Bah Léo , si tu savais comme ils nous bassinent avec leurs vocations de parure , dans le silence de la mer il y a comme un balancement maudit . Cette mer jamais étale draine toujours plus de moutons. Sous les sunlights c'est l'enfer, un abattoir... Heureusement il y a le lit, un parking, et ma compagne une douce philosophie qui me retient à la vie, et toi Léo que j'écoute toujours dans mes petits matin de spleen. À toujours..,
Léo je voulais te écouter sur youtube dans la mémoire et la mer je vois la vidéo mais ils ne mettent pas le son frustrant le progrès heu la vie moderne
Magnifique voix au service d' un poème les plus sublime du répertoire de Léo Ferré. Un artiste un poète que la France devrait compter parmi ses meilleurs talents.
Quand ma professeure de français m'a fait découvrir en seconde (lycée, j'avais 15 a peut près) ce poème ça à été un électrochoc, puis suivis Kafka, Rimbaud, Beckett... Maintenant je lis"Rhinocéros" de Ionesco et ça me fais peur... Que penserait Léo de cette "rhinocérite" ambiante ?
A mon pote Hervé , Quand nous partagions tous ces instants de nostalgie et de reve , toute cette poésie et ce bonheur mélés de malheur et de désillusion .
À ma copine madeleine en chocolat mêlés de bonheur et de désir et de désillusion enrobé de chocolat et d’amours chaud et de poésie ruclips.net/channel/UCTtWiQc36y3nw8bGj49Hf4Q
À mon ami David et à notre jeunesse qui est passé. Et ce monsieur passé qui ce soir est repassé. A Yohan et Vladimir, Philippe et Sliman, Emilie et Romain, Pasqual et Seb. Qu'ils reposent en paix. À la musique, à la poésie, à la vie, à l'amour. À la folie impitoyable des destin .
Ces textes de Leo, de Brassens, de Barbara, et.. manquent tellement dans les media actuels, la bêtise, la consommation, ce nouveau monde est minable à pleurer.
Chaque fois que j'allais voir Léo en concert, le lendemain je n'avais que cet air en tête , alors qu'il en avait interprété une trentaine. C'est vraiment une chanson qui a quelque chose en plus, un chef d'œuvre absolu...
Je l’ai vu au théâtre 140 à Bruxelles avec une amie et nous y sommes retournés le lendemain. Quels souvenirs! Il nous manque parce que plus aucun chanteur ne prendra la relève.
Je l'ai écouté et vu au théâtre Toursky à Marseille en 1986. Se dire non chaque jour m'aide à vivre. Il fait partie de la grande famille des humains, nous nous reverrons dans 10.000 ans.
Le dernier grand monstre sacré de la chanson française et ces textes et chansons sont toujours d'actualités et c'est pour cela qu'il est immortel. Mercis mr ferré 😍😍
Le dernier de votre époque ... allez savoir... un jour peut-être, la beauté sera de nouveau accessible à ceux qui ne cherchent pas... et l’espoir, dans sa renaissance sera bankable.!..
D'ACCORD AVEC TOI JEAN ,,MAIS LE DERNIER PEUT ETRE PAS ,, SI TU AIMES LES MOTS COMME MOI , ECOUTE SI DU MOINS TU CONNAIS PAS DAMIEN SAEZ, UN CAUSTAUD !!!!!
poème original se nommait chant N°1 GUESCLIN et venait des chants de la fureur non édité totalement à l'époque , daté du 28 octobre 1962. et 7 chansons en ont été tirées : (La Mer noire, La Mémoire et la mer, FLB, Christie, Géométriquement tien, La Marge, Des mots) Lorsqu'on lit Guesclin, on se rend compte de la complexité à en sortir 7 chansons sans un seul vide.
Oui léo m'a jeunesse. Je t'ai vu à Bercy. Tu as partagé mon adolescence en tant que chanteuse. Les jeunes, ils devraient apprendre de tes chansons à l'école.....
Ferré savait sortir des phrases d'un ancien texte et les mettre en musique, pour moi parfois il devait galérer, un immense travail. poème original se nommait chant N°1 GUESCLIN et venait des chants de la fureur non édité totalement à l'époque , daté du 28 octobre 1962. et 7 chansons en ont été tirées : (La Mer noire, La Mémoire et la mer, FLB, Christie, Géométriquement tien, La Marge, Des mots) Edition Seghers , poésie et chansons N° 1 Léo Ferré , préface Charles Estienne, Guesclin page 167 à 171. Aussi dans 1ere édition " Poètes d'aujourd'hui" n° 93 Léo Ferré 1962. Edition démarrant en 1944 avec Paul Eluard.
Pour chaque artiste chanteur, On peut noter plusieurs chansons qui sortent plus en lumière que les autres Mais pour chaque artiste, Il en est une qui représente le chanteur Il en est une qui "est" le chanteur Il en est une où le chanteur est l'expression même de la chanson On peut citer l'été indien pour Jo Dassin Gitan pour Daniel Guichard Amsterdam pour Brel 😊 Monsieur Leo Ferré La mémoire et la mer est votre plus belle chanson Elle est sortie de vous C'est l'expression de votre âme un peu écorchée vive et pourtant tellement belle que l'on entend quand on vous chantez la mémoire et la mer Merci beaucoup à vous pour cette chanson 😊💖🤠💖
Peu de choses à dire , ca serait trop long finalement..... , mais parfois un simple merci vaut mieux que mille mots .......Merci Léo , merci infiniment .
j'étais même pas né quand ce concert a eu lieu, je me souviens dans mon enfance quand on évoquait Ferré je pensais à un artiste de variétoche qui avait uniquement fait "avec le temps" après j'ai découvert l'immense poète ... l'indicible beauté de son langage, mon dieu que la musique a pris une facette bien terrible, s'il savait lui qui parlait de savon à barbe déjà dans les 70'...
les medias n'aiment que l'audimat pas la poésie ils sont les esclaves de la politique et de la publicité , preuve qu'en 2023 on a même pas parlé de lui pour ses trentes années de sa disparition même pas la 5 ni arte quel dommage. je t'aime toujours LEO.
À mon premier amour 💖 Véronique avec laquelle nous écoutions Léo Ferré le soir allongés l’un près de l’autre à refaire le monde sur la terrasse de notre appartement.
Je suis aller le voir une fois sur scène ç Argenteuil dans le Val d'Oise,plus qu'un concert un RECITAL,je m'en souvient encor,il nous avais de ne pas l'applaudir à la fin. Merci monsieur le POETE Léo Ferré,nous ne t'oublirons jamaistant tes vers et ta musique sont beau.
Je ne connaissais de Ferré que ses plus célèbres chansons. Je suis à l’aube de mes 60ans et je découvre sa poésie ses interprétations d’arragon, entre autre. Toutes ses années d’ignorance, j’en ai presque honte.
C'est aux radios communes et tv d'avoir honte, comme pour tout Artistes boudées et de grand talent, les Artistes "nés" avant 1960 ont eu plus de chance , ils sont connus mais souvent que de nom, après beaucoup d'autres sont ignorés, J Bertin vient de fermer sa boutique Véléna, auto producteur depuis les années 60 il a su faire sa carrière avec un trou lorsqu'il a été obligé de revenir au journalisme. Et combien d'autres comme Allain Leprest , sans compter l'ignorance de la chanson Francophone. L Ferré aimait raconter l'anecdote du routier passant à Paris 17eme où il vivait, le routier le voyant l'appelle " hé M Ferré quand allez vous chanter pauvre boeuf à la TV?" il avait confondu avec "pauvre Rutebeuf" bien sûr car il n'avait pas bien entendu le titre. Années 50 , à l'époque il passait de tout à la tv, on peut le voir avec tous ces passeurs YT et l'INA. Années 60 malgré le matraquage arrivé des USA via Europe N°1, la chanson à texte résistait, 70 idem, mais 80's la dégringolade commença, la suite on la connait = toujours les mêmes artistes, avec 2 ou 3 mêmes chansons, qui ne protestent pas en disant eh il n' y a pas que nous , et on pourrait peut-être chanter autre chose !! Bref la discographie de Ferré est énorme mais pas que lui et inconnue de beaucoup. Sur Scène , Léo Ferré avait été au point de matraquer " avec le temps" , peut-être tellement il pensait qu'elle avait eu du succès mais n'était pas une œuvre majeure , il dit qu'il l'a faite en 2 heures, c'est pour signifier qu'elle n'est pas si majeure que d'autres qu'il a faites en beaucoup de travail. ruclips.net/video/wnU9PBh8470/видео.html Voici la version en 1969 à Guesclin avant la définitive sur le LP Barclay de 1970 " amour et anarchie". Ferré savait sortir des phrases d'un ancien texte et les mettre en musique, pour moi parfois il devait galérer, un immense travail. poème original se nommait chant N°1 GUESCLIN et venait des chants de la fureur non édité totalement à l'époque , daté du 28 octobre 1962. et 7 chansons en ont été tirées : (La Mer noire, La Mémoire et la mer, FLB, Christie, Géométriquement tien, La Marge, Des mots) Edition Seghers , poésie et chansons N° 1 Léo Ferré , préface Charles Estienne, Guesclin page 167 à 171. Aussi dans 1ere édition " Poètes d'aujourd'hui" n° 93 Léo Ferré 1962. Edition démarrant en 1944 avec Paul Eluard. Anecdotes concernant la volonté de certains médias d'effacer Léo Ferré : émission avec Patrick Cohen sur G Brassens, à un moment il nous dit , " et c'est le 1er chanteur à être dans les éditions Seghers "poètes d'aujourd'hui" il est au n° 93 " ! G Brassens est au n° 99 Ferré 93, classement dont je me fiche mais il y a bien l'envie chez ces médias de faire oublier L Ferré qui chantait : "Pour faire face à la vérité J'ai poussé jusqu'à la télé Où l'on m'a dit "Vous demandez qui ? La vérité ? C'est pas ici !" Lorsqu'on lit Guesclin, on se rend compte de la complexité à en sortir 7 chansons sans un seul vide. Les chants de la fureur sont peut-être complet sur le livre du même nom édité par " la mémoire et la mer" comprenant quasi toute l'œuvre écrite de Léo Ferré.
Rajouter des mots c'est déjà de trop mais quand même c'est une des plus belle chanson de la langue française avec, "il n' ya plus rien" pour le texte et évidement "Avec le temps" pour l'amour, et même si je suis heureux d'écrire mon commentaire, se sont ses images qui reviennent en permanence en moi, c'est la poésie, c'est ça la poésie, la vraie, celle qui manque tant au monde pour s'épanouir !!! ô Léo !!! Merci !!! Merci !!i Merci pour tout et bien plus encore !!! Merci !!! J'ai lu beaucoup de "Tu nous manques" et je ne t'ai pas connu mais à chaque fois que je t'écoutes c'est tellement vrai !!! Tellement la POESIE tellement ce que le monde a besoin, et tes images parlent quand j'écris, c'est tellement magnifique, j'aimerais les citer toutes mais je préfère les garder pour moi, les écouter pour moi, les comprendre pour moi comme tous ceux qui ont compris cela, mais tu nous manques tellement à tous et même à ceux qui ne le savent pas encore !!!
Si t'as l'intuition de ta propre sénéscence et que tu y vois de la beauté mais y cherche un sens qui s'éploie dans les mots, c'est un peu de douceur que tu y prends à chaque jour qui passe que tu penses à lire ; écrire ; rarement pouvoir les écouter qu'ils résonnent de sens, ça écrit (j''écris) à ta place ou presque une magnifique histoire cryptique de sens que personne ne lira peut--être et puis on s'en fout quand c'est beau, Ferré l'a ressenti et l'a mise en oeuvre cette mélancolie d'exister, celle qui m'habites aussi depuis toujours.
Toute la puissance des mots et de la musique sont ici réunis et donnent une force, une puissance à ce texte, qui n'a rien à envier au bateau ivre de l'illustre maître en poésie qu'était Arthur Rimbaud !
l'émotion avant la signification: -"Je suis sure que la vie est là! avec ses poumons de flanelle" -"une mathématique bleue" . ça n'a pas de sens, c'est des images de mots, de la poésie absolue.
@@Cyrano3372 ruclips.net/video/mVaOT3T3F8M/видео.html&ab_channel=Ren%C3%A9eClaude-Topic J'aime bien Renée Claude une grande interprète Québécoise. Elle a créé un spectacle sur leo Ferré en 93 et l'a produit en 94, sur Brassens aussi. Oui Lavilliers , Thiphaine aussi , magnifique chanson ..
@@FenrisTheMannis Si si Hubert Félix Thieffaine le fait très bien !!! Et quand il la chante c’est la meilleure version actuelle que nous puissions écouter après Léo et meilleure que Lavilliers surtout !!! Quelle poésie surtout c’est…!!! Le richesse d’une vocabulaire, la beauté de la plume et finesse de la mélodie c’est vraiment une des plus belles chanson, un des plus beau textes de la langue française ça c’est une évidence…!!! En plus les gens qui ne connaissent rien pas Léo Ferré s’imaginent que Léo était un mec triste alors qu’il n’était pas triste mais heureux, joyeux de vivre un véritable être vivant au sens propre du mot vivant !!! Le dernier génie des mots à ce niveau même si heureusement pour Moi il y Thieffaine c’est comme son fils spirituel et c’est magnifique aussi des textes d’une beauté poétique hallucinante !!! Allez pour le plaisir : La marée, je l'ai dans le cœur qui me remonte comme un signe Je meurs de ma petite sœur, de mon enfant et de mon cygne Un bateau, ça dépend comment on l'arrime au port de justesse Il pleure de mon firmament des années lumières et j'en laisse Je suis le fantôme jersey, celui qui vient les soirs de frime Te lancer la brume en baiser et te ramasser dans ses rimes Comme le trémail de juillet où luisait le loup solitaire Celui que je voyais briller Aux doigts de sable de la terre Rappelle-toi ce chien de mer que nous libérions sur parole Et qui gueule dans le désert des goémons de nécropole Je suis sûr que la vie est là, avec ses poumons de flanelle Quand il pleure de ces temps-là, le froid tout gris qui nous appelle Je me souviens des soirs là-bas et des sprints gagnés sur l'écume Cette bave des chevaux ras, au raz des rocs qui se consument Ô l'ange des plaisirs perdus, ô rumeurs d'une autre habitude Mes désirs, dès lors, ne sont plus Qu'un chagrin de ma solitude Et le diable des soirs conquis avec ses pâleurs de rescousse Et le squale des paradis dans le milieu mouillé de mousse Reviens fille verte des fjords, reviens violon des violonades Dans le port fanfarent les cors, pour le retour des camarades Ô parfum rare des salants, dans le poivre feu des gerçures Quand j'allais, géométrisant, mon âme au creux de ta blessure Dans le désordre de ton cul, poissé dans des draps d'aube fine Je voyais un vitrail de plus Et toi fille verte, mon spleen Les coquillages figurant sous les sunlights, cassés, liquides Jouent de la castagnette tant qu'on dirait l'Espagne livide Dieux de granit, ayez pitié de leur vocation de parure Quand le couteau vient s'immiscer dans leur castagnette figure Et je voyais ce qu'on pressent quand on pressent l'entrevoyure Entre les persiennes du sang et que les globules figurent Une mathématique bleue, dans cette mer jamais étale D'où me remonte peu à peu Cette mémoire des étoiles Cette rumeur qui vient de là, sous l'arc copain où je m'aveugle Ces mains qui me font du fla-fla, ces mains ruminantes qui meuglent Cette rumeur me suit longtemps comme un mendiant sous l'anathème Comme l'ombre qui perd son temps à dessiner mon théorème Et sous mon maquillage roux s'en vient battre comme une porte Cette rumeur qui va debout, dans la rue, aux musiques mortes C'est fini, la mer, c'est fini, sur la plage, le sable bêle Comme des moutons d'infini Quand la mer bergère m'appelle
je ne me lasse pas de l'écouter c'est sublime tant au niveau de la musique que du texte: un miracle, à croire que cette chanson lui a été dictée par l'au-delà c'est une perfection même si "c'est extra" ou "avec le temps" vous font dresser les poils sur les bras...avec Gainsbourg Léo Ferré était le plus grand de la chanson française !!!
S Gainsbourg a eu des belles chansons bien écrites à ses débuts mais ensuite c'était bien pauvre. répétition de vers, onomatopées etc, il avait voulu paraitre plus que els autres en écrivant pour les yéyés, " manuréva" en est un exemple , répétitions . Comme dit Verlaine , Jolie à l'écoute mais aussi répétitions et onomatopées. Ferré c'st tout autre . Quand on lit Caussimon, Leprest, Lelievre et tant d'autres Francophones on le voit bien , .
Paroles : La marée, je l'ai dans le cœur qui me remonte comme un signe Je meurs de ma petite sœur, de mon enfant et de mon cygne Un bateau, ça dépend comment on l'arrime au port de justesse Il pleure de mon firmament des années lumières et j'en laisse Je suis le fantôme jersey, celui qui vient les soirs de frime Te lancer la brume en baiser et te ramasser dans ses rimes Comme le trémail de juillet où luisait le loup solitaire Celui que je voyais briller Aux doigts de sable de la terre Rappelle-toi ce chien de mer que nous libérions sur parole Et qui gueule dans le désert des goémons de nécropole Je suis sûr que la vie est là, avec ses poumons de flanelle Quand il pleure de ces temps-là, le froid tout gris qui nous appelle Je me souviens des soirs là-bas et des sprints gagnés sur l'écume Cette bave des chevaux ras, au raz des rocs qui se consument Ô l'ange des plaisirs perdus, ô rumeurs d'une autre habitude Mes désirs, dès lors, ne sont plus Qu'un chagrin de ma solitude Et le diable des soirs conquis avec ses pâleurs de rescousse Et le squale des paradis dans le milieu mouillé de mousse Reviens fille verte des fjords, reviens violon des violonades Dans le port fanfarent les cors, pour le retour des camarades Ô parfum rare des salants, dans le poivre feu des gerçures Quand j'allais, géométrisant, mon âme au creux de ta blessure Dans le désordre de ton cul, poissé dans des draps d'aube fine Je voyais un vitrail de plus Et toi fille verte, mon spleen Les coquillages figurant sous les sunlights, cassés, liquides Jouent de la castagnette tant qu'on dirait l'Espagne livide Dieux de granit, ayez pitié de leur vocation de parure Quand le couteau vient s'immiscer dans leur castagnette figure Et je voyais ce qu'on pressent quand on pressent l'entrevoyure Entre les persiennes du sang et que les globules figurent Une mathématique bleue, dans cette mer jamais étale D'où me remonte peu à peu Cette mémoire des étoiles Cette rumeur qui vient de là, sous l'arc copain où je m'aveugle Ces mains qui me font du fla-fla, ces mains ruminantes qui meuglent Cette rumeur me suit longtemps comme un mendiant sous l'anathème Comme l'ombre qui perd son temps à dessiner mon théorème Et sous mon maquillage roux s'en vient battre comme une porte Cette rumeur qui va debout, dans la rue, aux musiques mortes C'est fini, la mer, c'est fini, sur la plage, le sable bêle Comme des moutons d'infini Quand la mer bergère m'appelle
@ odilebams 🙏💝🙏 J ai un frisson qui me parcoure à l écoute des chansons de Léo Ferré et plus particulièrement avec celle-ci 😆 Merci de nous en offrir les paroles ! 🌹Belle journée à vous Malgré les tempêtes vécues, subies en ce début de Novembre 2023 en 🇫🇷 Dimanche 5 Novembre 2023
Oui tu nous manques depuis si longtemps copain. Les nuages s estompent et le crépuscule s éteint. Le soleil et la lune palissent pour ne faire plus qu un.
La marée je l'ai dans le cœur Qui me remonte comme un signe Je meurs de ma petite sœur De mon enfant et de mon cygne Un bateau ça dépend comment On l'arrime au port de justesse Il pleure de mon firmament Des années-lumière et j'en laisse Je suis le fantôme Jersey Celui qui vient les soirs de frime Te lancer la brume en baisers Et te ramasser dans ses rimes Comme le trémail de juillet Où luisait le loup solitaire Celui que je voyais briller Aux doigts du sable de la terre Rappelle-toi ce chien de mer Que nous libérions sur parole Et qui gueule dans le désert Des goémons de nécropole Je suis sûr que la vie est là Avec ses poumons de flanelle Quand il pleure de ces temps-là Le froid tout gris qui nous appelle Je me souviens des soirs là-bas Et des sprints gagnés sur l'écume Cette bave des chevaux ras Au ras des rocs qui se consument ô l'ange des plaisirs perdus ô rumeurs d'une autre habitude Mes désirs dès lors ne sont plus Qu'un chagrin de ma solitude Et le diable des soirs conquis Avec ses pâleurs de rescousse Et le squale des paradis Dans le milieu mouillé de mousse Reviens fille verte des fjords Reviens violon des violonades Dans le port fanfarent les cors Pour le retour des camarades ô parfum rare des salants Dans le poivre feu des gerçures Quand j'allais géométrisant Mon âme au creux de ta blessure Dans le désordre de ton cul Poissé dans les draps d'aube fine Je voyais un vitrail de plus Et toi fille verte mon spleen Les coquillages figurants Sous les sunlights cassés liquides Jouent de la castagnette tant Qu'on dirait l'Espagne livide Dieu des granits ayez pitié De leur vocation de parure Quand le couteau vient s'immiscer Dans leur castagnette figure Et je voyais ce qu'on pressent Quand on pressent l'entrevoyure Entre les persiennes du sang Et que les globules figurent Une mathématique bleue Dans cette mer jamais étale D'où nous remonte peu à peu Cette mémoire des étoiles Cette rumeur qui vient de là Sous l'arc copain où je m'aveugle Ces mains qui me font du flafla Ces mains ruminantes qui meuglent Cette rumeur me suit longtemps Comme un mendiant sous l'anathème Comme l'ombre qui perd son temps à dessiner mon théorème Et sur mon maquillage roux S'en vient battre comme une porte Cette rumeur qui va debout Dans la rue aux musiques mortes C'est fini la mer c'est fini Sur la plage le sable bêle Comme des moutons d'infini Quand la mer bergère m'appelle La mémoire et la mer, Léo Ferré
Une belle Ame partie un auteur un des derniers poètes Français , ou sont ils Brel, Ferrat ,Reggiani, Brassens ,Charles Dumont, etc....cette chanson est une de ces plus mystérieuses mais magnifique ,même si je n'ai pas tout compris après des année passé merci Mr Léo.......
@@lorenwerner7347 Il y en a pas mal , sauf pour la musique dont L Ferré maitrise la totalité, composition, arrangement et la direction, écoutez J Bertin, A Leprest R Desjardins etc etc et ne voyez pas que la chanson Française, la Francophone est riche mais boudée en France . Pour cette chanson : poème original se nommait chant N°1 GUESCLIN et venait des chants de la fureur non édité totalement à l'époque , daté du 28 octobre 1962. et 7 chansons en ont été tirées : (La Mer noire, La Mémoire et la mer, FLB, Christie, Géométriquement tien, La Marge, Des mots) Lorsqu'on lit Guesclin, on se rend compte de la complexité à en sortir 7 chansons sans un seul vide. Les chants de la fureur sont peut-être complet sur le livre du même nom édité par " la mémoire et la mer" comprenant quasi toute l'œuvre écrite de Léo Ferré.
Quel grand Monsieur ! Poète , musicien . Il me fait rêver , pleurer , à chaque fois il m'émeut . Incomparable , en féminin peut être avec notre grande et immense Catherine Ribeiro . Léo est immortel .
Je suis sidéré de constater qu'il y a si peu de gens qui ont vu et apprécié ce vidéo. Il fait partie sans doute d'une autre époque, dont je suis . Je l'ai connu j'avais 18 ans et j'en ai aujourd'hui 70. Pour moi, c'est le chanteur de la lucidité avant tout. De cette si belle chanson , apprise par coeur, elle me rappelle la Californie , où ma compagne d'alors Gaétane et moi la chantions quand nous nous ennuyions du Québec français. Elle n'a pas vieillit d'une note , ni d'un mot! J'ai pleuré le jour de sa mort en 1993, le jour même de mon anniversaire de naissance, c'est tout dire...
poème original se nommait chant N°1 GUESCLIN et venait des chants de la fureur non édité totalement à l'époque , daté du 28 octobre 1962. et 7 chansons en ont été tirées : (La Mer noire, La Mémoire et la mer, FLB, Christie, Géométriquement tien, La Marge, Des mots) Lorsqu'on lit Guesclin, on se rend compte de la complexité à en sortir 7 chansons sans un seul vide. Les chants de la fureur sont peut-être complet sur le livre du même nom édité par " la mémoire et la mer" comprenant quasi toute l'œuvre écrite de Léo Ferré. Sylvain Lelièvre avait fait une chanson en 94 " je descend à la mer" , pour moi il rendait hommage à L Ferré.
La poésie pure. Quel grand artiste qui jamais ne partira.
Lui qui devrait être célébré , dans notre pays brumeux d'autres sont sacrés qui ne le devraient pas .
Bah Léo , si tu savais comme ils nous bassinent avec leurs vocations de parure , dans le silence de la mer il y a comme un balancement maudit . Cette mer jamais étale draine toujours plus de moutons. Sous les sunlights c'est l'enfer, un abattoir... Heureusement il y a le lit, un parking, et ma compagne une douce philosophie qui me retient à la vie, et toi Léo que j'écoute toujours dans mes petits matin de spleen. À toujours..,
Et il a toujour, la poésie .. ce que tu vois et que tu ne sais pas dire , ce matin , tout les jours , et demain..
Love Stefania
@@wildux8221un beau connard et un sacré misogyne
Léo si tu savais les atypiques crèvent de solitude sans toi à bientôt
Léo je voulais te écouter sur youtube dans la mémoire et la mer je vois la vidéo mais ils ne mettent pas le son frustrant le progrès heu la vie moderne
Le plus beau poème en chanson de Léo ferré du répertoire français !
Je suis d
'accord,,,,
Un poète qui nous transperce le cœur par sa voix sublime des textes magnifiques son émotion
Vous nous manquez Monsieur
Magnifique
Prenez en de la graine la jeunesse là c'est de l'art ! ❤
Je suis pas de la nouvelle génération mais quand même comment on peut passer à côté de ça c'est incroyable
Un poète qui manque à notre univers.
Fabuleux ce texte. Musique magnifique quelle belle interprétation
Vous êtes unique mr Leo Ferré
Merci encore et encore Léo
Magique
Quel bonheur de pouvoir retrouver Léo Ferré si loin de la France❤
Le plus grand artiste français du 20 siècle. Tout n est que perfection
Mots textes musiques.
Magnifique voix au service d' un poème les plus sublime du répertoire de Léo Ferré. Un artiste un poète que la France devrait compter parmi ses meilleurs talents.
« Il faudra réécrire l’histoire littéraire un peu différemment à cause de Léo Ferré », disait Aragon.
Un grand poète qui ne peut être remplacé. Il manque tant.
Le Grand Ferré ! Génie des mots... que j'aime tant depuis toujours, depuis mes 16 ans MERCI Léo !! ta voix !!!
Quand ma professeure de français m'a fait découvrir en seconde (lycée, j'avais 15 a peut près) ce poème ça à été un électrochoc, puis suivis Kafka, Rimbaud, Beckett... Maintenant je lis"Rhinocéros" de Ionesco et ça me fais peur... Que penserait Léo de cette "rhinocérite" ambiante ?
Magnifique chanson ❤❤❤
Écouter Ferré et pleurer de beauté
Subliminal
A mon pote Hervé , Quand nous partagions tous ces instants de nostalgie et de reve , toute cette poésie et ce bonheur mélés de malheur et de désillusion .
À ma copine madeleine en chocolat mêlés de bonheur et de désir et de désillusion enrobé de chocolat et d’amours chaud et de poésie ruclips.net/channel/UCTtWiQc36y3nw8bGj49Hf4Q
À mon ami David et à notre jeunesse qui est passé. Et ce monsieur passé qui ce soir est repassé. A Yohan et Vladimir, Philippe et Sliman, Emilie et Romain, Pasqual et Seb. Qu'ils reposent en paix. À la musique, à la poésie, à la vie, à l'amour. À la folie impitoyable des destin .
@@PHILIPPE-RAPETTI A Madeleine ..
@@L.O.A.LHOMM2ENNOIR A David et aux autres , a la poésie et à la folie .
@@L.O.A.LHOMM2ENNOIR juste , magnifique
Un richesse léxicale fulgurante telle que le propos général devient abscon. Néanmoins on ne peut nier que c'était un génie des mots.
J'ai du écouter cette version 50 fois et je ne m'en suis toujours pas remis...
J'ai dû l'écouter 5000 fois je ne m'en remets toujours pas non plus
Et j'y reviens encore en ce soir lourd de menaces
idem pour enfin comprendre une infime partie de la mémoire et la mer
@@Cyrano3372ce con à dit des choses immondes sur les femmes
Ai toujours aimé. N'ai jamais compris. Comme quoi...
Dix pieds sous terre tu nous apporte beaucoup d émotions je vous admire
C'est un texte qui surpasse tout ce que j'ai entendu jusqu'à ce jour.
Oui , et tu peux essayer Gérard Manset , Joao Bosco , et quelques autres . Le flambeau à été transmis .
Moi aussi et j'y reviens souvent.
Ces textes de Leo, de Brassens, de Barbara, et.. manquent tellement dans les media actuels, la bêtise, la consommation, ce nouveau monde est minable à pleurer.
Chaque fois que j'allais voir Léo en concert, le lendemain je n'avais que cet air en tête , alors qu'il en avait interprété une trentaine. C'est vraiment une chanson qui a quelque chose en plus, un chef d'œuvre absolu...
Je l’ai vu au théâtre 140 à Bruxelles avec une amie et nous y sommes retournés le lendemain. Quels souvenirs! Il nous manque parce que plus aucun chanteur ne prendra la relève.
Oui , quelquechose en plus , la poésie .
Je l'ai écouté et vu au théâtre Toursky à Marseille en 1986. Se dire non chaque jour m'aide à vivre. Il fait partie de la grande famille des humains, nous nous reverrons dans 10.000 ans.
@@paquetjean-pierre7016 pas sûr...c'est sans prétention aucune mais...j'ai de nouveau ce qu'on croyait perdu...
N’oubliez pas qu'il a dit des choses immondes sur les femmes
une des plus belles chansons de tous les temps ,
Le dernier grand monstre sacré de la chanson française et ces textes et chansons sont toujours d'actualités et c'est pour cela qu'il est immortel. Mercis mr ferré 😍😍
il est intemporel. sa poésie est tellement puissante, tellement sincère.
Le dernier de votre époque ... allez savoir... un jour peut-être, la beauté sera de nouveau accessible à ceux qui ne cherchent pas... et l’espoir, dans sa renaissance sera bankable.!..
ecoutez Saez, il y a encore de beaux parolier
D'ACCORD AVEC TOI JEAN ,,MAIS LE DERNIER PEUT ETRE PAS ,, SI TU AIMES LES MOTS COMME MOI , ECOUTE SI DU MOINS TU CONNAIS PAS DAMIEN SAEZ, UN CAUSTAUD !!!!!
@@jeanvitaleffectivement de la part de quelqu'un qui a dit des choses immondes sur les femmes
Un seul mot "Sublime"! Mr Léo Ferré
50 ans d' écoute ~~~aucune explication ~~~~on part ~~~avec ses mots sa voix son immense poésie
MERCI
Etoile de mon adolescence et le plus grand souvenir de mon amie Jeanne, sans qui je n'aurais jamais écouté Léo Ferré, qui reste mon plus grand poète
Une Étoile vivante de poésie d'amour et de rêves sur notre belle planète ! Merci pour toujours LEO FERRÉ !
Merci grand Monsieur, on attend la relève Heureusement il y a le Soleil ☀️☀️☀️
@@helenemallet1340🌊 Merci pour Le Rêve !
Il n'y a jamais de tabou en poésie enfin c'est ce que je pense.....quelle merveille .....moi aussi j'ai rarement entendu quelque chose d'aussi beau
Le manque est trop insupportable….., ❤️❤️❤️❤️
Un des plus beaux textes de la chanson française...Si ce n’est le plus beau !!! Mon commentaire est déjà de trop ! Merci Léo ! Merci...!!!
Tu as l'honneteté et l'humilité de dire que parler aprés Léo c'est déjà trop ..
poème original se nommait chant N°1 GUESCLIN et venait des chants de la fureur non édité totalement à l'époque , daté du 28 octobre 1962. et 7 chansons en ont été tirées :
(La Mer noire, La Mémoire et la mer, FLB, Christie, Géométriquement tien, La Marge, Des mots)
Lorsqu'on lit Guesclin, on se rend compte de la complexité à en sortir 7 chansons sans un seul vide.
Quelle puissance ces paroles!🙂🙏
La perfection absolue.
Oui léo m'a jeunesse. Je t'ai vu à Bercy. Tu as partagé mon adolescence en tant que chanteuse. Les jeunes, ils devraient apprendre de tes chansons à l'école.....
Au théâtre libertaire également...
Une chanson écrite en Bretagne, que Ferré aimait tant ❤
Ferré savait sortir des phrases d'un ancien texte et les mettre en musique, pour moi parfois il devait galérer, un immense travail.
poème original se nommait chant N°1 GUESCLIN et venait des chants de la fureur non édité totalement à l'époque , daté du 28 octobre 1962. et 7 chansons en ont été tirées :
(La Mer noire, La Mémoire et la mer, FLB, Christie, Géométriquement tien, La Marge, Des mots)
Edition Seghers , poésie et chansons N° 1 Léo Ferré , préface Charles Estienne, Guesclin page 167 à 171. Aussi dans 1ere édition " Poètes d'aujourd'hui" n° 93 Léo Ferré 1962. Edition démarrant en 1944 avec Paul Eluard.
Quel grand homme que la nouvelle génération devrait écouter pour nourrir ses combats 💪👊
Pour chaque artiste chanteur,
On peut noter plusieurs chansons qui sortent plus en lumière que les autres
Mais pour chaque artiste,
Il en est une qui représente le chanteur
Il en est une qui "est" le chanteur
Il en est une où le chanteur est l'expression même de la chanson
On peut citer l'été indien pour Jo Dassin
Gitan pour Daniel Guichard
Amsterdam pour Brel
😊
Monsieur Leo Ferré
La mémoire et la mer est votre plus belle chanson
Elle est sortie de vous
C'est l'expression de votre âme un peu écorchée vive et pourtant tellement belle que l'on entend quand on vous chantez la mémoire et la mer
Merci beaucoup à vous pour cette chanson
😊💖🤠💖
Quelle artiste, une chanson qui peut être écouté en boucle sans être lacet !! Simplement magnifique...
' ' D'ou nous remonte peu a peu cette mémoire des étoiles ...''
Peu de choses à dire , ca serait trop long finalement..... , mais parfois un simple merci vaut mieux que mille mots .......Merci Léo , merci infiniment .
Après tant et tant d'écoute. Album après album, à 10/20/30/40/50 Ans, tout n'est que splendeur en eau profonde, mais ce texte reste mon envie premier.
j'étais même pas né quand ce concert a eu lieu, je me souviens dans mon enfance quand on évoquait Ferré je pensais à un artiste de variétoche qui avait uniquement fait "avec le temps" après j'ai découvert l'immense poète ... l'indicible beauté de son langage, mon dieu que la musique a pris une facette bien terrible, s'il savait lui qui parlait de savon à barbe déjà dans les 70'...
Je vois pas comment les médias français ne parles pas de ce dieux de la chanson françaises leo t'es un artiste de la trempe de Picasso repose en paix
Les médias aiment " maitre gims" , il leur parait que c'est de la poésie , et ce n'est que du bruit et des plaintes infantiles ... c'est comme ça .
En Algérie , que sont devenus Idir ou sheika Rimiti ? ... Pareil .
les medias n'aiment que l'audimat pas la poésie ils sont les esclaves de la politique et de la publicité , preuve qu'en 2023 on a même pas parlé de lui pour ses trentes années de sa disparition même pas la 5 ni arte quel dommage. je t'aime toujours LEO.
Est-ce normal que je viens de l'écouter 5 fois de suite?
OUI !
À mon premier amour 💖 Véronique avec laquelle nous écoutions Léo Ferré le soir allongés l’un près de l’autre à refaire le monde sur la terrasse de notre appartement.
Oui , je vois bien , la mienne s'appelle Laurence .. Mais Léo c'est pour les hommes et pour l'amitié .. Bon courage .
La poésie n'efface pas le chagrin , elle lui donne une justification , qui n'efface pas la douleur mais permet de continuer ?
Pareil . Et on a gagné le sprint sur l'écume ..
Magnifique chanson ♥️♥️♥️
Oui ce texte et la voix et le visage de Léo Ferré nous transperce, nous rend meilleur et tolérant
Je suis aller le voir une fois sur scène ç Argenteuil dans le Val d'Oise,plus qu'un concert un RECITAL,je m'en souvient encor,il nous avais de ne pas l'applaudir à la fin.
Merci monsieur le POETE Léo Ferré,nous ne t'oublirons jamaistant tes vers et ta musique sont beau.
La mémoire des étoiles à toi mon père qui m'a fait découvrir Ferré et la mer bergère en Bretagne
Je T aime ❤
j'ai voulu donné cela à mes enfants ( en bzh) et ils m''ont ris au nez et là les larmes sont montées ...!! j'ai senti qu'une falaise s'écroulait ..
Je ne connaissais de Ferré que ses plus célèbres chansons. Je suis à l’aube de mes 60ans et je découvre sa poésie ses interprétations d’arragon, entre autre. Toutes ses années d’ignorance, j’en ai presque honte.
C'est aux radios communes et tv d'avoir honte, comme pour tout Artistes boudées et de grand talent, les Artistes "nés" avant 1960 ont eu plus de chance , ils sont connus mais souvent que de nom, après beaucoup d'autres sont ignorés, J Bertin vient de fermer sa boutique Véléna, auto producteur depuis les années 60 il a su faire sa carrière avec un trou lorsqu'il a été obligé de revenir au journalisme. Et combien d'autres comme Allain Leprest , sans compter l'ignorance de la chanson Francophone.
L Ferré aimait raconter l'anecdote du routier passant à Paris 17eme où il vivait, le routier le voyant l'appelle " hé M Ferré quand allez vous chanter pauvre boeuf à la TV?" il avait confondu avec "pauvre Rutebeuf" bien sûr car il n'avait pas bien entendu le titre. Années 50 , à l'époque il passait de tout à la tv, on peut le voir avec tous ces passeurs YT et l'INA.
Années 60 malgré le matraquage arrivé des USA via Europe N°1, la chanson à texte résistait, 70 idem, mais 80's la dégringolade commença, la suite on la connait = toujours les mêmes artistes, avec 2 ou 3 mêmes chansons, qui ne protestent pas en disant eh il n' y a pas que nous , et on pourrait peut-être chanter autre chose !!
Bref la discographie de Ferré est énorme mais pas que lui et inconnue de beaucoup.
Sur Scène , Léo Ferré avait été au point de matraquer " avec le temps" , peut-être tellement il pensait qu'elle avait eu du succès mais n'était pas une œuvre majeure , il dit qu'il l'a faite en 2 heures, c'est pour signifier qu'elle n'est pas si majeure que d'autres qu'il a faites en beaucoup de travail.
ruclips.net/video/wnU9PBh8470/видео.html Voici la version en 1969 à Guesclin avant la définitive sur le LP Barclay de 1970 " amour et anarchie".
Ferré savait sortir des phrases d'un ancien texte et les mettre en musique, pour moi parfois il devait galérer, un immense travail.
poème original se nommait chant N°1 GUESCLIN et venait des chants de la fureur non édité totalement à l'époque , daté du 28 octobre 1962. et 7 chansons en ont été tirées :
(La Mer noire, La Mémoire et la mer, FLB, Christie, Géométriquement tien, La Marge, Des mots)
Edition Seghers , poésie et chansons N° 1 Léo Ferré , préface Charles Estienne, Guesclin page 167 à 171. Aussi dans 1ere édition " Poètes d'aujourd'hui" n° 93 Léo Ferré 1962. Edition démarrant en 1944 avec Paul Eluard.
Anecdotes concernant la volonté de certains médias d'effacer Léo Ferré :
émission avec Patrick Cohen sur G Brassens, à un moment il nous dit , " et c'est le 1er chanteur à être dans les éditions Seghers "poètes d'aujourd'hui" il est au n° 93 " !
G Brassens est au n° 99 Ferré 93, classement dont je me fiche mais il y a bien l'envie chez ces médias de faire oublier L Ferré qui chantait :
"Pour faire face à la vérité
J'ai poussé jusqu'à la télé
Où l'on m'a dit "Vous demandez qui ?
La vérité ? C'est pas ici !"
Lorsqu'on lit Guesclin, on se rend compte de la complexité à en sortir 7 chansons sans un seul vide.
Les chants de la fureur sont peut-être complet sur le livre du même nom édité par " la mémoire et la mer" comprenant quasi toute l'œuvre écrite de Léo Ferré.
J’ai le même sentiment !
Rajouter des mots c'est déjà de trop mais quand même c'est une des plus belle chanson de la langue française avec, "il n' ya plus rien" pour le texte et évidement "Avec le temps" pour l'amour, et même si je suis heureux d'écrire mon commentaire, se sont ses images qui reviennent en permanence en moi, c'est la poésie, c'est ça la poésie, la vraie, celle qui manque tant au monde pour s'épanouir !!! ô Léo !!! Merci !!! Merci !!i Merci pour tout et bien plus encore !!! Merci !!! J'ai lu beaucoup de "Tu nous manques" et je ne t'ai pas connu mais à chaque fois que je t'écoutes c'est tellement vrai !!! Tellement la POESIE tellement ce que le monde a besoin, et tes images parlent quand j'écris, c'est tellement magnifique, j'aimerais les citer toutes mais je préfère les garder pour moi, les écouter pour moi, les comprendre pour moi comme tous ceux qui ont compris cela, mais tu nous manques tellement à tous et même à ceux qui ne le savent pas encore !!!
🤝👌
Je repond , à cause de la poésie ..
Ok
Si t'as l'intuition de ta propre sénéscence et que tu y vois de la beauté mais y cherche un sens qui s'éploie dans les mots, c'est un peu de douceur que tu y prends à chaque jour qui passe que tu penses à lire ; écrire ; rarement pouvoir les écouter qu'ils résonnent de sens, ça écrit (j''écris) à ta place ou presque une magnifique histoire cryptique de sens que personne ne lira peut--être et puis on s'en fout quand c'est beau, Ferré l'a ressenti et l'a mise en oeuvre cette mélancolie d'exister, celle qui m'habites aussi depuis toujours.
@@caramel6688 Merci pour ton point de vue éloquent 😜👌
Des comme ça, y'en a pas beaucoup...superbe
certainement,l'un des texte les plus accompli dans la chanson française.....
Tu es 1 véritable Génie !!! Cette chanson est Grandiose , je t'aime et j e t'adore, tu as accompagné ma longue vie .
Quelle intensité de vous entendre et voir chanter monsieur Leo (bien souvent une larme à l oeil)
Une merveille de poésie comme seule sait l'interpreter le vieux Léo
Quelle beauté...
Toute la puissance des mots et de la musique sont ici réunis et donnent une force, une puissance à ce texte, qui n'a rien à envier au bateau ivre de l'illustre maître en poésie qu'était Arthur Rimbaud !
Vous avez parfaitement raison.
Un poème universel qui rassemble les gens de la mer
La poésie pure et ses symboles plus puissants que tout...
Tous les jours tes mots d'amour, tes mots de souffrance, tes mots de poète, et tous les jours mon rêve qui te rejoint là haut dans les étoiles
Magnifique texte sublime ...une autre langue inédite créée qui dit exactement ce qu on n a jamais su dire .splendide génialissime grandiose
Sublimissime! Je ne m'en lasserai jamais. Chanson à mettre au Panthéon de la chanson et de la poésie. Léo, tu ne m'en voudras pas?
Ces un chef doeuvre cest incroyable. Merci leo. Et merci davoir chanter pour marseille que dieu chouchoute ton ame
Magnifique chanson !!! texte qui touche.....superbe interpretation !!!!!
tout simplement sublime
je ne comprends pas toutes les metaphores de cette chanson mais a chaque fois je suis en larmes quand je l'écoute....
l'émotion avant la signification:
-"Je suis sure que la vie est là! avec ses poumons de flanelle"
-"une mathématique bleue" .
ça n'a pas de sens, c'est des images de mots, de la poésie absolue.
Pareil
Pareil ! 🥹🥲😶👍❤️
ie partage
C'est incontestablement chanson française la plus poetique...une œuvre immortelle, comme la mer!
C’est #La Chanson Française la plus belle de tous les temps. Je ne veux rien savoir
Merci pour vos textes, chansons pleine de vie
Un texte merveilleux qui vient nous envelopper de sa beauté. Une mathématique bleue...Merci M Ferré.
Si je fouille ma mémoire des 20 dernières années, je ne saurrai vous nommer un seul chanteur capable de réciter un texte de cette complexité.
@@FenrisTheMannis La version de B.Lavilliers est très belle aussi. Léo l'aurait aimée.
@@Cyrano3372 ruclips.net/video/mVaOT3T3F8M/видео.html&ab_channel=Ren%C3%A9eClaude-Topic
J'aime bien Renée Claude une grande interprète Québécoise.
Elle a créé un spectacle sur leo Ferré en 93 et l'a produit en 94, sur Brassens aussi. Oui Lavilliers , Thiphaine aussi , magnifique chanson ..
@@FenrisTheMannis Si si Hubert Félix Thieffaine le fait très bien !!! Et quand il la chante c’est la meilleure version actuelle que nous puissions écouter après Léo et meilleure que Lavilliers surtout !!! Quelle poésie surtout c’est…!!! Le richesse d’une vocabulaire, la beauté de la plume et finesse de la mélodie c’est vraiment une des plus belles chanson, un des plus beau textes de la langue française ça c’est une évidence…!!!
En plus les gens qui ne connaissent rien pas Léo Ferré s’imaginent que Léo était un mec triste alors qu’il n’était pas triste mais heureux, joyeux de vivre un véritable être vivant au sens propre du mot vivant !!! Le dernier génie des mots à ce niveau même si heureusement pour Moi il y Thieffaine c’est comme son fils spirituel et c’est magnifique aussi des textes d’une beauté poétique hallucinante !!!
Allez pour le plaisir :
La marée, je l'ai dans le cœur qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite sœur, de mon enfant et de mon cygne
Un bateau, ça dépend comment on l'arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament des années lumières et j'en laisse
Je suis le fantôme jersey, celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en baiser et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts de sable de la terre
Rappelle-toi ce chien de mer que nous libérions sur parole
Et qui gueule dans le désert des goémons de nécropole
Je suis sûr que la vie est là, avec ses poumons de flanelle
Quand il pleure de ces temps-là, le froid tout gris qui nous appelle
Je me souviens des soirs là-bas et des sprints gagnés sur l'écume
Cette bave des chevaux ras, au raz des rocs qui se consument
Ô l'ange des plaisirs perdus, ô rumeurs d'une autre habitude
Mes désirs, dès lors, ne sont plus
Qu'un chagrin de ma solitude
Et le diable des soirs conquis avec ses pâleurs de rescousse
Et le squale des paradis dans le milieu mouillé de mousse
Reviens fille verte des fjords, reviens violon des violonades
Dans le port fanfarent les cors, pour le retour des camarades
Ô parfum rare des salants, dans le poivre feu des gerçures
Quand j'allais, géométrisant, mon âme au creux de ta blessure
Dans le désordre de ton cul, poissé dans des draps d'aube fine
Je voyais un vitrail de plus
Et toi fille verte, mon spleen
Les coquillages figurant sous les sunlights, cassés, liquides
Jouent de la castagnette tant qu'on dirait l'Espagne livide
Dieux de granit, ayez pitié de leur vocation de parure
Quand le couteau vient s'immiscer dans leur castagnette figure
Et je voyais ce qu'on pressent quand on pressent l'entrevoyure
Entre les persiennes du sang et que les globules figurent
Une mathématique bleue, dans cette mer jamais étale
D'où me remonte peu à peu
Cette mémoire des étoiles
Cette rumeur qui vient de là, sous l'arc copain où je m'aveugle
Ces mains qui me font du fla-fla, ces mains ruminantes qui meuglent
Cette rumeur me suit longtemps comme un mendiant sous l'anathème
Comme l'ombre qui perd son temps à dessiner mon théorème
Et sous mon maquillage roux s'en vient battre comme une porte
Cette rumeur qui va debout, dans la rue, aux musiques mortes
C'est fini, la mer, c'est fini, sur la plage, le sable bêle
Comme des moutons d'infini
Quand la mer bergère m'appelle
dans cette mer 🛳 jamais étale.... ❤️ images et métaphores jamais égalées.... MERCI Mr LEO ♌.. 😘
Merci, un jour sans vous n’est pas un jour, c’est une nuit.
je ne me lasse pas de l'écouter c'est sublime tant au niveau de la musique que du texte: un miracle, à croire que cette chanson lui a été dictée par l'au-delà c'est une perfection même si "c'est extra" ou "avec le temps" vous font dresser les poils sur les bras...avec Gainsbourg Léo Ferré était le plus grand de la chanson française !!!
Il n'y a aucune comparaison.possible. Gainsbourg, c'est un nain, Léo un géant.
S Gainsbourg a eu des belles chansons bien écrites à ses débuts mais ensuite c'était bien pauvre. répétition de vers, onomatopées etc, il avait voulu paraitre plus que els autres en écrivant pour les yéyés, " manuréva" en est un exemple , répétitions . Comme dit Verlaine , Jolie à l'écoute mais aussi répétitions et onomatopées. Ferré c'st tout autre .
Quand on lit Caussimon, Leprest, Lelievre et tant d'autres Francophones on le voit bien , .
Merci à toi et quelle poète, c'est cela qui nous manques maintenant en France )):
Inégalée et inégalable.
On n'a jamais fait mieux. ❤
La perfection à l'État pur.
Avec tous mon respect a brel, aznavour, ...leo et le meilleur
Quelle beauté !
Merveilleux bouleversant
Paroles :
La marée, je l'ai dans le cœur qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite sœur, de mon enfant et de mon cygne
Un bateau, ça dépend comment on l'arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament des années lumières et j'en laisse
Je suis le fantôme jersey, celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en baiser et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts de sable de la terre
Rappelle-toi ce chien de mer que nous libérions sur parole
Et qui gueule dans le désert des goémons de nécropole
Je suis sûr que la vie est là, avec ses poumons de flanelle
Quand il pleure de ces temps-là, le froid tout gris qui nous appelle
Je me souviens des soirs là-bas et des sprints gagnés sur l'écume
Cette bave des chevaux ras, au raz des rocs qui se consument
Ô l'ange des plaisirs perdus, ô rumeurs d'une autre habitude
Mes désirs, dès lors, ne sont plus
Qu'un chagrin de ma solitude
Et le diable des soirs conquis avec ses pâleurs de rescousse
Et le squale des paradis dans le milieu mouillé de mousse
Reviens fille verte des fjords, reviens violon des violonades
Dans le port fanfarent les cors, pour le retour des camarades
Ô parfum rare des salants, dans le poivre feu des gerçures
Quand j'allais, géométrisant, mon âme au creux de ta blessure
Dans le désordre de ton cul, poissé dans des draps d'aube fine
Je voyais un vitrail de plus
Et toi fille verte, mon spleen
Les coquillages figurant sous les sunlights, cassés, liquides
Jouent de la castagnette tant qu'on dirait l'Espagne livide
Dieux de granit, ayez pitié de leur vocation de parure
Quand le couteau vient s'immiscer dans leur castagnette figure
Et je voyais ce qu'on pressent quand on pressent l'entrevoyure
Entre les persiennes du sang et que les globules figurent
Une mathématique bleue, dans cette mer jamais étale
D'où me remonte peu à peu
Cette mémoire des étoiles
Cette rumeur qui vient de là, sous l'arc copain où je m'aveugle
Ces mains qui me font du fla-fla, ces mains ruminantes qui meuglent
Cette rumeur me suit longtemps comme un mendiant sous l'anathème
Comme l'ombre qui perd son temps à dessiner mon théorème
Et sous mon maquillage roux s'en vient battre comme une porte
Cette rumeur qui va debout, dans la rue, aux musiques mortes
C'est fini, la mer, c'est fini, sur la plage, le sable bêle
Comme des moutons d'infini
Quand la mer bergère m'appelle
@ odilebams 🙏💝🙏
J ai un frisson qui me parcoure à l écoute des chansons de Léo Ferré et plus particulièrement avec celle-ci
😆 Merci de nous en offrir les paroles !
🌹Belle journée à vous
Malgré les tempêtes vécues, subies en ce début de Novembre 2023 en 🇫🇷
Dimanche 5 Novembre 2023
Leo,
au coeur, à la memóire, à porter, à transporter, à jouer, toujours!
Leo, tu nous manques !
Oui tu nous manques depuis si longtemps copain. Les nuages s estompent et le crépuscule s éteint. Le soleil et la lune palissent pour ne faire plus qu un.
La marée je l'ai dans le cœur
Qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite sœur
De mon enfant et de mon cygne
Un bateau ça dépend comment
On l'arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament
Des années-lumière et j'en laisse
Je suis le fantôme Jersey
Celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en baisers
Et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet
Où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts du sable de la terre
Rappelle-toi ce chien de mer
Que nous libérions sur parole
Et qui gueule dans le désert
Des goémons de nécropole
Je suis sûr que la vie est là
Avec ses poumons de flanelle
Quand il pleure de ces temps-là
Le froid tout gris qui nous appelle
Je me souviens des soirs là-bas
Et des sprints gagnés sur l'écume
Cette bave des chevaux ras
Au ras des rocs qui se consument
ô l'ange des plaisirs perdus
ô rumeurs d'une autre habitude
Mes désirs dès lors ne sont plus
Qu'un chagrin de ma solitude
Et le diable des soirs conquis
Avec ses pâleurs de rescousse
Et le squale des paradis
Dans le milieu mouillé de mousse
Reviens fille verte des fjords
Reviens violon des violonades
Dans le port fanfarent les cors
Pour le retour des camarades
ô parfum rare des salants
Dans le poivre feu des gerçures
Quand j'allais géométrisant
Mon âme au creux de ta blessure
Dans le désordre de ton cul
Poissé dans les draps d'aube fine
Je voyais un vitrail de plus
Et toi fille verte mon spleen
Les coquillages figurants
Sous les sunlights cassés liquides
Jouent de la castagnette tant
Qu'on dirait l'Espagne livide
Dieu des granits ayez pitié
De leur vocation de parure
Quand le couteau vient s'immiscer
Dans leur castagnette figure
Et je voyais ce qu'on pressent
Quand on pressent l'entrevoyure
Entre les persiennes du sang
Et que les globules figurent
Une mathématique bleue
Dans cette mer jamais étale
D'où nous remonte peu à peu
Cette mémoire des étoiles
Cette rumeur qui vient de là
Sous l'arc copain où je m'aveugle
Ces mains qui me font du flafla
Ces mains ruminantes qui meuglent
Cette rumeur me suit longtemps
Comme un mendiant sous l'anathème
Comme l'ombre qui perd son temps
à dessiner mon théorème
Et sur mon maquillage roux
S'en vient battre comme une porte
Cette rumeur qui va debout
Dans la rue aux musiques mortes
C'est fini la mer c'est fini
Sur la plage le sable bêle
Comme des moutons d'infini
Quand la mer bergère m'appelle
La mémoire et la mer, Léo Ferré
Merci pour les paroles🙏🙏
Merci pour ce travail d'écrire toutes les paroles
"c'est fini la mer c'est fini , sur la plage le sable bèle , comme des moutons d'infini .."
merci!
Sublimement... Triste..
Mais.. Texte Puissant...!. Léo...
👍🤎🤎🤎
Le talent tellement incroyable
Une belle Ame partie un auteur un des derniers poètes Français , ou sont ils Brel, Ferrat ,Reggiani, Brassens ,Charles Dumont, etc....cette chanson est une de ces plus mystérieuses mais magnifique ,même si je n'ai pas tout compris après des année passé merci Mr Léo.......
Le flambeau à été transmis , tu peux écouter par exemple Gérard Manset , JL murat , Diabologum , Dominique A , Dolly ..Et plein d'autres .
La poésie n' a pas toujours besoin
d' explication ~~~•°🎶
C'est mieux que magnifique.. marqué à vie par l'oeuvre de Léo !!
merci monsieur féré y'en a plus des poètes du meme niveau
Hubert Félix Thiefaine, peut être
@@lorenwerner7347 Il y en a pas mal , sauf pour la musique dont L Ferré maitrise la totalité, composition, arrangement et la direction, écoutez J Bertin, A Leprest R Desjardins etc etc et ne voyez pas que la chanson Française, la Francophone est riche mais boudée en France .
Pour cette chanson :
poème original se nommait chant N°1 GUESCLIN et venait des chants de la fureur non édité totalement à l'époque , daté du 28 octobre 1962. et 7 chansons en ont été tirées :
(La Mer noire, La Mémoire et la mer, FLB, Christie, Géométriquement tien, La Marge, Des mots)
Lorsqu'on lit Guesclin, on se rend compte de la complexité à en sortir 7 chansons sans un seul vide.
Les chants de la fureur sont peut-être complet sur le livre du même nom édité par " la mémoire et la mer" comprenant quasi toute l'œuvre écrite de Léo Ferré.
Comprends cette merveille intellectuellement c rassurent.
Thank you Léo' . L'hubert hait chez sa môme....
Très ... très belle chanson...il faut absolument écouter les paroles.
" mes désirs alors ne sont plus, qu'un chagrin de ma solitude" on peut reposer en paix après cela Léo 😎
Le temps n'est pas venu pour que tu repose en paix ^^
Il n'est pas temps de reposer , transmet ..
Je l'ai decouver à 16 ans et depuis ses pensées alimentes mes larmes
maintemant j'écris -youtube -pont du tuve
Grandissimo. Mio preferito. Rip
Quel grand Monsieur ! Poète , musicien . Il me fait rêver , pleurer , à chaque fois il m'émeut . Incomparable , en féminin peut être avec notre grande et immense Catherine Ribeiro . Léo est immortel .
Un homme d un autre monde .
Non , il n'y a qu'un seul monde , et nous y sommes ..
Ferré for ever.Grandiose.
Tu seras toujours le meilleur dans mon cœur, et pour toujours. Jo.
Je suis sidéré de constater qu'il y a si peu de gens qui ont vu et apprécié ce vidéo. Il fait partie sans doute d'une autre époque, dont je suis . Je l'ai connu j'avais 18 ans et j'en ai aujourd'hui 70. Pour moi, c'est le chanteur de la lucidité avant tout. De cette si belle chanson , apprise par coeur, elle me rappelle la Californie , où ma compagne d'alors Gaétane et moi la chantions quand nous nous ennuyions du Québec français. Elle n'a pas vieillit d'une note , ni d'un mot! J'ai pleuré le jour de sa mort en 1993, le jour même de mon anniversaire de naissance, c'est tout dire...
poème original se nommait chant N°1 GUESCLIN et venait des chants de la fureur non édité totalement à l'époque , daté du 28 octobre 1962. et 7 chansons en ont été tirées :
(La Mer noire, La Mémoire et la mer, FLB, Christie, Géométriquement tien, La Marge, Des mots)
Lorsqu'on lit Guesclin, on se rend compte de la complexité à en sortir 7 chansons sans un seul vide.
Les chants de la fureur sont peut-être complet sur le livre du même nom édité par " la mémoire et la mer" comprenant quasi toute l'œuvre écrite de Léo Ferré.
Sylvain Lelièvre avait fait une chanson en 94 " je descend à la mer" , pour moi il rendait hommage à L Ferré.
I understand ,mon frere est mort ,et j ecoute Léo
Ahhhhh, raaaa, lovli, la poésie est partout, mais on ne la voit toujours. Est ce que l'aveugle fait disparaître les couleurs que donne le soleil ?
J'espère bien que non, méme si l'aveugle y met beaucoup de moyens , rappelle toi que méme à auschwitz des gens s'aimaient .
toutes les chanson de Léo sont belles..celle ci me touche particulièrement merci
J 'ai ses vidéo