Hey, Zenoque. I was wonder if you did all of these your self? And if you did I wanted to say... WOW! it's so beautiful! And if you didn't I would like to say thanks for uploading them onto your channel! The Nightcore versions of all the songs you've done are wonderful! Hope you have a nice day everyone day! 😁
Où est-ce que l'on peu retrouver ça ? Peut-être lorsqu'on vient de s'acheter une voiture avec ses premiers salaires, lorsqu'on sait lire et écrire sans difficulté, quelque chose que l'on entretient au quotidien, une facilité dans la vie de tout les jours. Cela arrive que tout le travail que tu as produit, crée un confort incroyable, une espèce de sérénité dans l'effort ensuite. Ce n'est pas une désinvolture mais une facilité à lire vite et à écrire vite, une capacité à amortir l'entretien de ta voiture, une facilité pour changer les pneus, sans trop en faire. C'est dans le coeur, des possibilités infinies qui apparaissent pendant l'échauffement, sans aucunes difficultés, des bruits d'une grande complexité. Je contrôle tout ces bruits, ces bruits si nombreux, si rapides, au début, un rappel de tout ce que tu sais faire dans le coeur, le sang est un liquide, comme faire un truc spectaculaire avec une batterie, comme un enchainement rapide avec une guitare électrique avec les aigus, ou faire glisser le doigt sur un piano en allant d'une note grave à une note aiguë, un jonglage contrôlé qui facilite ensuite. Pour bien faire un gâteau, il faut savoir faire la pâte, il y aurait beaucoup d'astuces pour bien réussir la patte, ne pas regarder celles qu'ils vendent le commerce, ne pas regarder celles qui sont déjà toute prêtes. C'est plus simple d'écrire une lettre avec un bon stylo plume, sans avoir de ligne sur la feuille, sans aucune aide sur la feuille, une feuille avec une écriture soignée uniquement, comme faire un van gogh en 15 minutes seulement. Il faut une belle lettrine au début, une lettre majuscule plus belle que les autres au début, c'est possible d'avoir quelque chose de très joli. Une grammaire soignée, une audace mesurée dans la conjugaison, un subjonctif qui n'arrive qu'une fois, des points qui arrivent aux bons moments, pour ne pas fatiguer celui qui te lit, des virgules pour reprendre son souffle, de légères pauses dans la lecture, si le lecteur est d'accord, une légère respiration entre les points. Il y a un plaisir à faire de très belles lettres, avec un beau stylo plume, montrer au milieu de la lettre que c'est un plaisir, aimer le lecteur, remplir un peu le blanc triste de la feuille avec quelques détails, quelques futilités, ne pas oublier de dire au revoir au lecteur à la fin. Il peut y avoir du soin à faire des choses compliquées, des choses plus jolies que d'autres. Comme si pour faire une belle lettre, il fallait une touche de vert, une touche de bleu, une touche de rouge. Du blanc, il y en a déjà, le blanc, c'est du silence, le blanc, c'est en attendant, c'est pour faire ressortir le reste, cela doit être propre quand même, un contraste qui doit naitre avec l'écriture, avec le choix du stylo plume, le rouge, ce serait bien la conjugaison, la grammaire, ce serait bien du vert, le choix de mots, c'est du jaune, c'est possible d'avoir une facilité pour écrire une lettre. Les lycéens s'en rendent compte à un moment donné, mais à quoi cela peut servir, peut on gagner de l'argent parce qu'on sait bien écrire, dans le monde professionnel plus tard. Il faut savoir quoi mettre dans une belle lettre manuscrite, ne pas fatiguer, faire ressortir l'adresse pour écrire, faire plaisir au lecteur, lui faire croire que c'est lui qui est beau comme ça, forcément à la fin, quand c'est fini, c'est la lettre qui est jolie. C'est un plaisir lorsqu'il y a une adresse, la force peut aider parfois, pour gagner du temps ou pour faire durer l'adresse, c'est une adresse qui devient simple. Comme savoir à quoi servent tous les outils qu'il y a dans la boite à outil, les disposer devant pour les garder en tête, tous les utiliser à un moment donné, sans fatigue, faire quelque chose de soigné simplement parce que tu as le bon tournevis, le bon marteau, quelque chose qui laisse sans voix celui qui te regarde. Il faudrait lui serrer la main pour ne pas voir cette fainéantise en face, ce manque d'audace en face, passer une heure ensuite à réfléchir à cause de cette bouche grande ouverte. Ecrire, c'est plus simple, moins perturbant, faire la cuisine aussi, lorsque tout le monde te regarde faire, tu passes en dernier, peu importe comment tu arrives à faire tant de choses, comment tu te motives, comment tu regardes les autres, une envie de faire plaisir qui peut disparaitre lorsque tout le monde regarde. Cela peut être beaucoup de plaisir de voir quelqu'un qui sait bien se servir d'un outil, s'écarter pour ne pas gêner, ne jamais en parler, un environnement de gens qui sont plus faciles, moins compliqués, mais c'est d'abord pour faire plaisir aux autres.
Si je veux prendre un stylo, je peux me servir de mes mains, forcément que l'on se sert de ses mains, si je contrôle mon cœur, il peut y avoir une remise en question, c'est plus joli que de faire des bruits de bouche ou c'est plus joli que de taper dans ses mains. Il y a des aigus que tu cherches partout, lorsque tu entends un piano, tu peux rester à coté, poliment, attendre que la personne ait fini, lui demander de faire des aigus, ce n'est pas le piano. Il y a des aigus très beaux dans les instruments à corde, il faut comme chercher à faire durer, pour bien entendre, une difficulté à avoir de beaux aigus, c'est plus facile avec un violon mais il y a comme une trace dans les graves. Les aigus dans les instruments sont très beaux, mais il manque comme une affirmation de l'instrument, comme un truc sûr, il y a des aigus dans le coeur qui sont difficiles, ils ne semblent pas exister ailleurs. Tu les entends chez les oiseaux, comme un pipeau, à la gare avec les trains, les aigus existent, de vrais aigus existent chez des filles, c'est comme charnel, cela ne se trouve pas dans les instruments de musique, comme une faute grave de faire de si beaux aigus. Cela serait pareil avec certains graves, des graves très sonores que l'on ne devrait jamais entendre, il y aurait toujours un mélange, une trace d'aigus dans la note, une trace de grave, comme pour ne pas perdre pied. Un moyen de rester accroché lorsque tu fais des sons, pour ne pas faire des bruits de rail, des cris de fille, il ne s'agit pas de faire une claque à sa fille parce qu'elle a crié. Un moyen de mettre les gens dans un lieu sûr avec tout ces sons, pour les aider, faire une musique qu'ils apprécient, les rendre tolérants aux sons de tous les jours. Si je prends un stylo avec mes mains, il y a un moment, tout au début, où la main cherche un peu, comme décoller le stylo de la table, comme sortir un objet de l'eau, le stylo peut glisser, le prendre à deux mains. Il faut bien le mettre entre les doigts pour arriver à s'en servir, il faut une certaine souplesse pour ne pas casser la mine, puis arriver à bien écrire, comme déformer la mine ou la plume avec beaucoup de gentillesse. Faire des bruits de flotte dans le coeur, des mélanges d'aigus, des suites d'aigus, il n'y a pas de correspondance avec un instrument, c'est comme une jeune fille espiègle qui décide de beaucoup plaire, de partager ses stylos. C'est difficile au niveau de la musculature du coeur, faire de petits aigus que tu ne trouvent que dans des bruits de liquide, un enchainement de plein d'aigus, une crispation de la main pour écrire en patte de mouche. Cela libère beaucoup le coeur de faire autant de notes à la suite, des aigus très jolis qui n'existent pas ailleurs. C'est pas si joli, rien ne peut remplacer certains cris de filles, des sons incroyables qui sont faits pour appeler à l'aide, pour casser la vaisselle, pour faire saigner les tympans des autres. Il y a un souhait de retrouver ça dans le coeur, parce qu'en réduisant le volume, en réduisant le temps que fait une note, il est possible d'avoir quelque chose de très varié. C'est quelque chose qui demande beaucoup d'adresse, une satisfaction d'y arriver, sans l'énergie que mettrait une fille, une tolérance face aux sons qui viennent du coeur. Un plaisir qui nait dans le coeur après avoir eu beaucoup mal à avoir de l'adresse dans les bruits de flotte, des bruits que font le sang avant de devenir plus épais, un foie qui va beaucoup aider pendant l'effort, un foie qui va ensuite enrichir le sang, permettre de faire d'autres sons, sans fatigue, une facilité comme tenir un stylo dans la main.
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![[Nightcore] ~ To The Sky ~ Owl City](http://i.ytimg.com/vi/M59Wsn6qqYo/mqdefault.jpg)
GREAT WORK!! I cried listening to this and u inspired me to design cool looks for cars thank you 🐺
Wolf
Wolf
Absolute fantastic Song !!!! Love it so much!!!!
😍😍😍😍👍👍👍👍👍😍😍😍😍👍👍👍👍👍Another spectacular track, with fantastic sound,
good kicks and perfect bass🔥💥🔥
Suka bgt
The first second sounded like a computer boot-up noise. Like the windows one, but way more pleasant.
Good job by the way! :D
Hey, Zenoque. I was wonder if you did all of these your self? And if you did I wanted to say... WOW! it's so beautiful! And if you didn't I would like to say thanks for uploading them onto your channel! The Nightcore versions of all the songs you've done are wonderful! Hope you have a nice day everyone day! 😁
Hope everyone has a nice day everyday*
You too!
You too as well! I hope someone else comes by a year later to say something else as well. 😂
@@crossxeno836 now we wait until next year for someone else to comment
@@peep7839 How about 2 days :)
Où est-ce que l'on peu retrouver ça ? Peut-être lorsqu'on vient de s'acheter une voiture avec ses premiers salaires, lorsqu'on sait lire et écrire sans difficulté, quelque chose que l'on entretient au quotidien, une facilité dans la vie de tout les jours. Cela arrive que tout le travail que tu as produit, crée un confort incroyable, une espèce de sérénité dans l'effort ensuite. Ce n'est pas une désinvolture mais une facilité à lire vite et à écrire vite, une capacité à amortir l'entretien de ta voiture, une facilité pour changer les pneus, sans trop en faire. C'est dans le coeur, des possibilités infinies qui apparaissent pendant l'échauffement, sans aucunes difficultés, des bruits d'une grande complexité. Je contrôle tout ces bruits, ces bruits si nombreux, si rapides, au début, un rappel de tout ce que tu sais faire dans le coeur, le sang est un liquide, comme faire un truc spectaculaire avec une batterie, comme un enchainement rapide avec une guitare électrique avec les aigus, ou faire glisser le doigt sur un piano en allant d'une note grave à une note aiguë, un jonglage contrôlé qui facilite ensuite. Pour bien faire un gâteau, il faut savoir faire la pâte, il y aurait beaucoup d'astuces pour bien réussir la patte, ne pas regarder celles qu'ils vendent le commerce, ne pas regarder celles qui sont déjà toute prêtes. C'est plus simple d'écrire une lettre avec un bon stylo plume, sans avoir de ligne sur la feuille, sans aucune aide sur la feuille, une feuille avec une écriture soignée uniquement, comme faire un van gogh en 15 minutes seulement. Il faut une belle lettrine au début, une lettre majuscule plus belle que les autres au début, c'est possible d'avoir quelque chose de très joli. Une grammaire soignée, une audace mesurée dans la conjugaison, un subjonctif qui n'arrive qu'une fois, des points qui arrivent aux bons moments, pour ne pas fatiguer celui qui te lit, des virgules pour reprendre son souffle, de légères pauses dans la lecture, si le lecteur est d'accord, une légère respiration entre les points. Il y a un plaisir à faire de très belles lettres, avec un beau stylo plume, montrer au milieu de la lettre que c'est un plaisir, aimer le lecteur, remplir un peu le blanc triste de la feuille avec quelques détails, quelques futilités, ne pas oublier de dire au revoir au lecteur à la fin. Il peut y avoir du soin à faire des choses compliquées, des choses plus jolies que d'autres. Comme si pour faire une belle lettre, il fallait une touche de vert, une touche de bleu, une touche de rouge. Du blanc, il y en a déjà, le blanc, c'est du silence, le blanc, c'est en attendant, c'est pour faire ressortir le reste, cela doit être propre quand même, un contraste qui doit naitre avec l'écriture, avec le choix du stylo plume, le rouge, ce serait bien la conjugaison, la grammaire, ce serait bien du vert, le choix de mots, c'est du jaune, c'est possible d'avoir une facilité pour écrire une lettre. Les lycéens s'en rendent compte à un moment donné, mais à quoi cela peut servir, peut on gagner de l'argent parce qu'on sait bien écrire, dans le monde professionnel plus tard. Il faut savoir quoi mettre dans une belle lettre manuscrite, ne pas fatiguer, faire ressortir l'adresse pour écrire, faire plaisir au lecteur, lui faire croire que c'est lui qui est beau comme ça, forcément à la fin, quand c'est fini, c'est la lettre qui est jolie. C'est un plaisir lorsqu'il y a une adresse, la force peut aider parfois, pour gagner du temps ou pour faire durer l'adresse, c'est une adresse qui devient simple. Comme savoir à quoi servent tous les outils qu'il y a dans la boite à outil, les disposer devant pour les garder en tête, tous les utiliser à un moment donné, sans fatigue, faire quelque chose de soigné simplement parce que tu as le bon tournevis, le bon marteau, quelque chose qui laisse sans voix celui qui te regarde. Il faudrait lui serrer la main pour ne pas voir cette fainéantise en face, ce manque d'audace en face, passer une heure ensuite à réfléchir à cause de cette bouche grande ouverte. Ecrire, c'est plus simple, moins perturbant, faire la cuisine aussi, lorsque tout le monde te regarde faire, tu passes en dernier, peu importe comment tu arrives à faire tant de choses, comment tu te motives, comment tu regardes les autres, une envie de faire plaisir qui peut disparaitre lorsque tout le monde regarde. Cela peut être beaucoup de plaisir de voir quelqu'un qui sait bien se servir d'un outil, s'écarter pour ne pas gêner, ne jamais en parler, un environnement de gens qui sont plus faciles, moins compliqués, mais c'est d'abord pour faire plaisir aux autres.
Si je veux prendre un stylo, je peux me servir de mes mains, forcément que l'on se sert de ses mains, si je contrôle mon cœur, il peut y avoir une remise en question, c'est plus joli que de faire des bruits de bouche ou c'est plus joli que de taper dans ses mains. Il y a des aigus que tu cherches partout, lorsque tu entends un piano, tu peux rester à coté, poliment, attendre que la personne ait fini, lui demander de faire des aigus, ce n'est pas le piano. Il y a des aigus très beaux dans les instruments à corde, il faut comme chercher à faire durer, pour bien entendre, une difficulté à avoir de beaux aigus, c'est plus facile avec un violon mais il y a comme une trace dans les graves. Les aigus dans les instruments sont très beaux, mais il manque comme une affirmation de l'instrument, comme un truc sûr, il y a des aigus dans le coeur qui sont difficiles, ils ne semblent pas exister ailleurs. Tu les entends chez les oiseaux, comme un pipeau, à la gare avec les trains, les aigus existent, de vrais aigus existent chez des filles, c'est comme charnel, cela ne se trouve pas dans les instruments de musique, comme une faute grave de faire de si beaux aigus. Cela serait pareil avec certains graves, des graves très sonores que l'on ne devrait jamais entendre, il y aurait toujours un mélange, une trace d'aigus dans la note, une trace de grave, comme pour ne pas perdre pied. Un moyen de rester accroché lorsque tu fais des sons, pour ne pas faire des bruits de rail, des cris de fille, il ne s'agit pas de faire une claque à sa fille parce qu'elle a crié. Un moyen de mettre les gens dans un lieu sûr avec tout ces sons, pour les aider, faire une musique qu'ils apprécient, les rendre tolérants aux sons de tous les jours. Si je prends un stylo avec mes mains, il y a un moment, tout au début, où la main cherche un peu, comme décoller le stylo de la table, comme sortir un objet de l'eau, le stylo peut glisser, le prendre à deux mains. Il faut bien le mettre entre les doigts pour arriver à s'en servir, il faut une certaine souplesse pour ne pas casser la mine, puis arriver à bien écrire, comme déformer la mine ou la plume avec beaucoup de gentillesse. Faire des bruits de flotte dans le coeur, des mélanges d'aigus, des suites d'aigus, il n'y a pas de correspondance avec un instrument, c'est comme une jeune fille espiègle qui décide de beaucoup plaire, de partager ses stylos. C'est difficile au niveau de la musculature du coeur, faire de petits aigus que tu ne trouvent que dans des bruits de liquide, un enchainement de plein d'aigus, une crispation de la main pour écrire en patte de mouche. Cela libère beaucoup le coeur de faire autant de notes à la suite, des aigus très jolis qui n'existent pas ailleurs. C'est pas si joli, rien ne peut remplacer certains cris de filles, des sons incroyables qui sont faits pour appeler à l'aide, pour casser la vaisselle, pour faire saigner les tympans des autres. Il y a un souhait de retrouver ça dans le coeur, parce qu'en réduisant le volume, en réduisant le temps que fait une note, il est possible d'avoir quelque chose de très varié. C'est quelque chose qui demande beaucoup d'adresse, une satisfaction d'y arriver, sans l'énergie que mettrait une fille, une tolérance face aux sons qui viennent du coeur. Un plaisir qui nait dans le coeur après avoir eu beaucoup mal à avoir de l'adresse dans les bruits de flotte, des bruits que font le sang avant de devenir plus épais, un foie qui va beaucoup aider pendant l'effort, un foie qui va ensuite enrichir le sang, permettre de faire d'autres sons, sans fatigue, une facilité comme tenir un stylo dans la main.
Pp
That's a wrong pitch.❌❌❌❌❌❌🚫🚫🚫🚫🚫🚫