@Zut_MoulkPour vous répondre 1_cette fonctionnalisation, c'est ce que j'ai appelé devenir un rouage de la machine, une déshumanisation. 2_Ce n'est que mon avis, mais ça me plait qu'on parle philo ou théologie ou ethique ou politique avec les termes de Platon et d'Aristote pour la bonne raison que ça nous met à égalité. En effet, les termes existent depuis plus de 2000 ans, donc vous les trouvez facilement, ils sont partout dans n'importe quelle encyclopédie, et plus important il ne peut pas y avoir de connotation cachée. Pour comparaison, un mot moderne comme "libéralisme" en fonction de qui parle c'est un mot qui n'aura jamais la même définition et les débats sont impossibles, alors que si l'on me parle de démocratie au sens des athéniens ou d'idée platonicienne ou d'essence d'Aristote, je comprend tout de suite ce que ça veut dire. Il n'y a pas d'ambiguïté.
@@OuliadesFolarcos Je comprends mais je crois aussi qu'il serait parfaitement possible d'employer des termes provenant du grec ancien sans pour autant être imbitable, d'ailleurs ça m'étonne qu'il se réfère à Arendt à ce propos car s'il y a une qualité que je lui reconnaît, à la différence de son sinistre mentor, c'est de parler une langue qui n'est pas ésotérique.
À chier ! Collé à ses notes, sans aucune préparation. Même mes élèves de terminales font mieux. Franchement ce genre de "conférence" fait du tort au Cercle. Il s'agirait d'être davantage sélectif...
Le propos de M. De Witt pourrait être intéressant, mais l'exposé devient inaudible, à force d'être brouillon. Il y a surtout un problème de méthode : une collection de citations d'auteurs que l'on apprécie, ne fait pas une démonstration.
Merci de mettre cette conférence a disposition 🙏
Pour un sophiste ,se nommer Antiphon est déjà tout un programme 😉
Boris Cÿrulnik dit dans ses conférences que l'utopie doit rester au ciel (avec la vérité accrochée à sa croix) .
Il serait intéressant de l'entendre nous expliquer le rôle , fonctionnement et l'intérêt des psychotropes ?
"cette fonctionnalisation désubstantialisante de nos catégories" ah oui pas de doute une amorce pareille ça donne envie d'aller plus loin. J'ai pourtant fait des études de philo et c'est déjà du charabia pour moi, j'ose pas imaginer ce que ça doit être pour le péquin moyen 😅
Il parle en termes aristotéliciens. Substance=substat+essence. La désubstantialisation c'est la perte de l'essence d'homme, pour ne garder que les autres categories, les accidents, tout ça pour nous privant de notre nature d'homme faire de nous des rouages de la machine sans transcendance.
@@OuliadesFolarcos Oui mais quid de la fonctionnalisation? 😅😅Désolé ça reste du charabia, et pour celui qui n'a pas de bagage philosophique ça doit tout simplement être une langue étrangère. Je les ai fréquenté assez les philosophes contemporains, et particulièrement français, pour savoir que très souvent ils sont proprement imbitables, et celui-là en est un bon représentant. Mais bon sang on n'est plus en 350 avant JC dans la Grèce antique, on ne peut plus parler comme à cette époque, 😅😅😅Comment est ce que vous pouvez penser populariser de la philosophie de cette façon?
@@Zut_MoulkPour vous répondre 1_cette fonctionnalisation, c'est ce que j'ai appelé devenir un rouage de la machine, une déshumanisation.
2_Ce n'est que mon avis, mais ça me plait qu'on parle philo ou théologie ou ethique ou politique avec les termes de Platon et d'Aristote pour la bonne raison que ça nous met à égalité. En effet, les termes existent depuis plus de 2000 ans, donc vous les trouvez facilement, ils sont partout dans n'importe quelle encyclopédie, et plus important il ne peut pas y avoir de connotation cachée. Pour comparaison, un mot moderne comme "libéralisme" en fonction de qui parle c'est un mot qui n'aura jamais la même définition et les débats sont impossibles, alors que si l'on me parle de démocratie au sens des athéniens ou d'idée platonicienne ou d'essence d'Aristote, je comprend tout de suite ce que ça veut dire. Il n'y a pas d'ambiguïté.
@@OuliadesFolarcos Je comprends mais je crois aussi qu'il serait parfaitement possible d'employer des termes provenant du grec ancien sans pour autant être imbitable, d'ailleurs ça m'étonne qu'il se réfère à Arendt à ce propos car s'il y a une qualité que je lui reconnaît, à la différence de son sinistre mentor, c'est de parler une langue qui n'est pas ésotérique.
Formule formidable il a dit !
À chier ! Collé à ses notes, sans aucune préparation. Même mes élèves de terminales font mieux. Franchement ce genre de "conférence" fait du tort au Cercle. Il s'agirait d'être davantage sélectif...
Vous devez avoir des "élèves de terminales" (sic) vraiment géniaux!
Abscons
Le propos de M. De Witt pourrait être intéressant, mais l'exposé devient inaudible, à force d'être brouillon. Il y a surtout un problème de méthode : une collection de citations d'auteurs que l'on apprécie, ne fait pas une démonstration.
6,30min d'intro qui ne servent à rien !