J'ai apprécié chaque seconde de votre vidéo, la moindre analyse, la moindre phrase du géant Dostoïevski remis en cause toute notre connaissance sur la psyché humaine. Merci
Magnifique analyse ! Bravo ! Fiodor et Nietzsche avait sans doute percé les secrets inavouables de la psychologie humaine. Nous croyons chercher le bonheur, le plaisir et le temps libre pour être heureux mais au fond on cherche la souffrance et la dureté de la vie. On se souvient bien plus des moments de désespoir ou de douleur physique que des moments de pure bonheur et de plaisir. Dans la douleur et dans le désespoir au fond on se sent réellement en vie. Et quand 'on accepte que cette vie remplie de souffrance pourrait être vécu des milliers de fois on accède non au bonheur qui est éphémère mais à une sorte de plénitude.
Bonjour, Merci pour ton travail. Je me permet de citer la séquence du billard : "Une fois, la nuit en passant auprès d’une petite auberge, je vis par la fenêtre des joueurs de billard qui se battaient à coups de queue de billard et firent descendre l’un d’eux par la fenêtre. A un autre moment, cela m’eût écœuré ; mais j’étais dans une disposition d’esprit telle, que je portai envie à l’homme qui avait été jeté par la fenêtre, et à un tel point, que j’entrai dans l’auberge et pénétrai dans la salle de billard : « Peut-être, me dis-je, me fera-t-on descendre par la fenêtre. » Je n’étais pas ivre, mais que voulez-vous, à quelle crise de nerfs peut vous amener l’ennui ! Mais tout se réduisit à rien. En réalité, je n’étais pas capable de sauter par la fenêtre et je sortis sans m’être battu. Dès le premier pas, ce fut un officier qui me remit à ma place. Je me tenais près du billard et, involontairement, je lui barrai le passage quand il voulut passer. Il me prit par les épaules et sans rien dire, sans avertissement ni explication, il me fit changer de place, passa et fit semblant de ne pas s’en apercevoir. J’aurais pardonné les coups même, mais je ne pouvais pardonner qu’il m’eût fait changer de place, sans faire attention à moi. Ah ! Diable, que n’aurais-je pas donné pour une véritable dispute, plus régulière, plus convenable, plus littéraire, pour ainsi dire ! Il avait agi avec moi comme avec une mouche. Cet officier était d’une grande taille ; moi j’étais petit et chétif. D’ailleurs, j’étais le maître de la querelle : je n’avais qu’à protester, et certainement, on m’eût fait passer parla fenêtre. Mais je réfléchis et préférai m’effacer avec rage."
4 дня назад+1
L'homme, à l'image de Dieu, conçoit la passion comme de la souffrance.
Faites les vous meme on verra bien si elles sont mieux,bien sur critiquer est tellement plus facile, vous vous prenez pour qui? deja le tutoiement en dit long sur votre mediocrite
Géniale cette chaîne, un grand merci pour le partage de connaissances
Travail très intéressant! Hâte de découvrir les autres épisodes
Superbe émission...
Belle élocution...
Merci pour vos efforts...
Merci à vous pour votre attention 🙏🏻
Merci! C'est passionnant, j'écoute avec plaisir. De plus j'aime le son de votre voix et votre diction.
Eliane
Merci beaucoup pour votre retour ! 🙏🏻
J’aime le fait que tes vidéos soient longue et travaillé
Merci beaucoup 🙏🏻
Je suis en train de terminer la partie 1, super taf, bravo et merci!! Ça me donne envie de découvrir Dostoïevski
Merci beaucoup ! 🙏🏻
Ah, mais ce n' est plus un homme, c'est une machine à ce rythme !
Merci !
Wow, j’espère une vidéo aussi longue pour la prochaine, et sur un philosophe j’adorerais 🙏🏼
Génial !
Merci ! 🙏🏻
J'ai apprécié chaque seconde de votre vidéo, la moindre analyse, la moindre phrase du géant Dostoïevski remis en cause toute notre connaissance sur la psyché humaine. Merci
Merci beaucoup pour votre attention ! 🙏🏻
Magnifique analyse ! Bravo !
Fiodor et Nietzsche avait sans doute percé les secrets inavouables de la psychologie humaine.
Nous croyons chercher le bonheur, le plaisir et le temps libre pour être heureux mais au fond on cherche la souffrance et la dureté de la vie. On se souvient bien plus des moments de désespoir ou de douleur physique que des moments de pure bonheur et de plaisir.
Dans la douleur et dans le désespoir au fond on se sent réellement en vie.
Et quand 'on accepte que cette vie remplie de souffrance pourrait être vécu des milliers de fois on accède non au bonheur qui est éphémère mais à une sorte de plénitude.
Émission géniale. Merci ! ❤
Merci à vous ! 🙏🏻
Magnifique🙏🏽
Magnifique très profond
Un grand merci !
Très bonne vidéo, j’adore comment tu parles ! Continue 😁
Merci beaucoup 😁
magnifique vidéo. Merci!
Un plaisir à écouter ! Il me manquait celui-là dans ma collection de Dostoïvski !
Merci beaucoup ! 🙏🏻
Merci pour ton travail, c'est génial
Merci à toi de m’avoir écouté 🙏🏻
Merci pour votre vidéo.
Merci pour votre attention 🙏🏻
Énorme
Le précepteur (Charles Robin)en parle de façon bouleversante sur sa chaîne YT
Bonjour,
Merci pour ton travail. Je me permet de citer la séquence du billard :
"Une fois, la nuit en passant auprès d’une petite auberge, je vis par la fenêtre des joueurs de billard qui se battaient à coups de queue de billard et firent descendre l’un d’eux par la fenêtre. A un autre moment, cela m’eût écœuré ; mais j’étais dans une disposition d’esprit telle, que je portai envie à l’homme qui avait été jeté par la fenêtre, et à un tel point, que j’entrai dans l’auberge et pénétrai dans la salle de billard : « Peut-être, me dis-je, me fera-t-on descendre par la fenêtre. »
Je n’étais pas ivre, mais que voulez-vous, à quelle crise de nerfs peut vous amener l’ennui ! Mais tout se réduisit à rien. En réalité, je n’étais pas capable de sauter par la fenêtre et je sortis sans m’être battu. Dès le premier pas, ce fut un officier qui me remit à ma place.
Je me tenais près du billard et, involontairement, je lui barrai le passage quand il voulut passer. Il me prit par les épaules et sans rien dire, sans avertissement ni explication, il me fit changer de place, passa et fit semblant de ne pas s’en apercevoir. J’aurais pardonné les coups même, mais je ne pouvais pardonner qu’il m’eût fait changer de place, sans faire attention à moi.
Ah ! Diable, que n’aurais-je pas donné pour une véritable dispute, plus régulière, plus convenable, plus littéraire, pour ainsi dire ! Il avait agi avec moi comme avec une mouche. Cet officier était d’une grande taille ; moi j’étais petit et chétif. D’ailleurs, j’étais le maître de la querelle : je n’avais qu’à protester, et certainement, on m’eût fait passer parla fenêtre. Mais je réfléchis et préférai m’effacer avec rage."
L'homme, à l'image de Dieu, conçoit la passion comme de la souffrance.
Premier !
tes vidéos sont trop longues, ca devrait être 25 minutes max
N’importe quoi 😂😂😂
Faites les vous meme on verra bien si elles sont mieux,bien sur critiquer est tellement plus facile, vous vous prenez pour qui? deja le tutoiement en dit long sur votre mediocrite
Commentaires inutiles va regarder ton squeezie et laisse les gens tranquille, si tu trouve trop long tu ne regardes un point c’est tout.
@hassanemouss9140 c'est si difficile de rester respectueux dans vos commentaires? Vous vous decredibilisez,il est temps d'evoluer, merci
Mets-les en accélérées X1,5