Vraiment les gens ici n’ont pas compris que c’est pas un cours de musique et que ça n’est presque pas pour les musiciens c’est un cours de philosophie sur des concepts physique qui traite de la musique c’est une grande différence
you can get the english subtitles by clicking on the small wheel down right side of the video, and then on subtitle and chose english. then you click on "auto translate" and a list of languages open and you chose english. its like that for all videos on youtube.
L'harmonie des sphères existait déjà au moyen-âge. Elle renvoie à la conception aristotélicienne de l'univers, alors prédominante. On le constate chez Ockeghem (qui composa de véritables "cathédrales sonores" à quinze voix), puis chez Josquin. Pour le reste, il n'y a pas de véritable rupture entre le "moyen-âge" et la "renaissance"; le contrepoint du moyen-âge (exclusivement vocal) n'était pas uniquement horizontal, il donnait lieu à des "rencontres" entre les voix, rencontres qui ont très progressivement donné naissance à l'harmonie telle que nous la concevons aujourd'hui. La véritable révolution fut l'autonomisation de la mélodie, qui se détacha des autres voix, ces dernières en devenant juste l'accompagnement. Mais il y avait déjà cela en germe dans la polyphonie médiévale, avec la teneur (voix principale, qui deviendra plus tard la voix ténor). Mais l'aspect horizontal de la musique n'a jamais été perdu (en tous cas dans la musique savante, contemporaine ou jazz). Un bon musicien n'enchaîne pas les accords n'importe comment, il est attentif à la conduite des voix dans l'harmonie (vestige de l'ancien contrepoint).
Le cycle des quartes est évoqué plusieurs fois par gilles Deleuze par la sous-dominante. Cela pourrait laisser supposer que la dominante est la première dissonance pour le contrepoint. Les esprits forts agissent comme des pôles d´attractions. Le philosophe joue les ingénus espiègles et hypocrites. Le cours s´achève sur la réalité bureaucratique et politique qui se tamponne le coquillard des élucubrations des penseurs et des artistes. Les orgues de Staline en témoignent encore comme une résonance assourdissante. Cordialement.
Le cycle des quartes EST le cycle des quintes ! La sous-dominante est la dominante du dessous (quinte descendante) , et la dominante qui est la quinte du dessus. Mais pour qu'il y ait dominante il faut la dissonance de la 7me harmonique, avec le diabolus in musica -quarte augmentée- qui l'on ne sait pas expliquer et qui doit se résoudre ... (voir Jacques Chailley). Il ne faut pas confondre la sous-dominante (dominante du dessous) et la pré-dominante qui prépare la dominante par l'élision de la tonique.
***** si on parle des tonalitès alors chaques note peut être une dominante dans une tonalitè et une tonique dans une autre et si on èlimine le temps une dominante c'est une tonique et une tonique c'est une dominante à la fois, il n'y aura plus de tonalitè il y'aura un tout....le temps comme d'habitude il gâche tout.... je trouve un peu bizarre que des philosophe parlent sur la musique avec ce savoir et cette sagesse...
La dominante vient des harmoniques, elle est la première harmonique après l'octave et donc la note la plus stable après l'octave. Mais c'est par le mouvement 5-1, dominante tonique, qu'une note est entendue comme tonique.
Nous voici ici dans le domaine crucial de l'harmonie des sphères. Tout cela renvoie évidemment à l'astrologie car il s'agit de bien comprendre que l'univers est son depuis le début (AUM) et que, chez l'homme en involution (matérialisation de l'esprit) on ne reproduit que les mouvements des astres (désastre) puis, lors de l'évolution (spiritualisation de la matière) le cosmos danse sur chacun de nos actes. C'est un orchestre qui suit la partition puis part en improvisation ... sachant que chaque émotion malvenue produira une fausse note. ... malheureusement tout cela est encore bien occulte.
Sui Generis oui;j avais commence a me faire une sorte d inventaire des oeuvres qui appartiennent au cosmos pour mon usage personnel;une des plus fondamentales pour moi etant la toccata de durufle.
Tout cela renvoie évidemment à l'astrologie >non. la méthode n'a jamais été de chercher ce qu'on veut trouver. Par ailleurs, personne n'est là pour être instruit par un commentaire. le contrepoint se joue ailleurs. Par delà les égos. Nisarghadatta Maharaj, ça te parle ? Je sens que ça va te parler. Paracelse parlait de 'l'ivrogne astral", celui qui se saoule à l'ésotérisme. Les écoles modernes ont acté contre cette tendance. Faut update.
Deleuze ne s'adresse pas à monsieur tout le monde. En revanche le tout venant se permet de le critiquer... En tout cas son auditoire et ses élèves le comprennent et le suivent.
Bah évidemment Vraiment les gens ici n’ont pas compris que c’est pas un cours de musique et que ça n’est presque pas pour les musiciens c’est un cours de philosophie sur des concepts physique qui traite de la musique c’est une grande différence
L’ordinaire des intellos c’est de s’inscrire dans la discutions ... pour un bla bla des voix vers des voix etc . Dans une seule note il y a déjà d’autre notes dites des harmoniques...qui préexistent à l’instrumentation du son contemporain quoique l’expérience humaine dans le temps et qui n’est pas historique peut avoir toujours existé intuitivement. L’école de musique façonne l’information qui est une spécialisation du décryptage sonore et/ou un conditionnement behavioral . Nous n’inventons pas l’homme, nous inventons des dissociations personnelles comme chaque individu se distingue de et des autres jusqu’à correspondre à plusieurs autres et c’est ainsi que s’établit l’harmonie et qui est la découverte du naturel inné intrinsèque préexistant etc . L’essentiel est révélation .... et plus nous nous distinguons plus l’apparente discordance augmente par juxtaposition d’information distincte et plus de nouvelles harmonies apparaissent par intégrations subséquentes etc etc etc ... la dissociation récurrentiel .... la dissociation intégrative ... c’est un jeu fondamental de l’esprit et de ses différentes constituante hierarchiso-autointégrées .... PROPHÈTEDUNASG
Il répète "machination", "machination", "machination".... Deleuze a l'art d'utiliser des termes décalés (celui-ci vaguement inspiré de Heidegger) qui suggèrent qu'il y a dans son discours quelque chose d'inédit, alors qu'il n'y a rien du tout. Il veut dire "agencement" (d'ailleurs il le dit aussi), composition, bref rien d'original. La musique, les sons, on les compose, on les agence, ils ne se "machinent" pas. Si vous dites que la musique se machine, ou qu'elle est machinée, ouh là là, vous avez l'impression de rentrer dans une zone inédite de la pensée sur la musique, et puis... non.
Parce que tu n’as pas tout le cours ici c’est un extrait de 1h de tout son programme de l’année donc forcément on sait pas tjrs de quoi il parle mais c’est l’effet déléguée on a envie de tout comprendre
Deleuze era sicuramente molto simpatico e una grande persona dal punto di vista umano, ma raga questi sono 54 minuti di parole a vanvera in cui non si dice assolutamente nulla..
Per gli uditori del tempo invece era perfettamente comprensibile. In Francia si studiava tantissima fenomenologia, corrente che della musica si era spesso occupata. Loro era l'idea che la melodia è contrazione tramite la ritenzione di temporalità differenti (all'istante t1 sento la nota x, a t2 sento la nota y, a t3 z... la melodia è possibile solo se una coscienza trattiene e concatena in senso temporale queste note). Questa è la spiegazione fenomenologica, ma era dal medioevo che si pensava la melodia in questo stesso senso. L'accordo invece era pensato come sovrapposizione di suoni, tra i quali uno o più, in modo costante o a turno, spiccavano (la cosiddetta nota «dominante»). Da queste concezioni nascono opere e interi stili compositivi. Deleuze, all'epoca, cercava di trarre dei concetti da queste vicende artistiche da impiegare in altri campi, per esempio nello studio del sociale (armonia, accordo, dominante... Sono concetti che si ritrovano anche in filosofia politica nel contrattualismo moderno). Se come ricorda qualcuno nei commenti alcuni canti gregoriani sono stati sviluppati a partire dall'idea aristotelica dell'armonia della rotazione delle sfere, perché non provare a sviluppare un'armonia senza accordo, come sembra essere per esempio la filosofia di Leibniz, al quale in realtà è dedicato il corso dal quale è stata estratta questa lezione? Per rispondere concretamente a cio che scrivi, ho cercato di mostrarti come in questa lezione deleuze stia cercando di estrapolare dei concetti dalla teoria musicale (linea orizzontale/verticale, armonia, accordo...) che potranno essere adoperati in altri contesti teorici. Diciamo che questo è il senso generalissimo della sua intera filosofia. Per gli auditori del tempo era più facile che per noi, perché comunque deleuze si sta appoggiando su alcune idee che erano diffuse al tempo (fenomenologia, strutturalismo...) e vocaboli e autori che facevano parte del vocabolario standard dello studente universitario francese
Je pense que le philosophe s' occupe bien moins du savoir (des connaisances) que du fait de les mettre en ordre de manière cohérente (et d'une manière de les interpréter).le philosophe s' occupe de comprendre et bien moins d'apprendre
pour tenter tout simplement un petit et modeste essai de "pensée", faire silence et mettre en ordre ses propres synthèses critiques, avant de proférer un son, une écriture, requiert un tout petit effort...
Merci c'est aussi l'impression que j'ai, j'ai beau suivre avec attention son raisonnement, je trouve que c'est de la divagation. Je comprend que certains aiment écouter ça mais je n'y trouve rien de très pertinent et utile.
Vraiment les gens ici n’ont pas compris que c’est pas un cours de musique et que ça n’est presque pas pour les musiciens c’est un cours de philosophie sur des concepts physique qui traite de la musique c’est une grande différence
Vraiment les gens ici n’ont pas compris que c’est pas un cours de musique et que ça n’est presque pas pour les musiciens c’est un cours de philosophie sur des concepts physique qui traite de la musique c’est une grande différence
Fenomenal esse excepcional filósofo e professor
Can someone please create English captions for this video
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L'harmonie des sphères existait déjà au moyen-âge. Elle renvoie à la conception aristotélicienne de l'univers, alors prédominante. On le constate chez Ockeghem (qui composa de véritables "cathédrales sonores" à quinze voix), puis chez Josquin. Pour le reste, il n'y a pas de véritable rupture entre le "moyen-âge" et la "renaissance"; le contrepoint du moyen-âge (exclusivement vocal) n'était pas uniquement horizontal, il donnait lieu à des "rencontres" entre les voix, rencontres qui ont très progressivement donné naissance à l'harmonie telle que nous la concevons aujourd'hui. La véritable révolution fut l'autonomisation de la mélodie, qui se détacha des autres voix, ces dernières en devenant juste l'accompagnement. Mais il y avait déjà cela en germe dans la polyphonie médiévale, avec la teneur (voix principale, qui deviendra plus tard la voix ténor). Mais l'aspect horizontal de la musique n'a jamais été perdu (en tous cas dans la musique savante, contemporaine ou jazz). Un bon musicien n'enchaîne pas les accords n'importe comment, il est attentif à la conduite des voix dans l'harmonie (vestige de l'ancien contrepoint).
oui comme il y a une filiation direct entre Scarlatti et Masami akita!....:)
2:57 O cara ali do lado de óculos escuros. Rs
vraiment ce garçon n'a pas grand chose à dire ce jour là !
Deleuzedeleuse
Le cycle des quartes est évoqué plusieurs fois par gilles Deleuze par la sous-dominante. Cela pourrait laisser supposer que la dominante est la première dissonance pour le contrepoint. Les esprits forts agissent comme des pôles d´attractions. Le philosophe joue les ingénus espiègles et hypocrites. Le cours s´achève sur la réalité bureaucratique et politique qui se tamponne le coquillard des élucubrations des penseurs et des artistes. Les orgues de Staline en témoignent encore comme une résonance assourdissante. Cordialement.
tellement, réducteur , et si loin de la vérité ,
Le cycle des quartes EST le cycle des quintes ! La sous-dominante est la dominante du dessous (quinte descendante) , et la dominante qui est la quinte du dessus. Mais pour qu'il y ait dominante il faut la dissonance de la 7me harmonique, avec le diabolus in musica -quarte augmentée- qui l'on ne sait pas expliquer et qui doit se résoudre ... (voir Jacques Chailley). Il ne faut pas confondre la sous-dominante (dominante du dessous) et la pré-dominante qui prépare la dominante par l'élision de la tonique.
si la dominante donnait naissance á la tonique alors la dominante vient d'où?
Elle vient de nulle part :-D
Med Mahogany Je pense que la dominante comme définie par la tonalité nait des principes physiques de la musique, tout comme les harmoniques. :)
***** si on parle des tonalitès alors chaques note peut être une dominante dans une tonalitè et une tonique dans une autre et si on èlimine le temps une dominante c'est une tonique et une tonique c'est une dominante à la fois, il n'y aura plus de tonalitè il y'aura un tout....le temps comme d'habitude il gâche tout....
je trouve un peu bizarre que des philosophe parlent sur la musique avec ce savoir et cette sagesse...
C'est par la dominante que la tonique va être perçu comme telle, après-coup.
La dominante vient des harmoniques, elle est la première harmonique après l'octave et donc la note la plus stable après l'octave.
Mais c'est par le mouvement 5-1, dominante tonique, qu'une note est entendue comme tonique.
Le bonhomme avec ses lunettes noires on dirait Bernard Blier.
Nous voici ici dans le domaine crucial de l'harmonie des sphères. Tout cela renvoie évidemment à l'astrologie car il s'agit de bien comprendre que l'univers est son depuis le début (AUM) et que, chez l'homme en involution (matérialisation de l'esprit) on ne reproduit que les mouvements des astres (désastre) puis, lors de l'évolution (spiritualisation de la matière) le cosmos danse sur chacun de nos actes.
C'est un orchestre qui suit la partition puis part en improvisation ... sachant que chaque émotion malvenue produira une fausse note.
... malheureusement tout cela est encore bien occulte.
Sui Generis oui;j avais commence a me faire une sorte d inventaire des oeuvres qui appartiennent au cosmos pour mon usage personnel;une des plus fondamentales pour moi etant la toccata de durufle.
et vous aussi ,si obscur !
C'est incroyable de réintroduire ainsi de la transcendance chez un penseur de l'immanence.
@@e.d.1642
... les deux faces d'une même pièce.
Tout cela renvoie évidemment à l'astrologie
>non.
la méthode n'a jamais été de chercher ce qu'on veut trouver.
Par ailleurs, personne n'est là pour être instruit par un commentaire.
le contrepoint se joue ailleurs. Par delà les égos.
Nisarghadatta Maharaj, ça te parle ?
Je sens que ça va te parler.
Paracelse parlait de 'l'ivrogne astral", celui qui se saoule à l'ésotérisme.
Les écoles modernes ont acté contre cette tendance.
Faut update.
Voit étoiles plan fric
Développe
Deleuze ne s'adresse pas à monsieur tout le monde. En revanche le tout venant se permet de le critiquer... En tout cas son auditoire et ses élèves le comprennent et le suivent.
Bah évidemment Vraiment les gens ici n’ont pas compris que c’est pas un cours de musique et que ça n’est presque pas pour les musiciens c’est un cours de philosophie sur des concepts physique qui traite de la musique c’est une grande différence
Fin métaphysique plutôt
L’ordinaire des intellos c’est de s’inscrire dans la discutions ... pour un bla bla des voix vers des voix etc . Dans une seule note il y a déjà d’autre notes dites des harmoniques...qui préexistent à l’instrumentation du son contemporain quoique l’expérience humaine dans le temps et qui n’est pas historique peut avoir toujours existé intuitivement. L’école de musique façonne l’information qui est une spécialisation du décryptage sonore et/ou un conditionnement behavioral . Nous n’inventons pas l’homme, nous inventons des dissociations personnelles comme chaque individu se distingue de et des autres jusqu’à correspondre à plusieurs autres et c’est ainsi que s’établit l’harmonie et qui est la découverte du naturel inné intrinsèque préexistant etc . L’essentiel est révélation .... et plus nous nous distinguons plus l’apparente discordance augmente par juxtaposition d’information distincte et plus de nouvelles harmonies apparaissent par intégrations subséquentes etc etc etc ... la dissociation récurrentiel .... la dissociation intégrative ... c’est un jeu fondamental de l’esprit et de ses différentes constituante hierarchiso-autointégrées .... PROPHÈTEDUNASG
erreur sur la date, en 1987 ça faisait longtemps que Vincennes n'existait plus…ce doit être plutôt un cours de 1979/80
il n'y a pas d'erreur, au fait on a continué à parler de Vincennes même après sa destruction, ou bien "Vincennes à St. Denis".
C'était le dernier cours de Vincennes-St dénis!
@@richardpinhas8791 Ah voilà merci Richard, je n'ai été qu'à Vincennes-Vincennes, je ne comprenais pas.
Il répète "machination", "machination", "machination".... Deleuze a l'art d'utiliser des termes décalés (celui-ci vaguement inspiré de Heidegger) qui suggèrent qu'il y a dans son discours quelque chose d'inédit, alors qu'il n'y a rien du tout. Il veut dire "agencement" (d'ailleurs il le dit aussi), composition, bref rien d'original. La musique, les sons, on les compose, on les agence, ils ne se "machinent" pas. Si vous dites que la musique se machine, ou qu'elle est machinée, ouh là là, vous avez l'impression de rentrer dans une zone inédite de la pensée sur la musique, et puis... non.
L’ensemble est très brouillon
Parce que tu n’as pas tout le cours ici c’est un extrait de 1h de tout son programme de l’année donc forcément on sait pas tjrs de quoi il parle mais c’est l’effet déléguée on a envie de tout comprendre
Deleuze era sicuramente molto simpatico e una grande persona dal punto di vista umano, ma raga questi sono 54 minuti di parole a vanvera in cui non si dice assolutamente nulla..
Per gli uditori del tempo invece era perfettamente comprensibile. In Francia si studiava tantissima fenomenologia, corrente che della musica si era spesso occupata. Loro era l'idea che la melodia è contrazione tramite la ritenzione di temporalità differenti (all'istante t1 sento la nota x, a t2 sento la nota y, a t3 z... la melodia è possibile solo se una coscienza trattiene e concatena in senso temporale queste note). Questa è la spiegazione fenomenologica, ma era dal medioevo che si pensava la melodia in questo stesso senso. L'accordo invece era pensato come sovrapposizione di suoni, tra i quali uno o più, in modo costante o a turno, spiccavano (la cosiddetta nota «dominante»). Da queste concezioni nascono opere e interi stili compositivi. Deleuze, all'epoca, cercava di trarre dei concetti da queste vicende artistiche da impiegare in altri campi, per esempio nello studio del sociale (armonia, accordo, dominante... Sono concetti che si ritrovano anche in filosofia politica nel contrattualismo moderno). Se come ricorda qualcuno nei commenti alcuni canti gregoriani sono stati sviluppati a partire dall'idea aristotelica dell'armonia della rotazione delle sfere, perché non provare a sviluppare un'armonia senza accordo, come sembra essere per esempio la filosofia di Leibniz, al quale in realtà è dedicato il corso dal quale è stata estratta questa lezione?
Per rispondere concretamente a cio che scrivi, ho cercato di mostrarti come in questa lezione deleuze stia cercando di estrapolare dei concetti dalla teoria musicale (linea orizzontale/verticale, armonia, accordo...) che potranno essere adoperati in altri contesti teorici. Diciamo che questo è il senso generalissimo della sua intera filosofia.
Per gli auditori del tempo era più facile che per noi, perché comunque deleuze si sta appoggiando su alcune idee che erano diffuse al tempo (fenomenologia, strutturalismo...) e vocaboli e autori che facevano parte del vocabolario standard dello studente universitario francese
Là comme partout ailleurs chez Deleuze, le verbiage remplace le savoir.
Je pense que le philosophe s' occupe bien moins du savoir (des connaisances) que du fait de les mettre en ordre de manière cohérente (et d'une manière de les interpréter).le philosophe s' occupe de comprendre et bien moins d'apprendre
tiens, un idiot qui veut faire l'intelligent. Surprise!
si vous n'avez retenu que le "verbiage" c'est que vous n'avez retenu rien du tout.
pour tenter tout simplement un petit et modeste essai de "pensée", faire silence et mettre en ordre ses propres synthèses critiques, avant de proférer un son, une écriture, requiert un tout petit effort...
Merci c'est aussi l'impression que j'ai, j'ai beau suivre avec attention son raisonnement, je trouve que c'est de la divagation. Je comprend que certains aiment écouter ça mais je n'y trouve rien de très pertinent et utile.
Vraiment les gens ici n’ont pas compris que c’est pas un cours de musique et que ça n’est presque pas pour les musiciens c’est un cours de philosophie sur des concepts physique qui traite de la musique c’est une grande différence
Fin métaphysique plutôt