Supposons qu'on a du capital humain qualifié et les technologies nécessaires que ce que on fait pour l'eau ? A votre information la quantité d'eau nécessaire pour produire 1 kg de blé en zone tempérée est estimée à 590 litres d'eau, au Maroc c'est encore plus
Une vanne peut être placée entre les turbines et le condenseur pour dévier la vapeur d'eau vers l'électrolyse. Maintenant que nous avons la feuille de route, voyons le démarreur pour y mettre de l'eau et du gaz naturel. À 8 h nous ouvrons le robinet d'eau pour le chauffer par l'énergie solaire concentrée jusqu'à l'évaporation de l'eau et atteindre 400 °C. Puis nous ouvrons le robinet du gaz naturel et lui mettre le feu pour porter la chaleur de la vapeur d'eau à 700 °C. Cette vapeur sera utilisée par des turbines pour produire de l'électricité. Ensuite, elle passe à l'électrolyse séparant l'oxygène de l'hydrogène. Cette dernière, traversant le filtre, déjoue le passage des gros atomes d'oxygène. Ce filtre ne peut être que la différence entre le poids d'oxygène extraite du milieu de l'électrolyse, le poids de vapeur d'eau en bas où elle est introduite et le poids d'hydrogène extraite en haut du l'électrolyse. La pression à la sortie de l'oxygène devrait être légèrement supérieure à la pression dans la sortie de l'hydrogène, d’ailleurs favorable pour empêcher l’hydrogène d'accompagner l'oxygène. D'où la nécessité d'un électrolyse de grande hauteur. Les turbines et l’alternateur produisent le courant électrique. Ce courant bien qu'il est de puissance en GWATT, il est très demandé pour les pompages, les refroidissements et une contribution au réchauffement, ainsi que le chargement des H+ et dechargemement des O-2 dans l'electrolyse. Ce n'est pas fini, pensons à la production de l'Azote qui nécessite le refroidissement de l’air à -200 °C. Nous finirons par la production des acides sulfurique, phosphorique et nitrique. Et voilà pour les engrais phosphatés, azotés et le pain délicieux pour l'Afrique. L'économie de l'énergie est dans le rendement de sa production. Voilà pourquoi placer une pompe centrifuge inversée entre la station solaire et le four à gaz naturel ainsi qu’une autre pompe au-delà de l'électrolyse qui devrait être aussi centrifuge inversée et ce pour contribuer à la production du courant électrique en plus de la turbine à vapeur sans condenseur. Le condenseur peut être retrouvé à la sortie de l'oxygène et l'eau de refroidissement devrait être reconduite vers les plaques solaires. L'azote de température environ -195 °C doit être introduite en melange avec l'hydrogène avant la pompe centrifuge inversée qui a le rôle d'aspirer l'azote et récompenser la baisse de pression due au refroidissement de l'hydrogène par l'azote. Le courant électrique récupéré des pompes centrifuge inversées serait réutilisé dans l'électrolyse. la pression du mélange de l’hydrogène et de l’azote devrait être de l’ordre de 200 bar et sa température supérieure à 400°C pour un bon rendement en ammoniac liquide (H2 et N2 résiduels seraient recyclés. L’électrolyse serait dimensionner de sorte qu’ 1/2 de sa hauteur pour la vapeur d'eau, ses 3/8 pour l'oxygène et 1/8 restant pour l'hydrogène. Cette hauteur dépend du débit de la vapeur à l'entrée. La section de sa base dépend de la tension. Il est vrai que ne nous pouvons pas augmenter le rendement des turbines indéfiniment. Il y a un rendement maximal. Cependant, la température de la vapeur d'eau dans l'électrolyse est importante pour un bon rendement en H2 et O2. Au delà de l'électrolyse, la pression et la température se complètent pour le rendement de production de l'ammoniac. (Placer le four à gaz après les turbines réduit 2 fois leur rendement). Pour améliorer le rendement des turbines, il est recommandé de favoriser la perte de pression à la sortie de l'hydrogène et de l'oxygène et compléter la température au delà de l'électrolyse par l'augmentation de la pression, moyennant la pompe. L'oxygène refroidit par condenseur ou ventilateur et l'eau en raison d'accompagnement possible de peu d'hydrogène serait retirée en bas du réservoir du stockage provisoire. En effet, la chaleur affaiblie la molécule d'eau et la différence de potentiel entre la cathode (qui attire les ions H+) et l'anode (qui attire les ions O-2) favorise la rupture de la molécule. Le placement de la sortie de l'oxygène de côté de l'anode et la sortie de l'hydrogène de côté de la cathode est recommandé. Plus la tension du courant augmente les forces d'attractions aussi. Plus l'intensité du courant augmente, la consommation d'énergie par réchauffement de la vapeur augmente aussi suivant la loi P = R×I×I (avec R, la résistance de l'eau qui est d'ailleurs faible). D'où l'avantage dans le choix de l'électrolyse de grande hauteur et de petite base pour s'approcher de l'étincelle et l'agrandir dans la moitié supérieure pour éloigner la sortie de l'oxygène de celle de l'hydrogène. (Sinon, retirer le mélange de l'hydrogène et de l'oxygène dans un autre réservoir de separation immédiate avant de se refroidir, mais déconseillé). Il est à noter que la réaction thermochimique commence à haute température (entre 850 à 900 °C) pour devenir complète vers 2500 °C. D'où le rôle de l'électrolyse pour économiser sur les calories. Conclusion: placer une résistance électrique étanche dans un noyau en bas de l’électrolyse pour réchauffer la vapeur d'eau. Cette résistance reliée à une source de courant alternatif remplace la résistance de l'eau qui est faible et la tension du courant alternatif augmente au détriment de l'intensité. La cathode et l'anode placéés dans la moitié de la hauteur réservée à la vapeur peuvent répondre au bon rendement par la rupture des molécules d'eau et en même temps charger les ions H+ et décharger les ions O-2. Un système d'alerte devrait être mis en place pour contrôler les pressions aux différents points sensibles. Une vanne peut être placée entre les turbines et le condenseur pour dévier la vapeur d'eau vers l'électrolyse. Cette prise doit être commandée par une deuxième vanne dans le but d'isoler la station thermique de production d'électricité de la station de production d'hydrogène donc de l'ammoniac. Dans ce cas, un ventilateur peut suffir pour refroidir l'oxygène.
Tant qu'on n'aura pas des gains de productivité au niveau de notre tissu économique, l'inflation restera installer pour au moins 10 ans. Une pensée pour le coût énergétique qui alimente l'inflation.
Il ne pleut pas assez au Maroc, donc le blé ne peux pas pousser en grosse quantité. Pour les exportations la raison est simple le Maroc a besoin de dollars et donc de devises pour acheter du pétrole. On pourrait gagner un plus value avec les produits transformés sur place.
IL PLEUT PAS, MAIS LES JUIFS SIONISTES TROUVENT LE PLAISIR de PLANTER DES ARBRES D'AVOCATS QUI CONSOMME BEAUCOUP D'EAU MAIS ILS LE FONT JAMAIS EN ISRAEL POUR PRESERVER L'EAU, le peuple marocain se trouve dans un profond sommeil, il faut qu'il se reveille avant que ça sera trop tard.
Le chef du gouvernement qui nous a promis monts et merveilles sans tenir jusqu'à présent la plupart de ses promesses , continue à nous mentir sans vergogne et parle de souveraineté alimentaire alors que tt le monde sait qu'on n'est même pas près de réaliser la simple " sécurité alimentaire "
Vodeo intéressante car elle attire l'attention sur les problemes avenir de la souveraineté et la sécurité alimentaire du Maroc mais a mon avis est valable pour tout le Maghreb. Dans les proposition de solutions vous semblez oublier un point important qui est le model de consation des Maghrebins gros consommateurs de blé q'il ne produise pas en quantite suffisante meme pas la moitie de leur consommation Donc on doit changer norte midel de consomation avec plus de fruit et de légumes. Aussi il me semble qu'il ya une erreure dans les chiffres des taux de rendements a l'hectare. La moyenne au maghreb est de 20 quintaux a l'hectares et non 9qtx/h il y a des region jusqu'à 40 qt/h quant au pays du nord c'est trois fois plus. Un autre probleme de taille qui n'a pas ete abordé c'est la semence et surtout la semence d'origine d'Afrique du nord qui resiste mieux a la secheresse. Enfin un autre point difficile a traiter pourtant important c'est la création de la synergie agricole entre les pays du Maghreb. Algerie
Le problème c'est de consommer du blé dans un pays où il ne pousse pas, même en digitalisant toute l'agriculture, d'autres produits resteront plus adaptés au terroir marocain que le blé
Le problème se n'est pas la production mais le non contrôle des produits exporter se qui appauvri le marché intérieur !! Mais qui va contrôler Mohamed 6 qui est le plus gros exportateur avec sa société les domaines agricoles !! Miskine il est en hass amir kadouss
Merci monsieur Achachi, c'est très pertinent, il faut repenser totalement notre modèle agricole et nos priorités dans ce domaine.
excellent comme toujours .
Supposons qu'on a du capital humain qualifié et les technologies nécessaires que ce que on fait pour l'eau ? A votre information la quantité d'eau nécessaire pour produire 1 kg de blé en zone tempérée est estimée à 590 litres d'eau, au Maroc c'est encore plus
Une vanne peut être placée entre les turbines et le condenseur pour dévier la vapeur d'eau vers l'électrolyse.
Maintenant que nous avons la feuille de route, voyons le démarreur pour y mettre de l'eau et du gaz naturel. À 8 h nous ouvrons le robinet d'eau pour le chauffer par l'énergie solaire concentrée jusqu'à l'évaporation de l'eau et atteindre 400 °C. Puis nous ouvrons le robinet du gaz naturel et lui mettre le feu pour porter la chaleur de la vapeur d'eau à 700 °C. Cette vapeur sera utilisée par des turbines pour produire de l'électricité. Ensuite, elle passe à l'électrolyse séparant l'oxygène de l'hydrogène. Cette dernière, traversant le filtre, déjoue le passage des gros atomes d'oxygène. Ce filtre ne peut être que la différence entre le poids d'oxygène extraite du milieu de l'électrolyse, le poids de vapeur d'eau en bas où elle est introduite et le poids d'hydrogène extraite en haut du l'électrolyse. La pression à la sortie de l'oxygène devrait être légèrement supérieure à la pression dans la sortie de l'hydrogène, d’ailleurs favorable pour empêcher l’hydrogène d'accompagner l'oxygène. D'où la nécessité d'un électrolyse de grande hauteur.
Les turbines et l’alternateur produisent le courant électrique. Ce courant bien qu'il est de puissance en GWATT, il est très demandé pour les pompages, les refroidissements et une contribution au réchauffement, ainsi que le chargement des H+ et dechargemement des O-2 dans l'electrolyse. Ce n'est pas fini, pensons à la production de l'Azote qui nécessite le refroidissement de l’air à -200 °C. Nous finirons par la production des acides sulfurique, phosphorique et nitrique. Et voilà pour les engrais phosphatés, azotés et le pain délicieux pour l'Afrique.
L'économie de l'énergie est dans le rendement de sa production. Voilà pourquoi placer une pompe centrifuge inversée entre la station solaire et le four à gaz naturel ainsi qu’une autre pompe au-delà de l'électrolyse qui devrait être aussi centrifuge inversée et ce pour contribuer à la production du courant électrique en plus de la turbine à vapeur sans condenseur. Le condenseur peut être retrouvé à la sortie de l'oxygène et l'eau de refroidissement devrait être reconduite vers les plaques solaires.
L'azote de température environ -195 °C doit être introduite en melange avec l'hydrogène avant la pompe centrifuge inversée qui a le rôle d'aspirer l'azote et récompenser la baisse de pression due au refroidissement de l'hydrogène par l'azote. Le courant électrique récupéré des pompes centrifuge inversées serait réutilisé dans l'électrolyse.
la pression du mélange de l’hydrogène et de l’azote devrait être de l’ordre de 200 bar et sa température supérieure à 400°C pour un bon rendement en ammoniac liquide (H2 et N2 résiduels seraient recyclés.
L’électrolyse serait dimensionner de sorte qu’ 1/2 de sa hauteur pour la vapeur d'eau, ses 3/8 pour l'oxygène et 1/8 restant pour l'hydrogène. Cette hauteur dépend du débit de la vapeur à l'entrée. La section de sa base dépend de la tension.
Il est vrai que ne nous pouvons pas augmenter le rendement des turbines indéfiniment. Il y a un rendement maximal. Cependant, la température de la vapeur d'eau dans l'électrolyse est importante pour un bon rendement en H2 et O2. Au delà de l'électrolyse, la pression et la température se complètent pour le rendement de production de l'ammoniac.
(Placer le four à gaz après les turbines réduit 2 fois leur rendement).
Pour améliorer le rendement des turbines, il est recommandé de favoriser la perte de pression à la sortie de l'hydrogène et de l'oxygène et compléter la température au delà de l'électrolyse par l'augmentation de la pression, moyennant la pompe. L'oxygène refroidit par condenseur ou ventilateur et l'eau en raison d'accompagnement possible de peu d'hydrogène serait retirée en bas du réservoir du stockage provisoire.
En effet, la chaleur affaiblie la molécule d'eau et la différence de potentiel entre la cathode (qui attire les ions H+) et l'anode (qui attire les ions O-2) favorise la rupture de la molécule. Le placement de la sortie de l'oxygène de côté de l'anode et la sortie de l'hydrogène de côté de la cathode est recommandé. Plus la tension du courant augmente les forces d'attractions aussi. Plus l'intensité du courant augmente, la consommation d'énergie par réchauffement de la vapeur augmente aussi suivant la loi P = R×I×I (avec R, la résistance de l'eau qui est d'ailleurs faible). D'où l'avantage dans le choix de l'électrolyse de grande hauteur et de petite base pour s'approcher de l'étincelle et l'agrandir dans la moitié supérieure pour éloigner la sortie de l'oxygène de celle de l'hydrogène. (Sinon, retirer le mélange de l'hydrogène et de l'oxygène dans un autre réservoir de separation immédiate avant de se refroidir, mais déconseillé).
Il est à noter que la réaction thermochimique commence à haute température (entre 850 à 900 °C) pour devenir complète vers 2500 °C. D'où le rôle de l'électrolyse pour économiser sur les calories.
Conclusion: placer une résistance électrique étanche dans un noyau en bas de l’électrolyse pour réchauffer la vapeur d'eau. Cette résistance reliée à une source de courant alternatif remplace la résistance de l'eau qui est faible et la tension du courant alternatif augmente au détriment de l'intensité. La cathode et l'anode placéés dans la moitié de la hauteur réservée à la vapeur peuvent répondre au bon rendement par la rupture des molécules d'eau et en même temps charger les ions H+ et décharger les ions O-2.
Un système d'alerte devrait être mis en place pour contrôler les pressions aux différents points sensibles.
Une vanne peut être placée entre les turbines et le condenseur pour dévier la vapeur d'eau vers l'électrolyse. Cette prise doit être commandée par une deuxième vanne dans le but d'isoler la station thermique de production d'électricité de la station de production d'hydrogène donc de l'ammoniac. Dans ce cas, un ventilateur peut suffir pour refroidir l'oxygène.
?????
@@tefotefo1
ሪሪሪሪሪ
Merci beaucoup , pour ces informations
Tant qu'on n'aura pas des gains de productivité au niveau de notre tissu économique, l'inflation restera installer pour au moins 10 ans.
Une pensée pour le coût énergétique qui alimente l'inflation.
Tjrs pertinent
Il ne pleut pas assez au Maroc, donc le blé ne peux pas pousser en grosse quantité. Pour les exportations la raison est simple le Maroc a besoin de dollars et donc de devises pour acheter du pétrole. On pourrait gagner un plus value avec les produits transformés sur place.
IL PLEUT PAS, MAIS LES JUIFS SIONISTES TROUVENT LE PLAISIR de PLANTER DES ARBRES D'AVOCATS QUI CONSOMME BEAUCOUP D'EAU MAIS ILS LE FONT JAMAIS EN ISRAEL POUR PRESERVER L'EAU, le peuple marocain se trouve dans un profond sommeil, il faut qu'il se reveille avant que ça sera trop tard.
Le chef du gouvernement qui nous a promis monts et merveilles sans tenir jusqu'à présent la plupart de ses promesses , continue à nous mentir sans vergogne et parle de souveraineté alimentaire alors que tt le monde sait qu'on n'est même pas près de réaliser la simple " sécurité alimentaire "
Les souverainetés alimentaire, énergétique, sécuritaire et militaire devraient être au coeur des préoccupations du gouvernement.
La volonté des élus et de la hiérarchie gouvernante pour un Maroc souvrain alimentairement me semble maigre ou inexistente.
Vodeo intéressante car elle attire l'attention sur les problemes avenir de la souveraineté et la sécurité alimentaire du Maroc mais a mon avis est valable pour tout le Maghreb.
Dans les proposition de solutions vous semblez oublier un point important qui est le model de consation des Maghrebins gros consommateurs de blé q'il ne produise pas en quantite suffisante meme pas la moitie de leur consommation
Donc on doit changer norte midel de consomation avec plus de fruit et de légumes.
Aussi il me semble qu'il ya une erreure dans les chiffres des taux de rendements a l'hectare.
La moyenne au maghreb est de 20 quintaux a l'hectares et non 9qtx/h il y a des region jusqu'à 40 qt/h quant au pays du nord c'est trois fois plus.
Un autre probleme de taille qui n'a pas ete abordé c'est la semence et surtout la semence d'origine d'Afrique du nord qui resiste mieux a la secheresse.
Enfin un autre point difficile a traiter pourtant important c'est la création de la synergie agricole entre les pays du Maghreb.
Algerie
Forte dépendance aux importations
Le problème c'est de consommer du blé dans un pays où il ne pousse pas, même en digitalisant toute l'agriculture, d'autres produits resteront plus adaptés au terroir marocain que le blé
👍
Le problème se n'est pas la production mais le non contrôle des produits exporter se qui appauvri le marché intérieur !! Mais qui va contrôler Mohamed 6 qui est le plus gros exportateur avec sa société les domaines agricoles !! Miskine il est en hass amir kadouss
🎉🎉🎉🎉❤
Entre le dire et le faire il existe un énorme fossé.
Mais je sais que les pouvoirs font de leurs mieux pour y remédier
👍👍👍👍👍👍👍