Et bien moi je les trouve formidables... j'adore Offenbach et je trouve que c'est très bien interprété...bravo , un petit retour en arrière sur ces oeuvres, ça fait du bien au moral de certains... Allez Mesdames et Messieurs ... applaudissez pour que ces spectacles reviennent plus souvent..c'est plein de couleurs, de gaîté, d'entrain....Une très bonne idée de chanter dans les rues pour la génération actuelle qui ne connait pas ces répertoires...allez voir ça,! c'est ce que j'appelle CHANTER J'ai vu le spectacle en entier à la télé et je me suis régalée...ça bouge, c'est drôle ... merci pour cette vidéo..Et Hop la la ....
Je tombe la dessus par hasard, la collision est absolument geniale !😂 Ayant joué avec l'un de ces chanteurs y'a 20 ans dans un fest de rock, je sais a quel point la demarche est sincere! Vous etes au top! Hopla!
Il s'agît d'une avance pour les représentations de l'immortelle opérette d'Offenbach. Donc on saisait l'occasion d'un coin de rue où les passants seront peut-être surpris et attirés par les belles mélodies d'Offenbach et pourront s'intéresser aux représentations et y assister, ou de même rechercher sur les réseaux pour en savoir un peu plus long. Ce qu'il y a d'intéressant aussi c'est le fait que de véritables artistes lyriques aient accepté d'envisager une situation si occasionnelle. Le défi est à se dépouiller du contexte d'un théâtre lyrique et aborder la situation dans le plus simple des sites : un coin de rue. Je devrai dire qu'il s'en tirent passablement bien. Les deux cantatrices alternatives pour le rôle de Périchole réussissent à être neutres et détendues. Mais l'intervention de Stanislas de Barbeyrac est formidable. Il réussit tout à faire à faire le rockeur-rappeur avec sa casquette et sa belle guitarre exotique couleur orange. Il suit parfaitement le rythme de la danse tout en chantant et faisant le voyou illuminé qui s'inspire à chanter en pleine rue offrant son chant aux frais de la princesse, la casquette lui seyant très bien. On voit que c'est un mec qui connaît la rue et le milieu social qui lui est propre et c'est pour cela qu'il se démène avec une telle aisance. Et puis il est franchement marrant, il y avait longtemps que je ne riais pas de si bon coeur : "Mesdames et Messieurs donnez quelque chose pour les chanteurs, pour les artistes! On est paumés! Mmm....mouais!" J'en ris encore en écrivant le présent commentaire. Ce garçon est tout à fait histrionique. Il arrivera loin dans l'interprétation des opéras-comiques et opérettes. Pourvu qu'il reste tel quel et qu'il ne se mêle pas à la toxicité de certains grands musiciens lyriques ampoulés. Visant à présent au fait même d'avoir improvisé ce petit interlude lyrique dans un coin de rue, peût-être l'opérette d'Offenbach n'est pas tellement hors contexte comme on puisse l'imaginer. En effet, la Périchole était une chanteuse flâneuse des rues qui a existé au XVIIème. siècle dans la Lima coloniale, capitale du Pérou. On l'appellait "La Perri-cholis" sans que je sache la raison d'un tel surnom. Or l'intrigue a été bien montée d'après les amours de Périchole et Piquillo. Mais seulement voilà. La Périchole est aussi aimée par le Vice-Roi du Pérou qui l'a connue et s'est épris d'elle. L'oeuvre intégrale est un authentique chef d'oeuvre, assurément une des plus belles productions d'Offenbach. Les mélodies ensorcelleuses se succèdent avec une maîtrise époustouflante. Mais quel génie cet Offenbach, alors! La mezzo-soprano qui tient le rôle de Périchole a trois beaux passages à son profit : l'air de la Lettre, la Griserie et la Déclaration. L'intégrale a été enregistrée par Teresa Berganza, Alain Vanzo et Gabriel Bacquier. Malgré le fait que Teresa Berganza ait été doublée par une comédienne dans les dialogues, cela n'empêche pas qu'on puisse suivre l'oeuvre dans tous les détails et c'est là où on découvre avec admiration la beauté de la musique hautement inspirée d'Offenbach. Par la suite Régine Crespin, au cours de sa seconde carrière comme mezzo-soprano a enregistré l'oeuvre mais dans une version abregée qui ne comprennait que les passages musicaux et non pas les dialogues, ce qui met la version dans une situation perdante puisque ce sont bien les dialogues qui donnent une saveur spéciale et mettent en relief les passages musicaux de l'oeuvre. Quant à l'interpretation des airs de Périchole, par exemple l'air de la Lettre, je me permettrais de recommender l'ancienne version entegistrée en 1931 par Fanély Revoil, qui a mon avis n'a été jamais surpassée. Je vous remercie le partage. J'ai passé un bon moment à écouter cette musique qui m'est familière et que j'aime tant et à rire avec plaisir.
Quelle fraicheur : happening génial ! Cela va être un triomphe à l'intérieur dès le 13 novembre ! Si peu de monde à cette heure avenue Montaigne, quel dommage !
Quelle catastrophe. Des chanteurs d'opéra qui grimment des punk à chien en chantant une chanson de colon dans la rue, tout ca sans aucune contextualisation... Heureusement que c'est la rue la moins passante de Paris
Des chansons de colons ???? Votre remarqué est ridicule, pleine de wokisme, certes je ne suis pas pour ces costumes et cette mise en scène, c'est mon avis, mais votre remarqué est pleine de haine
Faut arrêter de faire chanter ça par des voix travaillées. Même le côté moderne gonfle parce que l'idée est vieille. Il faut faire chanter des comédiens et Offenbach trouvera son regain.
@@paulb.6965 Tout n'est pas chantable non plus par des voix non travaillées. Et même chez Offenbach. Mais dans un spectacle comique, il faut que les rôles soient tenus par qui a appris à faire rire. Bon, des chanteurs classiques très comédiens ou très rigolos, ça existe aussi. Mais c'est si rare !
Et bien moi je les trouve formidables... j'adore Offenbach et je trouve que c'est très bien interprété...bravo , un petit retour en arrière sur ces oeuvres, ça fait du bien au moral de certains... Allez Mesdames et Messieurs ... applaudissez pour que ces spectacles reviennent plus souvent..c'est plein de couleurs, de gaîté, d'entrain....Une très bonne idée de chanter dans les rues pour la génération actuelle qui ne connait pas ces répertoires...allez voir ça,! c'est ce que j'appelle CHANTER J'ai vu le spectacle en entier à la télé et je me suis régalée...ça bouge, c'est drôle ... merci pour cette vidéo..Et Hop la la ....
Je tombe la dessus par hasard, la collision est absolument geniale !😂
Ayant joué avec l'un de ces chanteurs y'a 20 ans dans un fest de rock, je sais a quel point la demarche est sincere! Vous etes au top! Hopla!
Really cool. Great advertisement. Also a very clever distribution of one soprano's part to two singers!
Du génie ce coup de promotion pour une production exceptionnel. Le manque d'ouverture d'esprit dans les commentaires est assez affligeant.
"Du génie ce coup de promotion" vous avez raison, il ne faut pas être difficile !
Excellent 😂
Destructeurs 'Art Lyrique !
😂
Il s'agît d'une avance pour les représentations de l'immortelle opérette d'Offenbach. Donc on saisait l'occasion d'un coin de rue où les passants seront peut-être surpris et attirés par les belles mélodies d'Offenbach et pourront s'intéresser aux représentations et y assister, ou de même rechercher sur les réseaux pour en savoir un peu plus long. Ce qu'il y a d'intéressant aussi c'est le fait que de véritables artistes lyriques aient accepté d'envisager une situation si occasionnelle. Le défi est à se dépouiller du contexte d'un théâtre lyrique et aborder la situation dans le plus simple des sites : un coin de rue. Je devrai dire qu'il s'en tirent passablement bien. Les deux cantatrices alternatives pour le rôle de Périchole réussissent à être neutres et détendues. Mais l'intervention de Stanislas de Barbeyrac est formidable. Il réussit tout à faire à faire le rockeur-rappeur avec sa casquette et sa belle guitarre exotique couleur orange. Il suit parfaitement le rythme de la danse tout en chantant et faisant le voyou illuminé qui s'inspire à chanter en pleine rue offrant son chant aux frais de la princesse, la casquette lui seyant très bien. On voit que c'est un mec qui connaît la rue et le milieu social qui lui est propre et c'est pour cela qu'il se démène avec une telle aisance. Et puis il est franchement marrant, il y avait longtemps que je ne riais pas de si bon coeur : "Mesdames et Messieurs donnez quelque chose pour les chanteurs, pour les artistes! On est paumés! Mmm....mouais!" J'en ris encore en écrivant le présent commentaire. Ce garçon est tout à fait histrionique. Il arrivera loin dans l'interprétation des opéras-comiques et opérettes. Pourvu qu'il reste tel quel et qu'il ne se mêle pas à la toxicité de certains grands musiciens lyriques ampoulés. Visant à présent au fait même d'avoir improvisé ce petit interlude lyrique dans un coin de rue, peût-être l'opérette d'Offenbach n'est pas tellement hors contexte comme on puisse l'imaginer. En effet, la Périchole était une chanteuse flâneuse des rues qui a existé au XVIIème. siècle dans la Lima coloniale, capitale du Pérou. On l'appellait "La Perri-cholis" sans que je sache la raison d'un tel surnom. Or l'intrigue a été bien montée d'après les amours de Périchole et Piquillo. Mais seulement voilà. La Périchole est aussi aimée par le Vice-Roi du Pérou qui l'a connue et s'est épris d'elle. L'oeuvre intégrale est un authentique chef d'oeuvre, assurément une des plus belles productions d'Offenbach. Les mélodies ensorcelleuses se succèdent avec une maîtrise époustouflante. Mais quel génie cet Offenbach, alors! La mezzo-soprano qui tient le rôle de Périchole a trois beaux passages à son profit : l'air de la Lettre, la Griserie et la Déclaration. L'intégrale a été enregistrée par Teresa Berganza, Alain Vanzo et Gabriel Bacquier. Malgré le fait que Teresa Berganza ait été doublée par une comédienne dans les dialogues, cela n'empêche pas qu'on puisse suivre l'oeuvre dans tous les détails et c'est là où on découvre avec admiration la beauté de la musique hautement inspirée d'Offenbach. Par la suite Régine Crespin, au cours de sa seconde carrière comme mezzo-soprano a enregistré l'oeuvre mais dans une version abregée qui ne comprennait que les passages musicaux et non pas les dialogues, ce qui met la version dans une situation perdante puisque ce sont bien les dialogues qui donnent une saveur spéciale et mettent en relief les passages musicaux de l'oeuvre. Quant à l'interpretation des airs de Périchole, par exemple l'air de la Lettre, je me permettrais de recommender l'ancienne version entegistrée en 1931 par Fanély Revoil, qui a mon avis n'a été jamais surpassée. Je vous remercie le partage. J'ai passé un bon moment à écouter cette musique qui m'est familière et que j'aime tant et à rire avec plaisir.
💞💞💞💞💞💞
Quelle fraicheur : happening génial ! Cela va être un triomphe à l'intérieur dès le 13 novembre ! Si peu de monde à cette heure avenue Montaigne, quel dommage !
Et ce n'est pas fini pour les happenings :-)
Franchement, je préfère Barbeyrac en petit marcel. Et je réalise que j'y suis allé un mauvais jour pour la mezzo.
Quelle 😱 laideur ! Quelle vulgarité ! La cour des miracles !
Quelle catastrophe. Des chanteurs d'opéra qui grimment des punk à chien en chantant une chanson de colon dans la rue, tout ca sans aucune contextualisation... Heureusement que c'est la rue la moins passante de Paris
Des chansons de colons ???? Votre remarqué est ridicule, pleine de wokisme, certes je ne suis pas pour ces costumes et cette mise en scène, c'est mon avis, mais votre remarqué est pleine de haine
Chanson de colon ?? parce qu'il est question de jeune indienne ?
@@marcschndr Laissez, il n'y connait rien ce
@ImTheGirlOnTheMoon au lit...
Faut arrêter de faire chanter ça par des voix travaillées. Même le côté moderne gonfle parce que l'idée est vieille. Il faut faire chanter des comédiens et Offenbach trouvera son regain.
Bonne idée, prenons des voix non travaillées pour chanter de l’opéra. Cela me semble être la meilleure idée.
@@paulb.6965 Tout n'est pas chantable non plus par des voix non travaillées. Et même chez Offenbach. Mais dans un spectacle comique, il faut que les rôles soient tenus par qui a appris à faire rire. Bon, des chanteurs classiques très comédiens ou très rigolos, ça existe aussi. Mais c'est si rare !
Super idée! Mais alors, je préfère la version théâtre sans orchestre.