#GDPS

Intervenants :
Michel Chassang, Vice président Conseil économique social et environnemental
Marion Del Sol, Professeure de droit privé et conseillère scientifique du HCAAM
Luc Duquesnel, Médecin Généraliste, Président « Les Généralistes CSMF »
Emmanuel Frere-Lecoutre, Directeur de l’Offre de Soins de la Cnam,
Zaynab Riet, Déléguée générale de la Fédération hospitalière de France (FHF)
Animé par Gilles Nezosi, Directeur général du Centre de traitement informatique de la Loire et Conseiller scientifique pour l’IHEPS
Résumé de la séquence :
💡 Les conventions médicales, c'est quoi ? Marion Del Sol a expliqué qu’elles visent à réguler les relations entre les médecins libéraux et l’Assurance Maladie, en imposant des limitations tarifaires aux médecins conventionnés. Un mécanisme crucial pour garantir l'accès aux soins à un coût supportable pour tous.
📊 La convention 2024 : Emmanuel Frère-Lecoutre a détaillé les 4 axes majeurs : L’hashtag#attractivité tarifaire pour les hashtag#médecins, L'accès aux hashtag#soins, un enjeu particulièrement sensible, La pertinence des soins et La transformation des modes de hashtag#rémunération.
🏥 Impact sur les centres hashtag#hospitaliers : Zaynab Riet a souligné l’importance des conventions pour les consultations assurées au sein des hôpitaux publics, mettant en lumière leur rôle clé dans le système hospitalier.
🔧 Des ajustements nécessaires : MICHEL CHASSANG a rappelé l’origine des conventions, nées du besoin de garantir l’accès aux soins pour tous, mais il constate que, avec le temps, l’équilibre s’est dégradé. Selon lui, il est impératif de revoir ce système pour rétablir cet équilibre essentiel.
⚖️ Le débat sur l’avenir : Luc Duquesnel a défendu l’importance de maintenir cette convention malgré ses défis, tandis que Marion Del Sol a mis en avant la nécessité de l’adapter aux besoins de prise en charge actuels. Pour MICHEL CHASSANG, la convention reste un produit du dialogue social, il faut la décloisonner et améliorer la coordination entre les différents acteurs. Zaynab Riet a ajouté que les aspirations des différents professionnels de santé doivent être prises en compte pour construire un système durable.