L’armée, si je ne m’abuse, est au pouvoir depuis le 04 août 1966, après un coup d’état contre Maurice Yaméogo (05 août 1960). Cela fait donc 48 ans de régime militaire sans partage. Une armée est une organisation structurée, d’hommes et de femmes armés pour défendre un territoire, le Burkina Faso, en ce qui nous concerne. L’armée de ce pays doit être organisée par les institutions et donc par l’Etat, dans son organisation politique et juridique. On parle alors de souveraineté du peuple et donc de nation (en devenir). Rien ne sert de se le cacher : un régime militaire est un régime dictatorial qui peut utiliser des formes civilisées, démocratiques, pour endormir et conforter le peuple, mais il demeure bien dictatorial. C’est bien ce que connait le Burkina depuis 48 années. Il me semble alors impensable que les civils, au sein de la société civile, se réfère à l’armée, après la fausse note du Président militaire, en exil en Côte d’Ivoire. Si ce peuple des Hommes intègres ne sort pas immédiatement de cette vue de l’esprit, qui est celle de composer avec l’armée dans cette transition, je crains que sa légitimité soit toujours dictée par la dictature citée plus haut. La communauté internationale qui est loin d’être aveugle le sait. Alors, que la société civile lui demande plutôt de l’aider à avancer rapidement sans les militaires, car ils risquent de (re)venir au pouvoir sans fin ! La société civile a vaincue les militaires par leur action, après le mauvais calcul du récent Président, mais cela risque d’être de courte durée. Le colonisateur qui est toujours omniprésent se doit de protéger le peuple contre les militaires, et ce dernier (le peuple) doit vite s’accorder avec les conseils des uns et des autres, mais surtout pas de l’armée ! Cela ressemble à une prise en otage sujette à des pourparlers inutiles, car c’est l’armée qui détient les armes et le pouvoir. Si elle n’a plus le pouvoir, il ne faut pas le lui brandir ainsi, car elle ne s’en privera pas ! Ma part de vérité parce que j’aime l’Afrique, mon continent. Libre opinion. Abidjan, le 15/11/2014.
Dieu le fera grâce de tout ce que l'homme peut se faire une idée de lui et de ses actions
L’armée, si je ne m’abuse, est au pouvoir depuis le 04 août 1966, après un coup d’état contre Maurice Yaméogo (05 août 1960). Cela fait donc 48 ans de régime militaire sans partage. Une armée est une organisation structurée, d’hommes et de femmes armés pour défendre un territoire, le Burkina Faso, en ce qui nous concerne. L’armée de ce pays doit être organisée par les institutions et donc par l’Etat, dans son organisation politique et juridique. On parle alors de souveraineté du peuple et donc de nation (en devenir).
Rien ne sert de se le cacher : un régime militaire est un régime dictatorial qui peut utiliser des formes civilisées, démocratiques, pour endormir et conforter le peuple, mais il demeure bien dictatorial. C’est bien ce que connait le Burkina depuis 48 années.
Il me semble alors impensable que les civils, au sein de la société civile, se réfère à l’armée, après la fausse note du Président militaire, en exil en Côte d’Ivoire. Si ce peuple des Hommes intègres ne sort pas immédiatement de cette vue de l’esprit, qui est celle de composer avec l’armée dans cette transition, je crains que sa légitimité soit toujours dictée par la dictature citée plus haut.
La communauté internationale qui est loin d’être aveugle le sait. Alors, que la société civile lui demande plutôt de l’aider à avancer rapidement sans les militaires, car ils risquent de (re)venir au pouvoir sans fin ! La société civile a vaincue les militaires par leur action, après le mauvais calcul du récent Président, mais cela risque d’être de courte durée. Le colonisateur qui est toujours omniprésent se doit de protéger le peuple contre les militaires, et ce dernier (le peuple) doit vite s’accorder avec les conseils des uns et des autres, mais surtout pas de l’armée ! Cela ressemble à une prise en otage sujette à des pourparlers inutiles, car c’est l’armée qui détient les armes et le pouvoir. Si elle n’a plus le pouvoir, il ne faut pas le lui brandir ainsi, car elle ne s’en privera pas !
Ma part de vérité parce que j’aime l’Afrique, mon continent. Libre opinion. Abidjan, le 15/11/2014.
Le criminel parle de démocratie
Le créateur des problèmes de son pays et pays voisins.
Diendere n'est pas loin. Mdr !
Le bâtisseur silencieux de Burkina moderne
Un criminel en parole
Le criminel
Le diable
Assassin
Notre glorieux president est en parfaite sante que Dieu le beni aussi que tout les burkinabe dignes et contents de l'etres.
Sè ta manma satan va benir avc blaise
A
Domouram