Louise lit La Duchesse de Langeais de Honoré de Balzac - Voyage au bout de la nuit (01/12)

Mais que dissimule la coquetterie glacée de cette aristocratique Célimène ? Et par quel étrange sortilège l'incandescente passion d'Armand de Montriveau va-t-elle à son tour la consumer ?
Comme tout vrai chef-d'œuvre, ce "roman noir" - primitivement intitulé " Ne touchez pas à la hache " - est pour partie une autobiographie sublimée, c'est-à-dire le contraire d'un roman à clefs. "Moi seul sais ce qu'il y a d'horrible dans La Duchesse de Langeais," confiait Balzac à l'un de ses proches.
C'est pourquoi l'œuvre conserve, depuis plus d'un siècle et demi, son mystère et sa force de séduction.

[@cyrille8693]

C'est avec grand plaisir que j'entends Louise nous revenir. Cela me rapelle mes premiers "Voyages au bout de la nuit". Cependant, j'avoue que, cognitivement, je suis quelque peu déboussolé : "Où est la toux profonde ? La fièvre tuberculeuse de la comédienne à l'agonie ? L'allergie aux graminés et aux vents sud-sud-ouest à 45° à 1.75m/s ?" Est-ce vraiment Louise ou son alter ego extra-terrestre dopée aux anti-isthaminiques qui nous revient ? Je ne saurais le dire mais... Diable, que celà fait plaisir de vous revoir, Madame... en bonne santé, en plus.