La MAISON DE DEMAIN est en PAILLE (La France du futur - épisode 1)
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- Опубликовано: 4 окт 2024
- La maison de demain sera-t-elle connectée, remplie d'objets technologiques et d'écrans dernier cri ? En réalité, une question plus urgente se pose : la maison de demain sera-t-elle vivable ? Face au défi climatique, les normes actuelles de construction ne sont pas à la hauteur. Pourtant, c'est possible. Dans ce premier épisode de notre série "La France du futur", direction Marseille, où un collectif d'architectes travaille avec des méthodes écologiques, pour un avenir vivable et respectueux des humains comme de la planète.
Une série développée par Marcus Dupont-Besnard
Avec la voix d'Adeline Chetail
Journaliste : Marius Rivière
Réalisatrice : Naulipe Upgrade
Motion design : Nino Barbey
Producteur exécutif : Marcus Dupont-Besnard
Producteur délégué : Julien Cadot
Figurante : Margot Pavillon
Rédaction en chef Numerama : Marie Turcan, Nelly Lesage
Miniature : Nino Barbey
Merci à
Arnaud Gelineau, Stéphanie Pavillon, Clémence Meyer
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#documentaire #écologie #futur
![BabyChiefDoit - Too Slow (feat. STAR BANDZ) [Official Music Video]](http://i.ytimg.com/vi/zayaxws7RPg/mqdefault.jpg)
Les entreprises de rénovation peinent déjà à satisfaire la demande avec des techniques classiques. Comment peut-on envisager sérieusement une rénovation en "paille" sans qu'elle reste anecdotique, étant donné la lenteur pour isoler ne serait-ce qu'un seul mur ? Selon les chiffres officiels, 630 000 logements ont été rénovés en France en 2023 (66 000 rénovations "globales" d'après France 2), bien en dessous de l'objectif annuel de 700 000.
en supprimant les bullshits job et métiers tertiaire qui créent des besoins inutiles, et en encourageant les métiers manuels, (pas comme actuellement, où ils ne sont pas socialement, ni financièrement valorisé) notamment ceux de la construction écologique ? malheureusement les politiques ont eux une inertie bien supérieures que celles de nos maisons modernes...
Dommage, on aurait aimé une simulation de coût... parce que "pas cher" ça veut dire quoi...? 🤷🏻♂️
Surcoût d'environ 10% par rapport à une isolation traditionnelle
"Pourquoi payer plus cher pour un matériau qui ne coûte quasiment rien ? Cela s'explique principalement par le fait que le faible coût de la matière première est compensé par des frais de main d'œuvre supplémentaires.
Premièrement, les murs sont plus épais qu'avec une isolation traditionnelle, il faut donc une ossature renforcée pour accueillir la paille. Résultat : plus de matériaux, plus de main d'œuvre et un prix forcément plus élevé.
Deuxièmement, le processus nécessite plus de main d'œuvre que les matériaux traditionnels (contrôle de l'humidité, insertion des bottes de paille dans l'ossature)"
@@Antoineee et au niveau de la toiture? C'est quoi qu'ils mettent? La paille c'est trop lourd non?
Les surprises vont aller bon train....
Il serait important d'étayer, documenter, comparer, etc. On trouve ici des commentaires tout à fait juste qui ont plus de poids que la vidéo sur certains points. Merci en tous cas de porter ces sujets.
L’approche low tech est toujours intéressante.
Par contre ce serait pas mal que l’artisan interrogé à la fin cite ses sources quand il parle de pollution
Tu demandes les sources a tout ces ecocidaires capitalistes colonialistes qui pullulent au pouvoir et dans la société ?
C étonnant comment ça réclame tjrs des preuves que sua d les théories vous arrangent pas....
Les preuves de l'efficacité des eco construction sont là depuis des dizaines d'année voir bien plus mais pour ça faudrait arrêter de se matrixee la tête avec de la saleté libérale capitaliste
Je confirme. Le CO2 n'est pas un polluant ! Vers 180 ppm la végétation se meure ; donc il ne faut pas l'éradiquer.
En Europe, Copenhague est à la pointe des projets de “ville verte intelligente”. Ambitionnant de devenir la première ville au monde neutre en carbone d’ici à 2025, elle ne se contente pas de multiplier les éoliennes et les pistes cyclables. Elle dissémine aussi des milliers de capteurs dans son mobilier urbain. Des “poubelles connectées” permettant de mieux gérer les déchets, jusqu’aux feux rouges mesurant la qualité de l’air, afin de mieux adapter la circulation (notamment lors de pics de pollution).
Mais ce qui ressemble le plus à la ville du futur “intelligente et verte” se trouve en Asie, à Singapour. Cette petite île où se massent 6 millions d’habitants a installé des centaines d’arbres artificiels, hauts de 18 à 50 mètres. Ils sont équipés de modérateurs de température, éclairent les rues grâce à l’énergie solaire, et collectent l’eau de pluie pour alimenter les fontaines et des “fermes urbaines”.
Des villes végétales
Mais les nouvelles technologies ne seront jamais aussi fortes que la nature pour rendre une ville réellement verte. La concentration exponentielle d’individus dans les “mégapoles” du futur amènera celles-ci à remodeler leurs paysages urbains, en laissant davantage de place à la nature.
“Aujourd’hui, à Paris, plus de 50 % de l’espace public est dédié aux voitures, à la circulation, aux parkings ; ce qui veut dire que l’on dispose d’un potentiel phénoménal de végétalisation. Pas du végétal décoratif, mais du végétal massif. Des arbres et de la végétation, des corridors verts, des espaces naturels dans la ville qui auraient un impact positif sur la biodiversité, la qualité de l’air et la régulation des températures”, observe Sylvain Grisot.
Les villes occidentales, de Lyon à Copenhague, commencent peu à peu à se “végétaliser”, afin d’éviter à ceux qui y vivront (d’ici à 2050) d’y suffoquer. Mais en raison d’un manque de foncier disponible, la création de grands parcs urbains n’est bien souvent pas à l’ordre du jour. Ainsi, les villes transforment-elles surtout les emplacements disponibles, notamment les friches industrielles, en jardins partagés et en “coulées vertes”.
Face au réchauffement climatique, la végétation fournit aussi de l’ombre, absorbe le CO2 et refroidit l’air. C’est pourquoi, en Amérique du nord, les villes d’Austin, Seattle et Montréal tentent de planter des centaines de milliers d’arbres d’ici 2030. En France, Paris prévoit d’en faire sortir de terre 170 000 d’ici 2027, à la place des parkings et des voies sur berge. En Italie, Milan va plus loin, avec un programme de plantation de 3 millions d’arbres d’ici 2030.
Mais plusieurs experts ne cachent pas leur scepticisme face aux “forêts urbaines”. “Sur une étude à la Défense, on avait calculé que les 70 premières années de vie des arbres serviraient à absorber le CO2 émis par le renforcement des infrastructures. Avec ces projets, on est plutôt dans un symbolisme de l’écologie. Au niveau du climat, ça ne fonctionne pas réellement”, explique Philippe Rahm, architecte suisse, dans Le Monde. Caroline Mollie, architecte paysagiste, rappelle qu’un arbre, “pour qu’il donne son maximum d’effet, doit avoir au moins une trentaine d’années. Voilà pourquoi mieux vaut planter moins, mais mieux, au bon endroit”. A Melbourne, par exemple, une programme de reforestation ne prévoit “que” 3 000 pieds pour 4,5 millions d’habitants.
Des forêts verticales
Planter ainsi des arbres en ville reste complexe, en raison d’une forte pression du foncier et d’un manque de place. C’est pourquoi des architectes et des urbanistes conçoivent aussi des forêts “verticales”. À Milan, les deux tours résidentielles du projet “Bosco Verticale” regroupent depuis 2017 plus de 20 000 plantes et arbres, soit l’équivalent de 2 hectares de forêt répartis en façade. Ce projet de reforestation verticale a pour objectif “d’augmenter la biodiversité, de réduire l’expansion urbaine et de contribuer à la régulation du microclimat.”
À Singapour, où l’espace est très limité, les plantations d’arbres sur les toits et les terrasses se multiplient depuis 5 ans. Une “architecture verte” à l’origine du surnom de la cité : la “ville-jardin”. Les hôtels Parkroyal et Oasia, notamment, disposent d’une surface végétale 5 à 10 fois plus importante que leur surface au sol. “Ce qui veut dire que dans la ville de demain, la nature pourrait être 10 fois plus présente que si la ville n’existait pas”, estime l’architecte Wong Mun Summ.
Reste le risque de voir naître une nouvelle forme d’inégalités, liées au cadre de vie plus agréable procuré par les tours végétalisées. À Milan, les gratte-ciel boisés de Bosco verticale sont surtout peuplés de personnes fortunées. Le complexe compte 131 appartements, dont le prix varie de 10 000 à 18 000 euros le mètre carré. En Corée du Sud, Songdo n’attire aussi que des familles aisées. Car cette “smart city verte” suit une logique immobilière, qui repose sur des partenariats public-privé, et donc le besoin d’attirer des populations CSP + pour être rentables. C’est sans doute pour éviter cela que les urbanistes de Singapour privilégient de plus en plus des projets d’immeubles végétalisés destinés à toutes les catégories sociales, avec un part importante de HLM.
Quelle R-value ? Quelle performance en hiver ? Concrètement aucune info, ça ne veut rien dire comme c'est présenté :(
Désolé mais ça marche que pour les gens réalisant leurs chantier eux même et en chantier participatif ... Le temps de main d'oeuvre nécessaire fait que ce serait hors de prix ces technique de mise en oeuvre.
Donc ce n'est mathématiquement impossible vu le nombre de logements à rénover. L'écologie à besoin de pragmatisme, pas de dogmatisme ...
De plus, il n'est pas fait notion de support, on ne peut pas mettre de l'enduit terre paille partout n'importe où.
Les émission de CO2 des logements ça vient plutôt des habitations se chauffées et produisant de l'eau chaude avec une chaudière gaz ou fioul, l'élec étant faiblement carbonée en France.
L'ossature bois est une alternative viable à la construction traditionnelle, pour le coup il existe des bottes de paille de 22cm d'épaisseur adaptées à s'insérer entre les montants. L'ossature bois peut être préassemblé en atelier, ce qui permet un gain de temps de mise en oeuvre et de transports.
Néanmoins il faudra accepter la culture industrielle de bois de construction.
8:00 le R290 à un GWP de 3, et vu la faible quantité dans une unité monobloc c'est rien du tout ... On est plus à l'époque du R410a avec un GWP >2000.
Le "climatiseur" étant la même machine que celle permettant de chauffer on ne peux pas dire que sa fabrication est impactante, la seule différence avec une PAC chaud uniquement est la vanne 4 voies .... Ensuite une maison de 100 à 150m2 peut se raffraichir avec une PAC de 3/4 kW, soit une puissance absorbée inférieur à 1kW avec 3 panneau photovoltaïque on annule cette consommation estivale, l'impact carbone de la "climatisation" est donc dans la réalité négligeable.
Tiens ! Amusant ! Ils ne parlent plus de la sécurité ! Matières inflammables et allergies aux matières utilisées....
Au fait! Et les matières dangereuses non recyclables c'est mis sous le tapis ...
@@user-en9jo1dx2d a quel sujet ?
Link. Link. Link !
Observatoire national de la Reno énergétique !!!.... Combien d'agences, d'institutions, de sociétés.... pour gérer des collectifs aoutchhh et des m2 "Gaspi"....on tourne en "arrière" plutôt qu'en rond 🙃 > lobbying, pompes à fric...pognon de dingue....gestion débile....
Voi là encore une manière de manipuler par le biais du fric....
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