Je pense être éco-anxieuse, et pourtant je ne cautionne pas les manifs qui détruisent le bien publique (ou privé), ou qui s'en prennent aux forces publiques. J'ai peur de la mort mais je l'ai intérioriser depuis bien longtemps. De même que j'ai peur de la perte de la biodiversité, des arbres qui sont en train de crever, des feux de forêts, de la guerre liée au manque d'eau ou par manque d'énergie... Mais je commence peu à peu à faire avec. Je suis 1 sur 8 milliards d'individus à polluer. Mais toute la difficulté de vivre dans une société thermo-industriel, est qu'on est dans l'impossibilité de faire autrement que polluer si on veut continuer à avoir une vie sociale (se nourrir en réduisant la viande (mais de la viande de qualité: vaches nourries dans les prés), se déplacer en privilégiant les alternatives à la voiture, on peut éviter de trop se chauffer, mais dès qu'on reçoit on doit avoir au moins 18 à 20 °C dans le salon). En faisant mon bilan carbone à 2 ans d'intervalles, je me suis rendue compte que je n'avais presque pas changer de cap, et que je ne pourrais certainement pas le modifier, tant ce que je consomme dépend de ma famille et de mon entourage, et de cette société thermo-industrielle qui m'oblige d'avoir un ordinateur, un smartphone, une imprimante pour la vie de tout les jours. Je fais de mon mieux, mais j'essaie d'éviter de me prendre la tête avec ça. Et surtout, je n'ai aucune intention de me prendre la tête avec mon entourage. Chacun fait avec sa conscience.
Super intéressant ! merci !
J'adore ce débat je le reécoute souvent merci
Je pense être éco-anxieuse, et pourtant je ne cautionne pas les manifs qui détruisent le bien publique (ou privé), ou qui s'en prennent aux forces publiques. J'ai peur de la mort mais je l'ai intérioriser depuis bien longtemps. De même que j'ai peur de la perte de la biodiversité, des arbres qui sont en train de crever, des feux de forêts, de la guerre liée au manque d'eau ou par manque d'énergie... Mais je commence peu à peu à faire avec. Je suis 1 sur 8 milliards d'individus à polluer. Mais toute la difficulté de vivre dans une société thermo-industriel, est qu'on est dans l'impossibilité de faire autrement que polluer si on veut continuer à avoir une vie sociale (se nourrir en réduisant la viande (mais de la viande de qualité: vaches nourries dans les prés), se déplacer en privilégiant les alternatives à la voiture, on peut éviter de trop se chauffer, mais dès qu'on reçoit on doit avoir au moins 18 à 20 °C dans le salon). En faisant mon bilan carbone à 2 ans d'intervalles, je me suis rendue compte que je n'avais presque pas changer de cap, et que je ne pourrais certainement pas le modifier, tant ce que je consomme dépend de ma famille et de mon entourage, et de cette société thermo-industrielle qui m'oblige d'avoir un ordinateur, un smartphone, une imprimante pour la vie de tout les jours. Je fais de mon mieux, mais j'essaie d'éviter de me prendre la tête avec ça. Et surtout, je n'ai aucune intention de me prendre la tête avec mon entourage. Chacun fait avec sa conscience.
J’ai lâché à partir de patriarcal… vous vous coupez d’un publique et pourtant je suis acquis, alors les autres…
Présages était mieux avant