Dépistage de la surdité, et après? (sous-titré SME)​

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  • Опубликовано: 14 июл 2017
  • Depuis une quinzaine d'année, des tests de dépistage de la surdité sont systématiquement pratiqués sur tous les bébés à la naissance. La précocité du diagnostic a pour but d'améliorer la prise en charge des enfants et de favoriser le plus tôt possible l'acquisition du langage oral.
    Et que se passe-t-il une fois le diagnostic posé ? Pour les parents qui subissent le choc du diagnostic, existe-t-il un accompagnement ? Quelles informations leur donne-t-on?
    Pour SIGNES, Christian Gremaud a rencontré trois familles issues de trois cantons différents : en Valais, Lucas, 6 ans, n’a été diagnostiqué qu’à l’âge de 1 an et ses parents ont été livrés à eux-mêmes, ne sachant pas vers qui se tourner. Ils ont fini par réactiver la section valaisanne de l’Association des parents d’enfants déficients auditifs (APEDAV) pour favoriser les échanges d’informations.
    A Genève, siège du seul centre d’implantation cochléaire de Suisse romande, la prise en charge était jusqu’à récemment essentiellement médicale. Les parents du petit Arthur, 4 ans, n’ont guère obtenu d’informations et ont souffert de l’absence d’accompagnement. Mais l’arrivée récente aux Hopitaux Universitaires de Genève (HUG) d’une nouvelle équipe est porteuse d’espoir et de changements.
    A Lausanne en revanche, l’Ecole cantonale pour enfants sourds (ECES), propose aux familles qui le souhaitent de les accompagner dans leur « apprentissage » du monde la surdité. Ainsi Maïlys, presque trois ans et sourde profonde, accueille chaque semaine chez elle une logopédiste, en présence de la maman qui en profite pour obtenir toutes les informations nécessaires.
    Malgré les différences cantonales, il existe un point commun : les progrès de la technique en matière d’implants et d’appareils acoustiques orientent toujours davantage l’éducation des sourds vers l’oralisme au détriment de la langue des signes dont la place semble, pour l’instant du moins, se réduire comme peau de chagrin.
    Présentation : Christian GREMAUD
    Journaliste : Anne MARKWALDER
    Réalisation et production : Stéphane BRASEY
    L’émission est entièrement sous-titrée pour les malentendants.
    Signes, une émission de la Radio Télévision Suisse, 21 février 2015
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