Les larmes du ciel by Inaïa Chinate

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Mao: FL Studio
Vidéo: capcut and ai video
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**** Lyrics ****
Les lampadaires brûlent, mais n'illuminent rien
Juste des pages blanches pour nos lendemains
Entre les murs, s'infiltre un froid silence
Qui s'empare de l'âme, une douce démence
Et seule la Seine comprend nos chuchotements
Témoin silencieux de nos doux tourments
Est-ce que le ciel pleure comme nous
Question sombre et cruciale
Bien sûr que oui, sous nos verrous
Nos cœurs battent mais sans morale
C'était si doux la première pluie
Elle lavait tous nos non-dits
Les rues se noient sous mon pas lourd
La lune cache son visage pâle
La nuit résonne de nos amours
Mais le silence frappe, une rafale
La mélancolie dans l'averse
Dissout nos rêves et nos promesses
Le vent se lève, cris des violons
Il emporte nos illusions
Tout s'efface, même les saisons
Nos âmes grises, sans raison
Dans chaque goutte, un souvenir
Qui coule, s'acharne à nous fuir
Comme des fantômes dans le noir
On erre vide, sans espoir
Chaque écho de nos regrets
Dans le vide, il se perdrait
La ville pleure avec nous ce soir
Éclats d'eau sur le trottoir
Et le matin se lève, toujours gris
Les yeux rougis, par les larmes de la nuit
Encore une fois, le café brûle nos lèvres
Mais ne réchauffe pas ce qui s'achève
Nos rires s'étaient envolés, avec le vent
Ne restent que des murmures, déchirants
Dans le café, les souvenirs s'évaporent
La ville observe, indifférente, pendant qu'on s'écorche
Les amants se perdent, dans l'ombre de l'aurore
Leurs mains se délient sous la lumière qui mord
Les trottoirs mouillés reflètent des visages pales
Des âmes errantes cherchant leur idéal