Je me suis dis un peu la même chose. Je pense que le type a vision idéalisée du travail d'enseignant. Le principal souci, qui rend un peu caduque son propos, est la dégradation des conditions de travail des enseignants. En soit, ce qu'il dit peut être (ou pourrait être) vrai si on nous permettait de travailler ds de bonne condition (petite classe, de bons outils, de bons locaux, etc.). Je travaille ds plusieurs contexte d'enseignement. C'est un métier qui peut vraiment chouette qd le cadre est bon.
Moi, je n’en peux plus des chefs et des inspecteurs menteurs, magouilleurs, violents, brutaux… et des gamins qui ne sont jamais punis quand ils font des conneries… pas de vagues, il faut de bons chiffres. Ça pourrait être un métier sympa, mais je le fais pour bouffer. Je n’y crois plus.
Babeau se rattrape bien dans cet extrait. Mais Apolline Guillot et Dominique Méda sont les plus incroyables en sens et en clarté ! Les mots sont dits. 🧡
Je trouve ça un peu décevant ou à côté de répondre à des analyses sur les rapports de force au travail qui influent sur l'ensemble de la vie des employé.es par une vague psychologisation... Mais l'ecart de temps qu'elle pointait au début est très intéressant par contre.
Mdr je travail pour vivre pas l'inverse pourtant jaime bien ce que je fais (jai la chance davoir un métier passion) mais merde ca reste du taf c'est contraignant de ce lever a 23 heures pour commencer tt les jours a 1 heure et finir a midi 6 jours par semaine (wai je fais pleins d'heures) jose meme pas imaginer ce que vuvent les gens aui fotmnt un taf quils n'aiment pas. Le travail 'est devenu une valeur seulement depuis le debut du capitalisme.....on croit aue les gens avant cela bossaient comme des forçats mdr pas du tt nos ancêtres bossaient bien moins que nous (je parle avant le capitalisme et la revolution industrielle)
Hallucinant cet échange où on lui donne la traduction valable de démission silencieuse et elle coupe la parole pour donner une définition qui s’entend et se comprend juste en prononçant le terme en français 🤡 C’est criant de vérité
En France un des problème est que les salariés pensent que les patrons sont des exploiteurs et les patrons pensent que les employés sont des tirs au flanc. Du coup les relations sont hyper malsaines. Ajoutez à ça la notion de pouvoir hiérarchique de merde et nous avons à peu près l'équation.
Quelle paresse des jeunes Français par rapport aux Américains ou aux Anglais ! Ils font tout pour ne rien faire, et cette paresse chronique ne se remarque qu'à la mi-mai, quand tout le monde est super productif et veut partir en vacances tout de suite. Scandaleux.
Hâte d'écouter, avec l'excellent Nicolas Framont que j'aimerais voir, écouter plus souvent.
J'ai l'impression d'être moin seul avec lui.
Continuez comme ça, moins de bourgeois, plus de Nicolas Framont
Excellent Nicolas Framont comme à son habitude
"Le travail d'un professeur est émancipateur".
Après une journée de cours avec des quatrièmes et des troisièmes je ne me sens pas plus émancipé.
Moi je me sens régressé.
Je me suis dis un peu la même chose. Je pense que le type a vision idéalisée du travail d'enseignant. Le principal souci, qui rend un peu caduque son propos, est la dégradation des conditions de travail des enseignants. En soit, ce qu'il dit peut être (ou pourrait être) vrai si on nous permettait de travailler ds de bonne condition (petite classe, de bons outils, de bons locaux, etc.). Je travaille ds plusieurs contexte d'enseignement. C'est un métier qui peut vraiment chouette qd le cadre est bon.
Moi, je n’en peux plus des chefs et des inspecteurs menteurs, magouilleurs, violents, brutaux… et des gamins qui ne sont jamais punis quand ils font des conneries… pas de vagues, il faut de bons chiffres. Ça pourrait être un métier sympa, mais je le fais pour bouffer. Je n’y crois plus.
On est pas bien là entre professions intellectuelles subventionnées à discourir sur une réalité que l'on ne connait pas?
Super votre modération qui supprime les commentaires sans raison, ne changez rien, ça donne envie de participer au débat 👍
Nicolas Framont est brillant
Enfin Dominique Meda sur un média public de masse…
Il faut se donner à fond pour sa boite, et quand elle n'a plus besoin de toi ou si ça l'arrange, la boite te vire sans délais.
Babeau se rattrape bien dans cet extrait. Mais Apolline Guillot et Dominique Méda sont les plus incroyables en sens et en clarté ! Les mots sont dits. 🧡
Je trouve ça un peu décevant ou à côté de répondre à des analyses sur les rapports de force au travail qui influent sur l'ensemble de la vie des employé.es par une vague psychologisation... Mais l'ecart de temps qu'elle pointait au début est très intéressant par contre.
Mdr je travail pour vivre pas l'inverse pourtant jaime bien ce que je fais (jai la chance davoir un métier passion) mais merde ca reste du taf c'est contraignant de ce lever a 23 heures pour commencer tt les jours a 1 heure et finir a midi 6 jours par semaine (wai je fais pleins d'heures) jose meme pas imaginer ce que vuvent les gens aui fotmnt un taf quils n'aiment pas. Le travail 'est devenu une valeur seulement depuis le debut du capitalisme.....on croit aue les gens avant cela bossaient comme des forçats mdr pas du tt nos ancêtres bossaient bien moins que nous (je parle avant le capitalisme et la revolution industrielle)
Hallucinant cet échange où on lui donne la traduction valable de démission silencieuse et elle coupe la parole pour donner une définition qui s’entend et se comprend juste en prononçant le terme en français 🤡
C’est criant de vérité
Wouah. Comment elle plane, la première intervenante.
En France un des problème est que les salariés pensent que les patrons sont des exploiteurs et les patrons pensent que les employés sont des tirs au flanc. Du coup les relations sont hyper malsaines. Ajoutez à ça la notion de pouvoir hiérarchique de merde et nous avons à peu près l'équation.
quand on ecoute ce debat, on se dit que le pays est foutu. Quand plus personne ne travaillera, on verra comment on financera tout
Quelle paresse des jeunes Français par rapport aux Américains ou aux Anglais ! Ils font tout pour ne rien faire, et cette paresse chronique ne se remarque qu'à la mi-mai, quand tout le monde est super productif et veut partir en vacances tout de suite. Scandaleux.
Ouais, surtout que le terme du quiet quitting est anglo-américain…
Ils ne travaillent pas de ouf. Faut pas croire.