Catherine Chabert | Les enjeux psychiques des séparations (EXTRAIT 1)

Поделиться
HTML-код
  • Опубликовано: 28 ноя 2024

Комментарии • 2

  • @juliettelancteau2033
    @juliettelancteau2033 Год назад +1

    Travailler, aimer, se séparer ! Bien dit. 👏👏👍

  • @c.l.8557
    @c.l.8557 7 месяцев назад

    Mais non, la haine et l'amour sont à l'œuvre chez les clivés et liées à la contradiction (double langage), notamment chez les profils narcissiques, chez ceux qui ont des défenses psychotiques. Lorsque névrosé, il n'y a plus amour et haine mais une diversité incroyable d'émotions beaucoup plus fines et beaucoup plus nuancées ! La haine est remplacée par de la saine colère, beaucoup plus constructive que destructive (la haine est liée à la pulsion de mort, elle est destructive liée au clivage). La colère est elle liée à l'altérité, à la pulsion de vie. Faut pas s'étonner si des théories banalisant la haine autorisent la violence sociétale et le racisme, tout en clamant faire l'inverse (le racisme est lié à la haine, la colère est liée à l'altérité). Pour être séparés, pour gérer une séparation, il faut avoir été en lien (ce qui n'est pas le cas des non névrosés qui peuvent s'effondrer lors de séparation physique. Même s'il y a séparation physique, il n'y a pas séparation symbolique pour le névrosé, le lien est intériorisé, il n'y a donc pas effondrement, il y a tristesse, mais pas effondrement).