Des mots. Que ce soit sur les migrants ou sur l'égalité hommes-femmes. Son discours est une succession d'éléments de langage. "Mais je ne suis pas spécialiste". C'est bon quoi ! Sur les migrants, le minimum c'est de dire que l'aide au développement devrait être plusieurs fois multipliée. Le minimum, aussi, serait d'être catégorique contre l'exploitation économique des pays du Sud par les groupes français. Quand au sujet de l'égalité hommes-femmes, pareil, l'auteure ne nous sert que des mots. "La liberté sexuelle ? Je ne suis pas contre le BDSM". Elle laisse trainer et entérine les caricatures au milieu de son "humanisme". Son discours est simpliste. "On n'est pas des méchantes je-sais-pas-quoi". Le grand amalgame, pour, en plus, ajouter dans le mixeur la conditions des femmes au Maghreb, dire appartenir "à une nouvelle génération" - sous entendu "où hommes et femmes sont plus égaux et naturellement respectueux". "Plus évolués", nous, génération de cadres trentenaires diplômé du secondaire - ok, là, j'extrapole - qui serions "plus civilisés" que ces vieux machos du patriarcat. Non. Les générations ne sont pas le critère avec lequel nous, trentenaires, aurions le droit de se prétendre "plus civilisés" par défaut. Se revendiquer de cette façon est une esquive du sujet, pour ne pas parler de l'éducation ET de son contenu, de la psychologie, de la sociologie, du sujet dans toute sa complexité. À ressasser des banalités et des caricatures, ce type de discours creux grave chaque fois un peu plus profond le statut-quo.
"vouloir lutter contre la violence sans s'attaquer aux violences structurelles, (racisme, sexisme, capitalisme) , c'est comme vouloir soigner les feuilles d'un arbre , sans lui donner de l'eau" Radjagopal
ok très bien donc comment un homme gentil mais ne savant pas comment faire ? doivent agîr ! Aider les hommes à savoir être . beaucoup on besoin d'avoir une éducation pour avoir accès aux femmes !
Il y a une éducation des hommes ET des femmes à faire pour montrer que les femmes peuvent autant que les hommes être à l'initiative. Les hommes ne sont pas obligés de toujours faire le premier pas.
l'éducation à la sexualité passe par quelques cours aux jeunes dans les collèges et c'est nécessaire,mais plus tard tout le monde sait qu'il y a le planning familial c'est plus sain que la pornographie.
Elle aura à faire un choix entre son honnêteté et son soutien à Macron.
À suivre!
Des mots. Que ce soit sur les migrants ou sur l'égalité hommes-femmes.
Son discours est une succession d'éléments de langage. "Mais je ne suis pas spécialiste". C'est bon quoi !
Sur les migrants, le minimum c'est de dire que l'aide au développement devrait être plusieurs fois multipliée. Le minimum, aussi, serait d'être catégorique contre l'exploitation économique des pays du Sud par les groupes français.
Quand au sujet de l'égalité hommes-femmes, pareil, l'auteure ne nous sert que des mots. "La liberté sexuelle ? Je ne suis pas contre le BDSM". Elle laisse trainer et entérine les caricatures au milieu de son "humanisme". Son discours est simpliste. "On n'est pas des méchantes je-sais-pas-quoi".
Le grand amalgame, pour, en plus, ajouter dans le mixeur la conditions des femmes au Maghreb, dire appartenir "à une nouvelle génération" - sous entendu "où hommes et femmes sont plus égaux et naturellement respectueux".
"Plus évolués", nous, génération de cadres trentenaires diplômé du secondaire - ok, là, j'extrapole - qui serions "plus civilisés" que ces vieux machos du patriarcat.
Non. Les générations ne sont pas le critère avec lequel nous, trentenaires, aurions le droit de se prétendre "plus civilisés" par défaut. Se revendiquer de cette façon est une esquive du sujet, pour ne pas parler de l'éducation ET de son contenu, de la psychologie, de la sociologie, du sujet dans toute sa complexité.
À ressasser des banalités et des caricatures, ce type de discours creux grave chaque fois un peu plus profond le statut-quo.
"vouloir lutter contre la violence sans s'attaquer aux violences structurelles, (racisme, sexisme, capitalisme) , c'est comme vouloir soigner les feuilles d'un arbre , sans lui donner de l'eau" Radjagopal
Les commentaires sont le reflet des cœurs de ceux qui les laissent…
Désolé pour tous ces commentaires...
Super interview :) dommage de ne pas arrêter d'utiliser le mot porc...
TRES CLAIR !
ok très bien donc comment un homme gentil mais ne savant pas comment faire ? doivent agîr !
Aider les hommes à savoir être . beaucoup on besoin d'avoir une éducation pour avoir accès aux femmes !
Il y a une éducation des hommes ET des femmes à faire pour montrer que les femmes peuvent autant que les hommes être à l'initiative. Les hommes ne sont pas obligés de toujours faire le premier pas.
l'éducation à la sexualité passe par quelques cours aux jeunes dans les collèges et c'est nécessaire,mais plus tard tout le monde sait qu'il y a le planning familial c'est plus sain que la pornographie.
le macronisme
puritaine