Ah oui ! Capter la beauté du monde .. de la nature, la beauté d’un regard, la profondeur d’une humanité… là est la capacité de résistance.. merci madame et Soyez en paix.
je remercie l'amie qui m'a permis d'écouter cette femme. Je la trouve passionnante et je suis heureuse que cette intelligence soit mise au service de la compréhension de ce monde qui cherche à supprimer nos âmes...
beaucoup de beauté dans cette vidéo d'a le brun sur france-culture. la beauté physique de cette femme, sublimée par sa voix, par les couleurs qui l'habillent, cohérentes avec le studio, le micro, le logo de france-culture,...un charme sensible, un discours aussi puissant qu'une lettre à g debord.
Annie Le Brun...Belle personne...Belle intelligence...Belle sensibilité...Face à ces deux journalistes qui présentent Jef Koons comme un "GRAND artiste" !!!!!!!!!! ???????? TOUT EST DIT..........!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Ne perdons pas de vue que France-Culture joue aussi au chat et à la souris, plus précisément s'"adapte" selon le profil de ses invités…On a le plus souvent à faire sur ses fréquences à une vraie sympathie pour les tenant de l'art contemporain (l'AC pour les intimes), à moins que cela ne soit qu'une sympathie bien naturelle pour qui reçoit…et autre posture bien calibrée, professionnalisme oblige ? Merci à Madame Annie Le Brun et à F-C pour ces propos si profonds et si distanciés… Mais, où est l'Etat dans cette affaire ? Et la station radio a-t-elle le choix ?
La façon qu'a l'animatrice d'intervenir dans ce débat démontre à quel point la chose est acquise, (à 7'22) elle pose la question suivante : Quels sont pour vous les mécanismes de légitimation de cette mainmise capitaliste SUR le marché de l'art ? Alors que dans le contexte de cet entretien, la question appropriée aurait été : Quels sont pour vous les mécanismes de légitimation de cette mainmise capitaliste PAR le marché de l'art ? L'art contemporain, n'est pas plus ni moins contemporain à notre époque que la Renaissance ne l'était à la sienne, le vocable "art contemporain", actuellement, est une façon soft de nommer l'art de marché et par là même toutes les œuvres et artistes correspondants qui répondent exclusivement aux besoins de ce marché (spéculation, blanchiment de capitaux, défiscalisation ... en plus de la capture esthétique). Le marché n'est donc par une victime de la main invisible du capitalisme, il est le capitalisme même qui opère une mainmise sur les artistes, les œuvres et l'imaginaire dans son ensemble.
@@sabinejauffret2508 le capitalisme financiarisé reproduit dans l'art un modèle à la gloire de ses valeurs. et en effet, comme le dit Annie Lebrun, le but de ce système est de marchandiser "ce qui n'a pas de prix", c'est-à-dire l'espace disponible, l'intériorité et l'intime, de même que dans une autre sphère, l'éducation et la philosophie de la transmission, ou la santé et la philosophie du soin. Le but est de réduire l'action de l'homme à sa plus petite acception, une action ou toute pensée est évacuée ou monayable ce qui revient au même, ou l'action est en quelque sorte mécanisée à l'extrême, pour rendre les citoyens interchangeables ou dociles et pour a terme les remplacer par des machines qui ne demandent pas de salaires. La masse des gens s'en trouve paupérisée et victime de tous les bouleversements climatiques et sociaux dont l'oligarchie passée au tamis du CAC 40, faisant sécession, se préserverait sur des iles sécurisées, bunkerisées, à l'abri des remous, ignorant totalement leur carnage, et la misère du plus grand nombre d'entre nous. Annie Lebrun a raison, la beauté sauve. Quand les danseuses de l'Opéra résistent en dansant c'est beau, par l'effraction de la grâce dans l'espace public et en ce qu'elles se relient au populaire et au commun a ce moment là et c'est cela la beauté , cette synchronisation-là. Cela a, je crois donné beaucoup de courage aux gens, ce qui est évidemment un danger pour l'oligarchie qui ne tient plus que par sa police.
Tout ça, tout le monde en a la sensation profonde. On le sait mais personne n'ose le dire. La "bienpensance " ne l'admet pas et on vous humilie avec cynisme. Gigantisme, sidération sont les maîtres mots qui ne recouvrent que le néant. Et là, le Néant crée l'argent. Un peu comme en bourse, on crée de l'argent à partir de zéro. Tous ces gens se moquent bien de nous...Mais je continuerai mon propre chemin sans leur accorder le moindre intérêt. Nous devons rester concentrés sur notre oeuvre. Peut-être devrions nous former nos propres réseaux, nos écoles, nos ateliers. En aucun cas je ne serai dominée par l'argent!!!
Magnifique intervention , ce que l on peut dire , c est que le beau , la notion du beau ne saurait se definir par le seul critère des canons esthétiques et techniques ...mais passe bien par une inspiration à .... proposer l unique et l intemporel qui surprend .... l art c est cette part de soi offerte au regard du monde ...commentaire ecrit comme d habitude avant écoute .
Jeff kunes grand artiste et l'autre qui répète ce que ressentent LES vrais artistes, on aura tout entendu ! grands malins d'affaires ....et ce qui contredit ce qu'Annie Le Brun essayait d'exprimer! mais comme d'hab, la grande table" se neutralise" _ chaîne officielle oblige ? _ en appelant ces imposteurs "grands artistes".
Le transhumanisme est un nouvel horizon correspondant à la base du monde moderne : la technoscience. En effet, étant conscient qu'une catastrophe cosmique décimera les humains comme une météorite a décimé les dinosaures, il est impératif pour notre survie que nous continuions à progresser technoscientifiquement, nous améliorer et conquérir le cosmos avant que la Terre ne devienne plus viable. Sans compter que ce chemin est beaucoup plus intéressant que de tourner en rond en attendant notre anéantissement.
C'est vrai que nous sommes en grand danger de décervelage et j'ai peine à imaginer la meilleure méthode pour résister à ce monde qui nous est imposé par le capitalisme.
Vous me faites rire avec votre cacapitalisme. Il n'y a de bonne monnaie que.... penser. La dépense est terrible bref un autre mur des lamentations suréalistes gôchiasses depuis 150 ans. Elle a vieilli Annie, la bouche tordue d'être cocue.
Vous ne comprenez pas le discours métapolitique d'Annie (comme vous l'appelez, sans doute parce que vous prenez le café avec elle). Quant à votre style post célinien ranci - et à contresens - nous vous en laissons la responsabilité.
Ah oui ! Capter la beauté du monde .. de la nature, la beauté d’un regard, la profondeur d’une humanité… là est la capacité de résistance.. merci madame et Soyez en paix.
je remercie l'amie qui m'a permis d'écouter cette femme. Je la trouve passionnante et je suis heureuse que cette intelligence soit mise au service de la compréhension de ce monde qui cherche à supprimer nos âmes...
Sujet et échange très intéressants.
beaucoup de beauté dans cette vidéo d'a le brun sur france-culture. la beauté physique de cette femme, sublimée par sa voix, par les couleurs qui l'habillent, cohérentes avec le studio, le micro, le logo de france-culture,...un charme sensible, un discours aussi puissant qu'une lettre à g debord.
Annie Le Brun...Belle personne...Belle intelligence...Belle sensibilité...Face à ces deux journalistes qui présentent Jef Koons comme un "GRAND artiste" !!!!!!!!!! ???????? TOUT EST DIT..........!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
J"écouterai cette femme des heures et des heures
Un proverbe Dourou (Afrique de l'Ouest) qui devrait plaire à Annie Le Brun :
"L'homme ne souhaite pas vivre sans la beauté des choses."
La manipulation atteint tout les domaines.
C'est fou qu'elle soit entièrement assortie au décor de l' émission !Même son rouge à lèvres 💄...C est une femme vraiment impressionnante!
C ' est tout ce que vous inspire cette vidéo ? Achetez vous un cerveau !
Ne perdons pas de vue que France-Culture joue aussi au chat et à la souris, plus précisément s'"adapte" selon le profil de ses invités…On a le plus souvent à faire sur ses fréquences à une vraie sympathie pour les tenant de l'art contemporain (l'AC pour les intimes), à moins que cela ne soit qu'une sympathie bien naturelle pour qui reçoit…et autre posture bien calibrée, professionnalisme oblige ? Merci à Madame Annie Le Brun et à F-C pour ces propos si profonds et si distanciés… Mais, où est l'Etat dans cette affaire ? Et la station radio a-t-elle le choix ?
La façon qu'a l'animatrice d'intervenir dans ce débat démontre à quel point la chose est acquise, (à 7'22) elle pose la question suivante : Quels sont pour vous les mécanismes de légitimation de cette mainmise capitaliste SUR le marché de l'art ? Alors que dans le contexte de cet entretien, la question appropriée aurait été : Quels sont pour vous les mécanismes de légitimation de cette mainmise capitaliste PAR le marché de l'art ? L'art contemporain, n'est pas plus ni moins contemporain à notre époque que la Renaissance ne l'était à la sienne, le vocable "art contemporain", actuellement, est une façon soft de nommer l'art de marché et par là même toutes les œuvres et artistes correspondants qui répondent exclusivement aux besoins de ce marché (spéculation, blanchiment de capitaux, défiscalisation ... en plus de la capture esthétique). Le marché n'est donc par une victime de la main invisible du capitalisme, il est le capitalisme même qui opère une mainmise sur les artistes, les œuvres et l'imaginaire dans son ensemble.
@@sabinejauffret2508 le capitalisme financiarisé reproduit dans l'art un modèle à la gloire de ses valeurs. et en effet, comme le dit Annie Lebrun, le but de ce système est de marchandiser "ce qui n'a pas de prix", c'est-à-dire l'espace disponible, l'intériorité et l'intime, de même que dans une autre sphère, l'éducation et la philosophie de la transmission, ou la santé et la philosophie du soin. Le but est de réduire l'action de l'homme à sa plus petite acception, une action ou toute pensée est évacuée ou monayable ce qui revient au même, ou l'action est en quelque sorte mécanisée à l'extrême, pour rendre les citoyens interchangeables ou dociles et pour a terme les remplacer par des machines qui ne demandent pas de salaires.
La masse des gens s'en trouve paupérisée et victime de tous les bouleversements climatiques et sociaux dont l'oligarchie passée au tamis du CAC 40, faisant sécession, se préserverait sur des iles sécurisées, bunkerisées, à l'abri des remous, ignorant totalement leur carnage, et la misère du plus grand nombre d'entre nous.
Annie Lebrun a raison, la beauté sauve. Quand les danseuses de l'Opéra résistent en dansant c'est beau, par l'effraction de la grâce dans l'espace public et en ce qu'elles se relient au populaire et au commun a ce moment là et c'est cela la beauté , cette synchronisation-là. Cela a, je crois donné beaucoup de courage aux gens, ce qui est évidemment un danger pour l'oligarchie qui ne tient plus que par sa police.
Tout ça, tout le monde en a la sensation profonde. On le sait mais personne n'ose le dire. La "bienpensance
"
ne l'admet pas et on vous humilie avec cynisme. Gigantisme, sidération sont les maîtres mots qui ne recouvrent
que le néant. Et là, le Néant crée l'argent. Un peu comme en bourse, on crée de l'argent à partir de zéro.
Tous ces gens se moquent bien de nous...Mais je continuerai mon propre chemin sans leur accorder le
moindre intérêt. Nous devons rester concentrés sur notre oeuvre. Peut-être devrions nous former nos propres
réseaux, nos écoles, nos ateliers. En aucun cas je ne serai dominée par l'argent!!!
Ma résistance sera simplement mon inertie par rapport à ça!!!Je veux rêver et communiquer mes émotions
pour ne pas mourir...
Magnifique intervention , ce que l on peut dire , c est que le beau , la notion du beau ne saurait se definir par le seul critère des canons esthétiques et techniques ...mais passe bien par une inspiration à .... proposer l unique et l intemporel qui surprend .... l art c est cette part de soi offerte au regard du monde ...commentaire ecrit comme d habitude avant écoute .
hell yes - she is speaking my heart
Géniale Annie !
12:49 « Anish Kippour »!!!!😂
une grande dame dis donc et quel beau make up
merci beaucoup
Dans le monde de la marchandise autoritaire, tous les éloges naïfs
du désir sont immédiatement des éloges de la servitude.
La démocratisation de l art est un mot des financiers.
interesante y lucido analisis
L art c est ce qui résiste .
Se réapproprier notre attention.
Jeff kunes grand artiste et l'autre qui répète ce que ressentent LES vrais artistes, on aura tout entendu ! grands malins d'affaires ....et ce qui contredit ce qu'Annie Le Brun essayait d'exprimer! mais comme d'hab, la grande table" se neutralise" _ chaîne officielle oblige ? _ en appelant ces imposteurs "grands artistes".
Et l’autre…
❤️❤️❤️
Même la poésie n est pas épargnée par la marchandisation . Insensibilisation tous azimuts !
Se réapproprier notre propre attention .
Il y a cette entreprise de désensibilisation qui fait de l art un art sidérant.
La résistance contre le capitalisme totalitaire dictant la sensibilité doit dépasser l indivifualisme
L art une marchandise comme les autres ..." les artistes ont tout à perdre en travaillant pour le capital " .
Le summum du pire , les oeuvres d' art dans les centres commerciaux au nom de : t embellis mon espace
Alors se tourner vers cequi est beau c est une fuite?…😮
L art fluctuant ...
Où est elle passée giesbert ??? Au lieu des minables qui ont pris sa place sur france culture ???
Ce qui n'a pas de prix c'est le religieux, point barre. Tout le reste est littérature...
😴
Le transhumanisme est un nouvel horizon correspondant à la base du monde moderne : la technoscience. En effet, étant conscient qu'une catastrophe cosmique décimera les humains comme une météorite a décimé les dinosaures, il est impératif pour notre survie que nous continuions à progresser technoscientifiquement, nous améliorer et conquérir le cosmos avant que la Terre ne devienne plus viable. Sans compter que ce chemin est beaucoup plus intéressant que de tourner en rond en attendant notre anéantissement.
Transhumanisme : poursuite d'une fuite "en avant"... jusqu'au néant, bien entendu. Des petits humanoîdes qui pètent plus haut que leur derrière.
C'est vrai que nous sommes en grand danger de décervelage et j'ai peine à imaginer la meilleure méthode pour résister à ce monde qui nous est imposé par le capitalisme.
Vous me faites rire avec votre cacapitalisme. Il n'y a de bonne monnaie que.... penser. La dépense est terrible bref un autre mur des lamentations suréalistes gôchiasses depuis 150 ans. Elle a vieilli Annie, la bouche tordue d'être cocue.
c'est l'esprit de consommateur sur lequel le capitalisme financiariste mondialsé est appuyé et se nourrit qui pose problème en même temps.
Vous ne comprenez pas le discours métapolitique d'Annie (comme vous l'appelez, sans doute parce que vous prenez le café avec elle). Quant à votre style post célinien ranci - et à contresens - nous vous en laissons la responsabilité.