Ils ne sont plus très nombreux ceux qui comprennent Jean Ségurel et Robert Monédière lorsqu'ils s'exprimaient en patois. J'éprouve beaucoup de nostalgie lorsque j'entends ma langue maternelle, celle qui a bercé mon enfance et qui sombre dans l'oubli. Yo chei un gas de la Monédièra, un bermontois qu'ame la bourreye.
Ils ne sont plus très nombreux ceux qui comprennent Jean Ségurel et Robert Monédière lorsqu'ils s'exprimaient en patois. J'éprouve beaucoup de nostalgie lorsque j'entends ma langue maternelle, celle qui a bercé mon enfance et qui sombre dans l'oubli. Yo chei un gas de la Monédièra, un bermontois qu'ame la bourreye.
bravo la bourrée