Julien Wanders «Road to Tokyo» | Episode 2/9: ATHLETISSIMA

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  • Опубликовано: 6 авг 2019
  • 🇫🇷🇩🇪🇬🇧 Subtitles available in the settings.
    « En dernière année du collège j’ai commencé à m’entraîner deux fois par jour… je ne vais pas mentir, j’ai séché quelques cours pour aller m’entraîner… »
    📺 Après la préparation au Kenya, Julien a eu l’occasion de montrer ce qu’il avait dans le ventre face aux tous meilleurs mondiaux, sur piste, en Diamond League, à Athletissima. Prochaines courses : Euro Team (5000 m), Championnats suisses (800 m/1500 m) et Weltkalsse Zürich (5000 m), avant Doha fin septembre.
  • СпортСпорт

Комментарии • 10

  • @johansvensson9586
    @johansvensson9586 5 лет назад +8

    So young but already becoming a legend!

  • @momoben9899
    @momoben9899 5 лет назад +3

    bravo super

  • @felixke9471
    @felixke9471 3 года назад +1

    He has a kenyan bracelet 👍

  • @crackerjams6534
    @crackerjams6534 5 лет назад

    why would those children even challenge him to a game of tag

  • @user-op6ey5hy5m
    @user-op6ey5hy5m 5 лет назад +3

    Maintenant allez expliquer à la fédération française d'athlétisme qu'on ne stagne pas parce qu'on s'est entrainé plus que 2 fois par semaine en jeune 😅

    • @estebandurand
      @estebandurand 5 лет назад

      Je ne vous répondrais pas mais pour précision leur 2ème année de collège est égale à notre première au cas où vous ne le sauriez pas

    • @user-op6ey5hy5m
      @user-op6ey5hy5m 5 лет назад +18

      @@estebandurand Je sais très bien que le collège est l'égal de notre lycée dans le canton de Genève, il y a même marqué "senior in HIGHSCHOOL" dans les sous-titres anglais. Je vous mets maintenant au défi de me trouver en France des juniors 1 qui s'entraînent 13 fois par semaine.
      La fédération française ne comprend pas que le développement à un jeune âge C'EST le "talent", non elle attend que des jeunes assez talentueux pour faire des médailles aux JO/mondiaux apparaissent tous seuls de eux-mêmes pendant que les jeunes encadrés sont souvent limités à 3 ou 4 entraînements hebdomadaires pour éviter "qu'ils ne stagnent plus tard", or aucune étude n'a jamais prouvé qu'un haut kilométrage hebdomadaire pendant l'adolescence ferait stagner le coureur plus tard, il suffit de prendre du plaisir, regarde Jakob Ingebrigtsen. Bien sûr il y a la génétique mais cela ne fait absolument pas tout et c'est une croyance erronée de la fédération qui attend donc que des jeunes avec potentiel olympique sans réel entrainement apparaissent un jour grâce à un talent génétique.
      Regarde Jimmy Gressier, la fédération croit sincèrement qu'il excelle seulement car il a le talent génétique, et les autres athlètes sont dégoûtés de voir un gars qui arrête le foot à 17 ans, qui s'est jamais "entraîné" de sa vie et qui les bat alors qu'ils font de l'athlé depuis leurs 7 ans, et ils mettront ça sur le dos de la génétique.
      Or, ce qu'ils oublient c'est que pendant qu'ils "s'entraînaient" 3 fois par semaine dans leur club d'athlétisme toutes ces années, Gressier, lui, faisait 3 heures de foot tous les soirs avec ses amis dans le quartier depuis son plus jeune âge, maintenant compte le kilométrage hebdomadaire de celui qui fait 21 heures de foot par semaine contre celui qui fait 3 heures d'athlé^^
      Il est évident que Gressier était bien plus actif depuis un plus jeune âge et que son niveau n'est pas juste le fruit d'une génétique hors-norme mais celui d'un gros volume d'effort physique depuis tout jeune qui permet une adaptation du corps au sport au moment où le corps est le plus adaptable et susceptible de développer des qualités aérobies primordiales pour espérer faire parti de l'élite mondiale un jour.
      Les Ingebrigtsen l'ont bien compris, Jakob faisait 9 entraînements par semaine à 14 ans et 13 à 16 ans (130km par semaine)
      Hicham El Guerrouj faisait 13 entraînement par semaine à 15 ans, 2 ans seulement après avoir commencé l'athlétisme
      C'est pareil pour de nombreux kényans et Ethiopiens, qui à défaut de l'avoir compris, le font naturellement ; c'est le cas par exemple de Haile Gebresselassie qui courait 10 km aller retour depuis son plus jeune âge pour faire le trajet de l'école, ça nous fait déjà 100km par semaine
      Le point commun de ces athlètes c'est qu'ils sont tous parmi les plus talentueux de l'histoire de l'athlétisme et bien plus talentueux que tous les fondeurs français qu'on a pu voir ces 30 dernières années, et évidemment qu'ils ont tous développé des qualités pour la course à pied en courant énormément quand le corps s'adapte encore à ce que l'on fait : la croissance.
      Et je t'assure que la France ne produira pas plus de 1 ou 2 (demi-)fondeurs capable de rivaliser avec les kényans pour une médaille olympique tous les 10 ans tant qu'elle que la FFA n'aura pas compris ça.
      Regarde les USA, ils se débrouillent bien mieux que la France sur tous les points (les plus medaillés en athlétisme à tous les JO et mondiaux) et pour avoir longtemps dialogué avec Nick Symmonds, il est d'accord avec moi et m'affirme qu'aux États-Unis, il a visité des Highschools (troisième+lycée en France) où les athlètes couraient tous de 50 à 90 miles par semaine (80 à 150km), même les plus jeunes, freshman équivalent à minime 2 ici !
      Et je n'accepte pas le discours de la FFA qui soutient que la réussite des Américains en athlétisme est dûe aux moyens financiers employés et à la grande population du pays, ce qui permet donc d'avoir plus de chances statistiquement d'avoir un athlète naturellement doué, car le Kenya, l'Éthiopie et le Maroc ne les ont pas ces moyens eux et leur population est similaire au taux de population en France, et pourtant cela ne les empêche pas de produire l'élite mondiale du demi fond !

    • @LowanAthletics
      @LowanAthletics 5 лет назад +3

      iHayZi_ & ZertuoZz très bonne analyse

    • @tabstabs1204
      @tabstabs1204 3 года назад

      @@user-op6ey5hy5m et inversement en Inde, 1,3 milliard en population et aucun sportif de renom, excepté en crickett !!