Et bien sûr, les esclaves qui disaient tout le bien qu'ils pensaient de leur maîtres, étaient consideres comme progressistes et n'étaient PAS DU TOUT confrontés au lendemain de leur paroles. On imagine bien les romains, ces gens si doux, donner des bonbons et des félicitations à leurs esclaves....
En fait les Saturnales, célébrées du 17 au 23 décembre dans la Rome antique. Elles se caractérisaient par des banquets, des échanges de cadeaux, des décorations festives, et une inversion temporaire des rôles sociaux, où les esclaves pouvaient être servis par leurs maîtres.
@@Hérodoclachainehistoire d'accord. Je reconnais les similitude. Avons-nous des sources sérieuses ou même un chercheur qui a bûché, convenablement, sur la question ? Car je sais que les néopaïens déclarent, eux-aussi, de façon mal justifié la filiation de jøl avec Noël.
Au vu d e la popularité du christianisme ils ont cherché à intégrer ou remplacer certaines fêtes païennes pour faciliter la transition des populations vers la nouvelle religion. Noël, célébrant la naissance du Christ, a été fixé au 25 déc, autour des dates des Saturnales et de la fête romaine de Sol Invictus Cela a permis d’assimiler certaines coutumes festives préexistantes, comme les banquets, les cadeaux ou les décorations Avec le temps ça a marché …
@Herodoclachainehistoire, je vous prie de m'excuser pour le temps de réponse. Les banquets, cadeaux et autres ne sont pas des constantes de Noël, ni une exclusivité. Quant à la date, avec le même raisonnement, la Saint-Sylvestre et l'Épiphanie ne sont qu'une seule et même fête. Noël a plus à voir avec un syncrétisme de traditions non religieuses (le paganisme n'étant considéré comme une religion que récemment), christianisées, ce qui convient mieux aux nombreuses traditions de Noël que l'on peut dénombrer, en faisant abstraction de l'ethnocentrisme. D'ailleurs, ça recoupe avec le fait que les chrétiens et les païens sont les mêmes personnes et qu'elles ont gardé leurs vie après conversion. L'église n'est pas un roi tyranique qui change la vie d'un coup. C'est pour cette raison que je vous ai demandé des sources, non pas pour vous mettre en défaut, mais pour disposer d'un argumentaire poussé qui n'est pas possible dans les commentaires.
Et bien sûr, les esclaves qui disaient tout le bien qu'ils pensaient de leur maîtres, étaient consideres comme progressistes et n'étaient PAS DU TOUT confrontés au lendemain de leur paroles.
On imagine bien les romains, ces gens si doux, donner des bonbons et des félicitations à leurs esclaves....
Je ne comprend pas vraiment le lien avec Noël hors le mois en commun (et pas le jour). À la limite, ça ressemble au carnaval.
En fait les Saturnales, célébrées du 17 au 23 décembre dans la Rome antique.
Elles se caractérisaient par des banquets, des échanges de cadeaux, des décorations festives, et une inversion temporaire des rôles sociaux, où les esclaves pouvaient être servis par leurs maîtres.
@@Hérodoclachainehistoire d'accord. Je reconnais les similitude. Avons-nous des sources sérieuses ou même un chercheur qui a bûché, convenablement, sur la question ? Car je sais que les néopaïens déclarent, eux-aussi, de façon mal justifié la filiation de jøl avec Noël.
Au vu d e la popularité du christianisme ils ont cherché à intégrer ou remplacer certaines fêtes païennes pour faciliter la transition des populations vers la nouvelle religion.
Noël, célébrant la naissance du Christ, a été fixé au 25 déc, autour des dates des Saturnales et de la fête romaine de Sol Invictus
Cela a permis d’assimiler certaines coutumes festives préexistantes, comme les banquets, les cadeaux ou les décorations
Avec le temps ça a marché …
@Herodoclachainehistoire, je vous prie de m'excuser pour le temps de réponse. Les banquets, cadeaux et autres ne sont pas des constantes de Noël, ni une exclusivité. Quant à la date, avec le même raisonnement, la Saint-Sylvestre et l'Épiphanie ne sont qu'une seule et même fête. Noël a plus à voir avec un syncrétisme de traditions non religieuses (le paganisme n'étant considéré comme une religion que récemment), christianisées, ce qui convient mieux aux nombreuses traditions de Noël que l'on peut dénombrer, en faisant abstraction de l'ethnocentrisme. D'ailleurs, ça recoupe avec le fait que les chrétiens et les païens sont les mêmes personnes et qu'elles ont gardé leurs vie après conversion. L'église n'est pas un roi tyranique qui change la vie d'un coup. C'est pour cette raison que je vous ai demandé des sources, non pas pour vous mettre en défaut, mais pour disposer d'un argumentaire poussé qui n'est pas possible dans les commentaires.