Ian n 'a pas besoin de promotion car interpréter cette chanson là avec autant d émotion et de poésie est une immense performance artistique sur une musique lourde et puissante au rythme lancinant et insidieux . Merci de ce partage émotion , car cette chanson m 'interpelle très fort .
Fabuleux : j'écoute cette chanson depuis plus de trente ans, et j'aime à me vivifier en écoutant d'autres interprètes de ce monument de la chanson. Ferré est peut-être mort, mais vous êtes vivant, et il revit en vous.
@@IanDayeurOfficiel Je me suis senti un peu perdu dans votre interprétation. Il faut dire que je ne suis pas un spécialiste du Rock, même si en live, j'aime bien, ça me change dudit "classique" qui est plus ma tasse de thé. Je vois que vous avez fait des reprises de Ferrat aussi. Ferrat, un très grand lui aussi. Potemkine en concert Waouh !!! Vous faites vivre la chanson française, bravo. Je suis l'un des rédacteurs et administrateur du blog Le Deblocnot (ledeblocnot.blogspot.com/). Il me vient l'idée de vous consacrer un papier, moi ou Pat, notre "pro" chanson française, si vous en êtes d'accord... Contact : Facebook : Claude Jouan. J'écoute "La Sorgue", j'aime beaucoup...
Avec grand plaisir ! Par contre j'ai qu'une page artiste et je ne peux faire de demande d'ami, si vous pouvez m'envoyer un message sur ma page Ian dayeur, je pourrai vous répondre ! Bien à vous
Ferré ce n'est pas moi ... Mais merci à toi Ian de cette interprétation qui me permet d'aimer ce texte, quand c'est toi tout de suite j'adhère, tu dois être magicien ! Bizz Mu Che
belle interprétation. paroles : La marée, je l'ai dans le cœur Qui me remonte comme un signe Je meurs de ma petite sœur, de mon enfance et de mon cygne Un bateau, ça dépend comment On l'arrime au port de justesse Il pleure de mon firmament Des années lumières et j'en laisse Je suis le fantôme jersey Celui qui vient les soirs de frime Te lancer la brume en baiser Et te ramasser dans ses rimes Comme le trémail de juillet Où luisait le loup solitaire Celui que je voyais briller Aux doigts de sable de la terre Rappelle-toi ce chien de mer Que nous libérions sur parole Et qui gueule dans le désert Des goémons de nécropole Je suis sûr que la vie est là Avec ses poumons de flanelle Quand il pleure de ces temps là Le froid tout gris qui nous appelle Je me souviens des soirs là-bas Et des sprints gagnés sur l'écume Cette bave des chevaux ras Au raz des rocs qui se consument Ö l'ange des plaisirs perdus Ö rumeurs d'une autre habitude Mes désirs dès lors ne sont plus Qu'un chagrin de ma solitude Et le diable des soirs conquis Avec ses pâleurs de rescousse Et le squale des paradis Dans le milieu mouillé de mousse Reviens fille verte des fjords Reviens violon des violonades Dans le port fanfarent les cors Pour le retour des camarades Ö parfum rare des salants Dans le poivre feu des gerçures Quand j'allais, géométrisant, Mon âme au creux de ta blessure Dans le désordre de ton cul Poissé dans des draps d'aube fine Je voyais un vitrail de plus, Et toi fille verte, mon spleen Les coquillages figurant Sous les sunlights cassés liquides Jouent de la castagnette tans Qu'on dirait l'Espagne livide Dieux de granits, ayez pitié De leur vocation de parure Quand le couteau vient s'immiscer Dans leur castagnette figure Et je voyais ce qu'on pressent Quand on pressent l'entrevoyure Entre les persiennes du sang Et que les globules figurent Une mathématique bleue, Sur cette mer jamais étale D'où me remonte peu à peu Cette mémoire des étoiles Cette rumeur qui vient de là Sous l'arc copain où je m'aveugle Ces mains qui me font du fla-fla Ces mains ruminantes qui meuglent Cette rumeur me suit longtemps Comme un mendiant sous l'anathème Comme l'ombre qui perd son temps À dessiner mon théorème Et sous mon maquillage roux S'en vient battre comme une porte Cette rumeur qui va debout Dans la rue, aux musiques mortes C'est fini, la mer, c'est fini Sur la plage, le sable bêle Comme des moutons d'infini... Quand la mer bergère m'appelle
La marée, je l'ai dans le coeur Qui me remonte comme un signe Je meurs de ma petite soeur, de mon enfance et de mon cygne Un bateau, ça dépend comment On l'arrime au port de justesse Il pleure de mon firmament Des années lumières et j'en laisse Je suis le fantôme jersey Celui qui vient les soirs de frime Te lancer la brume en baiser Et te ramasser dans ses rimes Comme le trémail de juillet Où luisait le loup solitaire Celui que je voyais briller Aux doigts du sable de la terre Rappelle-toi ce chien de mer Que nous libérions sur parole Et qui gueule dans le désert Des goémons de nécropole
Ian n 'a pas besoin de promotion car interpréter cette chanson là avec autant d émotion et de poésie est une immense performance artistique sur une musique lourde et puissante au rythme lancinant et insidieux .
Merci de ce partage émotion , car cette chanson m 'interpelle très fort .
Fabuleux : j'écoute cette chanson depuis plus de trente ans, et j'aime à me vivifier en écoutant d'autres interprètes de ce monument de la chanson. Ferré est peut-être mort, mais vous êtes vivant, et il revit en vous.
+thetriton95 Merci beaucoup !
Superbe chanson ! Ton interprétation est belle et sensible , l'accompagnement musical est extra . Bravo ! J'ai aimé ...
Merci Claire !
J'aime beaucoup :)
Heuuuu... C'est une complainte sublime sur une poème surréaliste, pas un bout de rock à marteler... C'est très courageux ceci dit !
Merci de saluer ma prise de risque !
@@IanDayeurOfficiel Je me suis senti un peu perdu dans votre interprétation. Il faut dire que je ne suis pas un spécialiste du Rock, même si en live, j'aime bien, ça me change dudit "classique" qui est plus ma tasse de thé. Je vois que vous avez fait des reprises de Ferrat aussi. Ferrat, un très grand lui aussi. Potemkine en concert Waouh !!! Vous faites vivre la chanson française, bravo. Je suis l'un des rédacteurs et administrateur du blog Le Deblocnot (ledeblocnot.blogspot.com/). Il me vient l'idée de vous consacrer un papier, moi ou Pat, notre "pro" chanson française, si vous en êtes d'accord... Contact : Facebook : Claude Jouan.
J'écoute "La Sorgue", j'aime beaucoup...
Avec grand plaisir ! Par contre j'ai qu'une page artiste et je ne peux faire de demande d'ami, si vous pouvez m'envoyer un message sur ma page Ian dayeur, je pourrai vous répondre ! Bien à vous
Ferré ce n'est pas moi ... Mais merci à toi Ian de cette interprétation qui me permet d'aimer ce texte, quand c'est toi tout de suite j'adhère, tu dois être magicien ! Bizz Mu Che
💘
Complètement d'accord !
belle interprétation.
paroles :
La marée, je l'ai dans le cœur
Qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite sœur, de mon enfance et de mon cygne
Un bateau, ça dépend comment
On l'arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament
Des années lumières et j'en laisse
Je suis le fantôme jersey
Celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en baiser
Et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet
Où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts de sable de la terre
Rappelle-toi ce chien de mer
Que nous libérions sur parole
Et qui gueule dans le désert
Des goémons de nécropole
Je suis sûr que la vie est là
Avec ses poumons de flanelle
Quand il pleure de ces temps là
Le froid tout gris qui nous appelle
Je me souviens des soirs là-bas
Et des sprints gagnés sur l'écume
Cette bave des chevaux ras
Au raz des rocs qui se consument
Ö l'ange des plaisirs perdus
Ö rumeurs d'une autre habitude
Mes désirs dès lors ne sont plus
Qu'un chagrin de ma solitude
Et le diable des soirs conquis
Avec ses pâleurs de rescousse
Et le squale des paradis
Dans le milieu mouillé de mousse
Reviens fille verte des fjords
Reviens violon des violonades
Dans le port fanfarent les cors
Pour le retour des camarades
Ö parfum rare des salants
Dans le poivre feu des gerçures
Quand j'allais, géométrisant,
Mon âme au creux de ta blessure
Dans le désordre de ton cul
Poissé dans des draps d'aube fine
Je voyais un vitrail de plus,
Et toi fille verte, mon spleen
Les coquillages figurant
Sous les sunlights cassés liquides
Jouent de la castagnette tans
Qu'on dirait l'Espagne livide
Dieux de granits, ayez pitié
De leur vocation de parure
Quand le couteau vient s'immiscer
Dans leur castagnette figure
Et je voyais ce qu'on pressent
Quand on pressent l'entrevoyure
Entre les persiennes du sang
Et que les globules figurent
Une mathématique bleue,
Sur cette mer jamais étale
D'où me remonte peu à peu
Cette mémoire des étoiles
Cette rumeur qui vient de là
Sous l'arc copain où je m'aveugle
Ces mains qui me font du fla-fla
Ces mains ruminantes qui meuglent
Cette rumeur me suit longtemps
Comme un mendiant sous l'anathème
Comme l'ombre qui perd son temps
À dessiner mon théorème
Et sous mon maquillage roux
S'en vient battre comme une porte
Cette rumeur qui va debout
Dans la rue, aux musiques mortes
C'est fini, la mer, c'est fini
Sur la plage, le sable bêle
Comme des moutons d'infini...
Quand la mer bergère m'appelle
La marée, je l'ai dans le coeur
Qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite soeur, de mon enfance et de mon cygne
Un bateau, ça dépend comment
On l'arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament
Des années lumières et j'en laisse
Je suis le fantôme jersey
Celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en baiser
Et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet
Où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts du sable de la terre
Rappelle-toi ce chien de mer
Que nous libérions sur parole
Et qui gueule dans le désert
Des goémons de nécropole
Je Vous AiMe musique D'ailleurs/d'AUTREFOIS...
Bravo, j'imagine devant les écrans des mains qui vous font du flafla.
Il existe beaucoup de version de cette "La mémoire et la mer", mais celle-ci me plait beaucoup !
La bonne chanson française :herve44.meabilis.fr/
Notre Mémoire, Votre Vie, Leurs Mœurs...