Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien). Ce ne sont que des animaux qui ont commis c'est forfaits. Par-contre profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseur pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
Pour ceux qui voudrait en savoir plus elisabeth de caligny et lionel camy ont fait des émissions dédiées sur youtube, les mieux renseignées que je connaisse.
c'est clair !!!!!!! et l'enquete faite par jean claude Bourret ! et pour renseignement il a fait plus de 50ans d'enquetes sur les UFOS , et ais consultant à 80ans pour la section ufo gendarmerie française !
EnQuête d'histoire est le plus complet sur le sujet , Damien est un vrai cador il analyse tout ( documents écrits officiels , biologie animale , témoignages et leurs validité, hommes de pouvoir et leurs rivalités , institutions de l'ancien régime , contexte géographique et climatique).
Je me suis toujours demandé ce qu'ils ont fait des restes de la dernière bête abattue. Si seulement ont pouvait avoir au moins des ossements, ça pourrait vraiment éclairer l'histoire.
Mr Jean Chastel est monter à Versailles pour montrer la fameuse bête et toucher la récompense mais le trajet a été extrêmement long au moins 15 jours et vue les températures là bête c'est décomposée et le roi vue la puanteur n'a rien voulu savoir selon les dires la dépouille fut enterrée dans les jardins à Versailles
En mai 2022 dans le Montana ils ont réussit à tuer un dogman il rôdait autour d un grand troupeau. J ai vu les photos c est gigantesque il fait deux fois un loup les pattes différentes une tête énorme avec des dents pointues . Ils ont mis son cadavre à l'arrière d un pikcup.
@@Jjonny1 je l ai vu sur internet tout bonnement sur mon tél . Sinon je ne l aurai pas écris .,Allez voir Lionel Camy il se spécialise pour le dogman et les disparitions de randonneurs . Vous verrez bien .
@@Jjonny1et bien vous tapez sur internet loup énorme dans le Montana et vous aurez l'article . Je n invente pas faites aussi vos recherches vous voulez tout sur un plateau .!
La Béte du Gévaudan, agit a l opposé du fameux Loup Garou, la Béte cherche a tuer les enfants et les femmes..le Loup Garou n attaque pas les humains..je crois que c et le plus mystérieux dans cette hhistoire
@@porteghislaine2940 Bonjour : J'ai vu les émmissions sur la bête du Gévaudan. (3 hybrides). Lettre du comte de Tournon. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence ! » Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Mais ce loup des chazes empaillé en y regardant de plus près avait des côtes différentes des loups, ce qui permetté à l annimal de ce retourné sur lui même : seul les chiens du style Dog ont ce genre d'anomalie, donc c'etait encore une fois un chien croisé avec un loup, idem por la bête tué par Chastel. Et oui la science moderne répond à beaucoup de question. L'annimal de Chazes avait également provoqué quelques attaques car des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). Cette analyse MODERNE du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d'une derniére bëte du Gévaudan. «Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Hyène, ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - Idem pour d’autres vétérinaires (j'avais soumis rapport).
On a la même histoire au ranch Skinwalker dans l Utah à notre époque : un gros loup qui ne craint pas les balles et qui peut disparaitre en un éclair et on cherche la réponse voir Alien Theory et la série TV créée. On retrouve aussi l odeur de la bête épouvantable et la résistance aux balles de revolver et de carabine. On a l apparition de bêtes énormes et disproportionnées et la couleur des yeux couleur braise. La difficulté de la poursuivre..... les gens s épuisent à courir et la bête semble trottiner et s évapore en un instant. La bête peut sembler inoffensive mais dès qu elle voit un bovin elle veut le tuer : en lien avec les multiples mutilations dans le ranch ? Les spécialistes ont parlé de trou de vers de passage vers d autres dimensions qui sont apparus..........
@@GinkgoRobur27 on peut dire ce que l on veut...............mais en tout cas c est pas vous qui avait demontré la possibilités des trous de vers : c est Einstein et Rozen
Vu dans les pv officielles d'archives du puy de Dome et des archives nationale : l'histoire est bien vrai, j'ai vu les pv officielles; vous pouvez les voir aussi. Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien). Ce ne sont que des animaux qui ont commis c'est forfaits. Par-contre profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
l histoire est vrai mais la description n est pas celle d un loup ni celle d un loup avec un gilet pare balle......Je vous reproche juste de vouloir expliquer des choses qui ne s explique pas encore
Un peu étonnée que ce soit la théorie de plusieurs bêtes que retient l'historien, car l'animal était souvent décrit de la même façon par les témoins et survivants : son apparence comme son attitude. Enfin c'est sûr que ça expliquerait certaines choses, mais pas tout, loin s'en faut...
Le terme "Loup" ne signifie pas forcément l'animal, mais un individu qui s'attaque aux autres avec une motivation claire. (Un brigand, un cambrioleur, un violeur...) L'homme est un loup pour l'homme. Le terme "Bête" ou "monstre" désigne surtout celui qui a dépassé le stade de Loup, en préférant faire couler le sang, pour le faire couler. Quand la haine franchi le pas, généralement la bête vous gagne. Donc la bête du Gévaudan aurait plus de sens avec un être humain déguisé. (Voir le concept de "berserk" et autre individu qui se pavane habillé de peau d'animaux) pour terrifier la population et commettre des meurtres.
C'était un loup bizarre, oui en effet c'était ce qu'on appelle depuis toujours un loup-garou. Aujourd'hui et au temps des rois on garde le secret. Ce n'est pas un mythe ni une légende.
Ce sont des événements 100% historiques prouvés par l'étude des registres paroissiaux , des correspondances des différentes autorités, les procès verbaux des deux autopsies et les primes énormes promises . Le mystère c'est l'identité du ou des prédateurs impliqués.
Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien). Ce ne sont que des animaux qui ont commis ces forfaits. Par-contre, profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
@@kimekendoudou7181 On peut dresser un chien pour etre mechant par exemple , un loup de nature a peur de l'homme comme tous les animaux appart si l'animal est acculé ou si il est avec des petits ...dresser un loup est pas possible , de plus a l'epoque des cranes d'humain on été pulvériser par la machoire de l'animal : un loup n'a pas tant de pression aux machoires pour faire expolser la boite craniènne , des molosses par contre peuvent ecrasé une tete ..
Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien). Ce ne sont que des animaux qui ont commis c'est forfaits. Par-contre profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseur pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup ou, est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien)). Ce ne sont que des animaux qui ont commis ces forfaits. Par-contre, profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
Tu te crois drôle pauvre tâche !!! Je suis du Gévaudan, né à Mende. Cette histoire est vrai teubé! Allez basta , quand on sait pas de quoi on parle !!!!!
Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien). Ce ne sont que des animaux qui ont commis c'est forfaits. Par-contre profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
Et puis les pv d époque il fallait rassurer le roi et la population, quand je vois les mensonge sur la guerre en Ukraine je peux douter de tout ce qui est officiel
@@thierryjullien8415Rapport des autorité de l'époque : Bonjour : (3 hybrides). Lettre du comte de Tournon. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence ! » Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Mais ce loup des chazes empaillé en y regardant de plus près avait des côtes différentes des loups, ce qui permetté à l annimal de ce retourné sur lui même : seul les chiens du style Dog ont ce genre d'anomalie, donc c'etait encore une fois un chien croisé avec un loup, idem por la bête tué par Chastel. Et oui la science moderne répond à beaucoup de question. L'annimal de Chazes avait également provoqué quelques attaques car des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). Cette analyse MODERNE du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d'une derniére bëte du Gévaudan. «Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Hyène, ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - Idem pour d’autres vétérinaires (j'avais soumis rapport).
Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien)). Ce ne sont que des animaux qui ont commis ces forfaits. Par-contre, profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
A la même époque des hommes ont profité du chao causé par la bête pour commetre des crimes ( viole de jeune bergeres qui sont tombé enceinte de leur violeur dans le Vivarais et Gevaudan). 10 ans apres la fin de l'histoire de la bête, en 1777, une femme avant de mourir de ses blessures, a affirmé qu'elle a été ataqué par le bête : mais contrairement au rapport d'autopsie des autres victimes de dix ans auparavant, ce cou ci, les legistes ont vu que les blessures ne correspondaient pas a celles aucasionné par un annimal mais par un homme. Un homme a été arretté et condamné pour ce crime. Le surnom de la victime est (berniquette). En cherchant dans les archives, vous trouverez ce que j'avance. Pour le reste Ceux sont bien des chiens croisé avec des loups, les anciens rapport d'autopsies croisé avec le regard de la science moderne démontre ceci. Après, reste à savoir si il y avait des dresseurs de ces cannidés, ou pas? La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel). Celle-ci, a été abattue par Mr Rainchard. Sur cette lettre recopiée : à plusieurs reprises, Patrick Berthelot a rajouté des phrases avec des explications entre parenthèse, pour informer quelques lecteurs novice sur l’affaire, sur la valeur de la traduction de mots et de plusieurs phrases importantes dans ce texte d’origine (sans changer le sens des phrases et l’orthographe d’origine bien sûr) : « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié deux photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et seulement quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage.dont la derniere est celle que chastel a tué, la science moderne croisé avec avec l'autopsie ancienne est précise montre assez que c'était également un chien croisé avec un loup
@@bubububu6798 Je ne parle pas de Berne mais des Archives nationnal de la Maraichaussé de l'époque qui est l ' équivalant de la gendarmerie.Ce sont bien des chiens crisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien)). Ce ne sont que des animaux qui ont commis ces forfaits. Par-contre, profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
Bonjour : J'ai vu les émmissions sur la bête du Gévaudan. (3 hybrides). Lettre du comte de Tournon. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence ! » Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Mais ce loup des chazes empaillé en y regardant de plus près avait des côtes différentes des loups, ce qui permetté à l annimal de ce retourné sur lui même : seul les chiens du style Dog ont ce genre d'anomalie, donc c'etait encore une fois un chien croisé avec un loup, idem por la bête tué par Chastel. Et oui la science moderne répond à beaucoup de question. L'annimal de Chazes avait également provoqué quelques attaques car des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). Cette analyse MODERNE du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d'une derniére bëte du Gévaudan. «Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Hyène, ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - Idem pour d’autres vétérinaires (j'avais soumis rapport).
Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien). Ce ne sont que des animaux qui ont commis ces forfaits. Par-contre, profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
Vu dans les pv officielles d'archives du puy de Dome et des archives nationale : l'histoire est bien vrai, j'ai vu les pv officielles; vous pouvez les voir aussi. Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien). Ce ne sont que des animaux qui ont commis c'est forfaits. Par-contre profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
Vu dans les pv officielles d'archives du puy de Dome et des archives nationale : l'histoire est bien vrai, j'ai vu les pv officielles; vous pouvez les voir aussi. Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien). Ce ne sont que des animaux qui ont commis c'est forfaits. Par-contre profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
C'est une histoire vraie, d'une vraie bête et pas d'un tueur/violeur en série. C'était une vraie bête et personne ne sait la nature exact de l'animal, car ils l'ont détruite pour ne pas faire peur aux Paysans et au reste du monde. Ils ont falsifié les rapport d'autopsie. Une bête qui fait la taille d'un taureau d'un an ou un peu plus ne fait pas que 60KG c'est FAUX!!!
@@marsoudu87: je me refaire aux rapports d'autopsie qui est plus fiable que certains temoignage de gens qui ont étaient traumatisé par ces annimaux, elle ne faisait pas la taille d'un taureaux, certains ont dis de la taille d'un veaux d'un ans, et les veaux de l'epoque était nourrie naturellement, ils étaient moins gros que maintenant. certains temoignages se rapproche beaucoup par rapport à certaines autopsies. JJe ne parle pas du loup des chazes tué par Antoine. Il existe des rapports d'autopsies de plusieurs bêtes, dont celle tué par jean Chastel, (la derniere qui a également fait un massacre comme celle tué par rainchard), à l'epoque les mesures en cm de tous points les anatomiques de cette bête ont étaient mesuré et pesé. Avec ces mesures millimétrés de l'époque, les scientifiques modernes des années 2000 (grasse à l'avancé thecnologique), ont pu etablir que c'était un chien croisé avec un loup, la longueur du muso et la forme montre que c'est un chien et l'arriere de l'annimal un loup, par-contre l'animal tué par Chastel n'avait pas de raie noire sur la longueur du dos, parcontre l'annimal tué par rainchard, avait une raie noire sur le dos, avec des pieds de Chien Mâtin, donc un croisé également (vu dans le rapport du comte de Tournon rédigé pour son supérieur) (donc il y avait bien plusieurs annimaux ). Vu le nombre de dents ce sont bien des canidés, ce genre d'annimal cours à cette vitesse là. Au début de l'affaire il n'est pas impossible qu'il y est eu un felin pour deux des victimes, mais pour toutes les autres victimes ce sont bien des canidés et il y en avait plusieurs. Cordialement Philippe isnel
@@philippeisnel4115 Le poids est faux, même si les veaux étaient moins gros, ils n'étaient tout de même pas énormément plus petit. Il faut arrêter avec ça, mes parent on des vaches aussi donc je connais un peu. Quand on vous dit que la bête faisait la taille d'un veau de 1An même de l'époque elle faisait donc au minimum 100kg sans probléme. Pas les 58 kg comme ils disent. Je vois mal une bête de 58 kg emporté en sautant par dessus un mur de 2 mètres un enfant de 5 ans aussi rachitique soit-il.
A la même époque des hommes ont profité du chao causé par la bête pour commetre des crimes ( viole de jeune bergeres qui sont tombés enceintes de leurs violeurs dans le Vivarais et Gevaudan). 10 ans apres la fin de l'histoire de la bête, en 1777, une femme avant de mourir de ses blessures, a affirmé qu'elle a été ataqué par le bête : mais contrairement au rapport d'autopsie des autres victimes de dix ans auparavant, ce cou ci, les legistes ont vu que les blessures ne correspondaient pas a celles aucasionné par un annimal mais par un homme déguisé. Un homme a été arretté et condamné pour ce crime. Le surnom de la victime est (berniquette). En cherchant dans les archives, vous trouverez ce que j'avance. Pour le reste ceux sont bien des chiens croisé avec des loups, les anciens rapport d'autopsies croisé avec le regard de la science moderne démontre ceci. Après, reste à savoir si il y avait des dresseurs de ces cannidés, ou pas? La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel). Celle-ci, a été abattue par Mr Rainchard. Sur cette lettre recopiée : à plusieurs reprises, Patrick Berthelot a rajouté des phrases avec des explications entre parenthèse, pour informer quelques lecteurs novice sur l’affaire, sur la valeur de la traduction de mots et de plusieurs phrases importantes dans ce texte d’origine (sans changer le sens des phrases et l’orthographe d’origine bien sûr) : « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié deux photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et seulement quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage.dont la derniere est celle que chastel a tué, la science moderne croisé avec avec l'autopsie ancienne est précise montre assez que c'était également un chien croisé avec un loup
@@eugeneviollet-le-duc5971 Bonjour : J'ai vu les émmissions sur la bête du Gévaudan. (3 hybrides). Lettre du comte de Tournon. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence ! » Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Mais ce loup des chazes empaillé en y regardant de plus près avait des côtes différentes des loups, ce qui permetté à l annimal de ce retourné sur lui même : seul les chiens du style Dog ont ce genre d'anomalie, donc c'etait encore une fois un chien croisé avec un loup, idem por la bête tué par Chastel. Et oui la science moderne répond à beaucoup de question. L'annimal de Chazes avait également provoqué quelques attaques car des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). Cette analyse MODERNE du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d'une derniére bëte du Gévaudan. «Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Hyène, ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - Idem pour d’autres vétérinaires (j'avais soumis rapport).
C est vous qui êtes ridicule... Ayez un peu de respect.. Pauvre ignare ... Faites attention à vos commentaires... Et pendant ce temps Essayez de retrouver votre Cerveau...
Ce sont bien des chiens crisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien)). Ce ne sont que des animaux qui ont commis ces forfaits. Par-contre, profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
C'est faux, il y a eu 2 attaque proche mais à 1 heure d'écart, la bête a fait 28km en moins d'une heure a travers bois et sentiers, donc il on estimé quelle pouvait courir à 50 km/h et plus. Ce n'était pas des loups croisés. C'était autre chose. A votre avis quelle est la vraie raison du fait qu'il ont dit qu'elle n'avait pas pu être naturalisée? C'est simple ils l'ont détruite pour ne pas faire peur aux gens.
@@marsoudu87 Il existe des rapports d'autopsies de plusieurs bêtes, dont celle tué par jean Chastel, (la derniere qui a également fait un massacre), à l'epoque les mesures en cm de tous points les anatomiques de cette bête ont étaient mesuré et pesé. Avec ces mesures millimétrés de l'époque, les scientifiques modernes des années 2000 (grasse à l'avancé thecnologique), ont pu etablir que c'était un chien croisé avec un loup, la longueur du muso et la forme montre que c'est un chien et l'arriere de l'annimal un loup, par-contre l'animal tué par Chastel n'avait pas de raie noire sur la longueur du dos, parcontre l'annimal tué par rainchard, avait une raie noire sur le dos, avec des pieds de Chien Mâtin, donc un croisé également (vu dans le rapport du comte de Tournon rédigé pour son supérieur) (donc il y avait bien plusieurs annimaux ). Vu le nombre de dents ce sont bien des canidés, ce genre d'annimal cours à cette vitesse là. Au début de l'affaire il n'est pas impossible qu'il y est eu un felin pour deux des victimes, mais pour toutes les autres victimes ce sont bien des canidés et il y en avait plusieurs. Cordialement Philippe isnel
La bête, c'est mon dentiste : " j'ai vos dents !"
Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien). Ce ne sont que des animaux qui ont commis c'est forfaits. Par-contre profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseur pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
🤣🤣🤣
😂👍
🤣exellent
D'accord avec vous ruclips.net/video/NUwkuY9mvEk/видео.html
Pour ceux qui voudrait en savoir plus elisabeth de caligny et lionel camy ont fait des émissions dédiées sur youtube, les mieux renseignées que je connaisse.
c'est clair !!!!!!! et l'enquete faite par jean claude Bourret ! et pour renseignement il a fait plus de 50ans d'enquetes sur les UFOS , et ais consultant à 80ans pour la section ufo gendarmerie française !
EnQuête d'histoire est le plus complet sur le sujet , Damien est un vrai cador il analyse tout ( documents écrits officiels , biologie animale , témoignages et leurs validité, hommes de pouvoir et leurs rivalités , institutions de l'ancien régime , contexte géographique et climatique).
Je me suis toujours demandé ce qu'ils ont fait des restes de la dernière bête abattue. Si seulement ont pouvait avoir au moins des ossements, ça pourrait vraiment éclairer l'histoire.
Mr Jean Chastel est monter à Versailles pour montrer la fameuse bête et toucher la récompense mais le trajet a été extrêmement long au moins 15 jours et vue les températures là bête c'est décomposée et le roi vue la puanteur n'a rien voulu savoir selon les dires la dépouille fut enterrée dans les jardins à Versailles
En mai 2022 dans le Montana ils ont réussit à tuer un dogman il rôdait autour d un grand troupeau. J ai vu les photos c est gigantesque il fait deux fois un loup les pattes différentes une tête énorme avec des dents pointues . Ils ont mis son cadavre à l'arrière d un pikcup.
Ah oui et ou
@@Jjonny1 je l ai vu sur internet tout bonnement sur mon tél . Sinon je ne l aurai pas écris .,Allez voir Lionel Camy il se spécialise pour le dogman et les disparitions de randonneurs . Vous verrez bien .
@@Jjonny1et bien vous tapez sur internet loup énorme dans le Montana et vous aurez l'article . Je n invente pas faites aussi vos recherches vous voulez tout sur un plateau .!
Un cryptoide, le loup garou. Il y a énormément de témoignages de personnes qui ont croisé sa route.
Bien sûr que les loups garou existe l’état cache leurs existence.
@@flomany6537 regardez Lionel Camy des personnes témoignent l'existence du dogman . Très intéressant .
La Béte du Gévaudan, agit a l opposé du fameux Loup Garou, la Béte cherche a tuer les enfants et les femmes..le Loup Garou n attaque pas les humains..je crois que c et le plus mystérieux dans cette hhistoire
@@porteghislaine2940 Bonjour : J'ai vu les émmissions sur la bête du Gévaudan. (3 hybrides). Lettre du comte de Tournon.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence ! » Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Mais ce loup des chazes empaillé en y regardant de plus près avait des côtes différentes des loups, ce qui permetté à l annimal de ce retourné sur lui même : seul les chiens du style Dog ont ce genre d'anomalie, donc c'etait encore une fois un chien croisé avec un loup, idem por la bête tué par Chastel. Et oui la science moderne répond à beaucoup de question. L'annimal de Chazes avait également provoqué quelques attaques car des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). Cette analyse MODERNE du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d'une derniére bëte du Gévaudan. «Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Hyène, ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe -
Idem pour d’autres vétérinaires (j'avais soumis rapport).
On a la même histoire au ranch Skinwalker dans l Utah à notre époque : un gros loup qui ne craint pas les balles et qui peut disparaitre en un éclair et on cherche la réponse voir Alien Theory et la série TV créée.
On retrouve aussi l odeur de la bête épouvantable et la résistance aux balles de revolver et de carabine. On a l apparition de bêtes énormes et disproportionnées et la couleur des yeux couleur braise. La difficulté de la poursuivre..... les gens s épuisent à courir et la bête semble trottiner et s évapore en un instant. La bête peut sembler inoffensive mais dès qu elle voit un bovin elle veut le tuer : en lien avec les multiples mutilations dans le ranch ? Les spécialistes ont parlé de trou de vers de passage vers d autres dimensions qui sont apparus..........
Les fameux spécialistes
@@GinkgoRobur27 on peut dire ce que l on veut...............mais en tout cas c est pas vous qui avait demontré la possibilités des trous de vers : c est Einstein et Rozen
Vu dans les pv officielles d'archives du puy de Dome et des archives
nationale : l'histoire est bien vrai, j'ai vu les pv officielles; vous
pouvez les voir aussi. Ce sont bien des chiens croisés avec des loups,
il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie
de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de
l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il
y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans
le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines
ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les
attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient
des pieds de chien). Ce ne sont que des animaux qui ont commis c'est
forfaits. Par-contre profitant de ce chao, certains hommes ont on
profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes
filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes,
un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné
une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste
en suspant : y a t il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq
bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens
de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers
l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
Mastin( Antoine Chastel en possédait) croisé avec une louve....
l histoire est vrai mais la description n est pas celle d un loup ni celle d un loup avec un gilet pare balle......Je vous reproche juste de vouloir expliquer des choses qui ne s explique pas encore
Des Mastins croisés avec des loups,c'est de la bo mbe💪🐕💪
Il y a des loups garou dans les forêts du monde, j' en ai vu un en 2000 à Mezos, Landes, véritable!
Un peu étonnée que ce soit la théorie de plusieurs bêtes que retient l'historien, car l'animal était souvent décrit de la même façon par les témoins et survivants : son apparence comme son attitude. Enfin c'est sûr que ça expliquerait certaines choses, mais pas tout, loin s'en faut...
Ouais et les têtes décapitées clean, c'était un loup aussi, un loup avec une épée..
Le terme "Loup" ne signifie pas forcément l'animal, mais un individu qui s'attaque aux autres avec une motivation claire. (Un brigand, un cambrioleur, un violeur...)
L'homme est un loup pour l'homme.
Le terme "Bête" ou "monstre" désigne surtout celui qui a dépassé le stade de Loup, en préférant faire couler le sang, pour le faire couler.
Quand la haine franchi le pas, généralement la bête vous gagne.
Donc la bête du Gévaudan aurait plus de sens avec un être humain déguisé. (Voir le concept de "berserk" et autre individu qui se pavane habillé de peau d'animaux) pour terrifier la population et commettre des meurtres.
Macron la dit la bête arrive
Il parlait de lui ? 😂😂😂😂
C'était un loup bizarre, oui en effet c'était ce qu'on appelle depuis toujours un loup-garou.
Aujourd'hui et au temps des rois on garde le secret. Ce n'est pas un mythe ni une légende.
C’est du la mythologie française?
Ce sont des événements 100% historiques prouvés par l'étude des registres paroissiaux , des correspondances des différentes autorités, les procès verbaux des deux autopsies et les primes énormes promises . Le mystère c'est l'identité du ou des prédateurs impliqués.
ET mince de nos jours il y a de gros myto en coms je me demande si il réalise ce qu' il écrive ,
Des loups à 2 pattes...😂😂😂😂
Ils en ont massacré des loups..
Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien). Ce ne sont que des animaux qui ont commis ces forfaits. Par-contre, profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
@@philippeisnel4115 je vois pas en quoi un chien croisé loup puisse être plus agressif qu un loup.
@@kimekendoudou7181 un chien n a pas peur de l homme, et l autopsie sous l oeuil de la science moderne prouve qu il y a du chien dans cette affaire
@@kimekendoudou7181 On peut dresser un chien pour etre mechant par exemple , un loup de nature a peur de l'homme comme tous les animaux appart si l'animal est acculé ou si il est avec des petits ...dresser un loup est pas possible , de plus a l'epoque des cranes d'humain on été pulvériser par la machoire de l'animal : un loup n'a pas tant de pression aux machoires pour faire expolser la boite craniènne , des molosses par contre peuvent ecrasé une tete ..
@@ekope6396 on peut éduquer un loup, tout ceux que l'on voit dans les films le sont
Au XXVIIIème siècle = 28 ème siècle.....🤔😁😂
Ben oui l’es loup garou existe c’est pas un secret on est plus en 1906 hein 😂
Ça existe vraiment
Au XXVIII ème siècle? on a fait un bon dans le temps là 🤪🤔
Dogman ????
Sourire colgate la Bête 😂
Oui elle est montée à Paris après avoir bossé chez Rothschild...
A l'époque, c'était peut-être un tigre du Bengale échappé d'un cirque !
Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien). Ce ne sont que des animaux qui ont commis c'est forfaits. Par-contre profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseur pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup ou, est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien)). Ce ne sont que des animaux qui ont commis ces forfaits. Par-contre, profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
@@philippeisnel4115 on a compris frero
Tu te crois drôle pauvre tâche !!!
Je suis du Gévaudan, né à Mende.
Cette histoire est vrai teubé!
Allez basta , quand on sait pas de quoi on parle !!!!!
☺️☺️☺️
Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien). Ce ne sont que des animaux qui ont commis c'est forfaits. Par-contre profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
Et puis les pv d époque il fallait rassurer le roi et la population, quand je vois les mensonge sur la guerre en Ukraine je peux douter de tout ce qui est officiel
C'est ma belle mère ! J'en suis sûre !!!!
Un titre accrocheur 😂 pour parler du passé😮 c est pas credible
C est léger j ai connu mieux comme récit déçue !
C est un chien genre un moloss mdrr cvest des fou y a rien y a plus rien
tan ces rien du tous
@@thierryjullien8415Rapport des autorité de l'époque : Bonjour : (3 hybrides). Lettre du comte de Tournon.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence ! » Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Mais ce loup des chazes empaillé en y regardant de plus près avait des côtes différentes des loups, ce qui permetté à l annimal de ce retourné sur lui même : seul les chiens du style Dog ont ce genre d'anomalie, donc c'etait encore une fois un chien croisé avec un loup, idem por la bête tué par Chastel. Et oui la science moderne répond à beaucoup de question. L'annimal de Chazes avait également provoqué quelques attaques car des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). Cette analyse MODERNE du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d'une derniére bëte du Gévaudan. «Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Hyène, ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe -
Idem pour d’autres vétérinaires (j'avais soumis rapport).
On sait maintenant que ce devait être un chien molosse. Cf Secrets d'Histoire sur le sujet
Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien)). Ce ne sont que des animaux qui ont commis ces forfaits. Par-contre, profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
A la même époque des hommes ont profité du chao causé par la bête pour commetre des crimes ( viole de jeune bergeres qui sont tombé enceinte de leur violeur dans le Vivarais et Gevaudan). 10 ans apres la fin de l'histoire de la bête, en 1777, une femme avant de mourir de ses blessures, a affirmé qu'elle a été ataqué par le bête : mais contrairement au rapport d'autopsie des autres victimes de dix ans auparavant, ce cou ci, les legistes ont vu que les blessures ne correspondaient pas a celles aucasionné par un annimal mais par un homme. Un homme a été arretté et condamné pour ce crime. Le surnom de la victime est (berniquette). En cherchant dans les archives, vous trouverez ce que j'avance. Pour le reste Ceux sont bien des chiens croisé avec des loups, les anciens rapport d'autopsies croisé avec le regard de la science moderne démontre ceci. Après, reste à savoir si il y avait des dresseurs de ces cannidés, ou pas? La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel). Celle-ci, a été abattue par Mr Rainchard. Sur cette lettre recopiée : à plusieurs reprises, Patrick Berthelot a rajouté des phrases avec des explications entre parenthèse, pour informer quelques lecteurs novice sur l’affaire, sur la valeur de la traduction de mots et de plusieurs phrases importantes dans ce texte d’origine (sans changer le sens des phrases et l’orthographe d’origine bien sûr) :
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié deux photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et seulement quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage.dont la derniere est celle que chastel a tué, la science moderne croisé avec avec l'autopsie ancienne est précise montre assez que c'était également un chien croisé avec un loup
@@bubububu6798 Je ne parle pas de Berne mais des Archives nationnal de la Maraichaussé de l'époque qui est l ' équivalant de la gendarmerie.Ce sont bien des chiens crisés avec des loups, il y a assez d'éléments
pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier
animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré
croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs
bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de
temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées
au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient
( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien)). Ce
ne sont que des animaux qui ont commis ces forfaits. Par-contre,
profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des
meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé
enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est
deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme :
il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t
il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont
des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des
guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce
croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
Quelle horreur quelle laideur cette sculpture ! C'est aussi moche que du Jeff Koons.
Bonjour : J'ai vu les émmissions sur la bête du Gévaudan. (3 hybrides). Lettre du comte de Tournon.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence ! » Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Mais ce loup des chazes empaillé en y regardant de plus près avait des côtes différentes des loups, ce qui permetté à l annimal de ce retourné sur lui même : seul les chiens du style Dog ont ce genre d'anomalie, donc c'etait encore une fois un chien croisé avec un loup, idem por la bête tué par Chastel. Et oui la science moderne répond à beaucoup de question. L'annimal de Chazes avait également provoqué quelques attaques car des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). Cette analyse MODERNE du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d'une derniére bëte du Gévaudan. «Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Hyène, ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe -
Idem pour d’autres vétérinaires (j'avais soumis rapport).
Pas plus effrayante que mon ex copine ....
C'était un animal point
Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien). Ce ne sont que des animaux qui ont commis ces forfaits. Par-contre, profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
@@philippeisnel4115 une évidence même, le folklore local aide à obtenir de l'argent voilà tout
@@philippeisnel4115Non, de tout ça, vous êtes très loin....
Histoire vraie mon œil, on en parle toujours juste pour faire de l argent comme d habitude
Vu dans les pv officielles d'archives du puy de Dome et des archives nationale : l'histoire est bien vrai, j'ai vu les pv officielles; vous pouvez les voir aussi. Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien). Ce ne sont que des animaux qui ont commis c'est forfaits. Par-contre profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
Vu dans les pv officielles d'archives du puy de Dome et des archives nationale : l'histoire est bien vrai, j'ai vu les pv officielles; vous pouvez les voir aussi. Ce sont bien des chiens croisés avec des loups, il y a assez d'éléments pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient ( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien). Ce ne sont que des animaux qui ont commis c'est forfaits. Par-contre profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme : il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
C'est une histoire vraie, d'une vraie bête et pas d'un tueur/violeur en série. C'était une vraie bête et personne ne sait la nature exact de l'animal, car ils l'ont détruite pour ne pas faire peur aux Paysans et au reste du monde. Ils ont falsifié les rapport d'autopsie. Une bête qui fait la taille d'un taureau d'un an ou un peu plus ne fait pas que 60KG c'est FAUX!!!
@@marsoudu87: je me refaire aux rapports d'autopsie qui est plus fiable que certains temoignage de gens qui ont étaient traumatisé par ces annimaux, elle ne faisait pas la taille d'un taureaux, certains ont dis de la taille d'un veaux d'un ans, et les veaux de l'epoque était nourrie naturellement, ils étaient moins gros que maintenant. certains temoignages se rapproche beaucoup par rapport à certaines autopsies. JJe ne parle pas du loup des chazes tué par Antoine. Il existe des rapports d'autopsies de plusieurs bêtes, dont celle tué par jean Chastel, (la derniere qui a également fait un massacre comme celle tué par rainchard), à l'epoque les mesures en cm de tous points les anatomiques de cette bête ont étaient mesuré et pesé. Avec ces mesures millimétrés de l'époque, les scientifiques modernes des années 2000 (grasse à l'avancé thecnologique), ont pu etablir que c'était un chien croisé avec un loup, la longueur du muso et la forme montre que c'est un chien et l'arriere de l'annimal un loup, par-contre l'animal tué par Chastel n'avait pas de raie noire sur la longueur du dos, parcontre l'annimal tué par rainchard, avait une raie noire sur le dos, avec des pieds de Chien Mâtin, donc un croisé également (vu dans le rapport du comte de Tournon rédigé pour son supérieur) (donc il y avait bien plusieurs annimaux ). Vu le nombre de dents ce sont bien des canidés, ce genre d'annimal cours à cette vitesse là. Au début de l'affaire il n'est pas impossible qu'il y est eu un felin pour deux des victimes, mais pour toutes les autres victimes ce sont bien des canidés et il y en avait plusieurs. Cordialement Philippe isnel
@@philippeisnel4115 Le poids est faux, même si les veaux étaient moins gros, ils n'étaient tout de même pas énormément plus petit. Il faut arrêter avec ça, mes parent on des vaches aussi donc je connais un peu. Quand on vous dit que la bête faisait la taille d'un veau de 1An même de l'époque elle faisait donc au minimum 100kg sans probléme. Pas les 58 kg comme ils disent. Je vois mal une bête de 58 kg emporté en sautant par dessus un mur de 2 mètres un enfant de 5 ans aussi rachitique soit-il.
Alors c'etait la le chaperon rouge et le loup
En 250 ans cette histoire ridicule a changer au file du Temps. Alr c de la 💩💩💩💩
A la même époque des hommes ont profité du chao causé par la bête pour commetre des crimes ( viole de jeune bergeres qui sont tombés enceintes de leurs violeurs dans le Vivarais et Gevaudan). 10 ans apres la fin de l'histoire de la bête, en 1777, une femme avant de mourir de ses blessures, a affirmé qu'elle a été ataqué par le bête : mais contrairement au rapport d'autopsie des autres victimes de dix ans auparavant, ce cou ci, les legistes ont vu que les blessures ne correspondaient pas a celles aucasionné par un annimal mais par un homme déguisé. Un homme a été arretté et condamné pour ce crime. Le surnom de la victime est (berniquette). En cherchant dans les archives, vous trouverez ce que j'avance. Pour le reste ceux sont bien des chiens croisé avec des loups, les anciens rapport d'autopsies croisé avec le regard de la science moderne démontre ceci. Après, reste à savoir si il y avait des dresseurs de ces cannidés, ou pas? La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel). Celle-ci, a été abattue par Mr Rainchard. Sur cette lettre recopiée : à plusieurs reprises, Patrick Berthelot a rajouté des phrases avec des explications entre parenthèse, pour informer quelques lecteurs novice sur l’affaire, sur la valeur de la traduction de mots et de plusieurs phrases importantes dans ce texte d’origine (sans changer le sens des phrases et l’orthographe d’origine bien sûr) :
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié deux photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et seulement quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage.dont la derniere est celle que chastel a tué, la science moderne croisé avec avec l'autopsie ancienne est précise montre assez que c'était également un chien croisé avec un loup
Comme ton orthographe…!
@@eugeneviollet-le-duc5971 Bonjour : J'ai vu les émmissions sur la bête du Gévaudan. (3 hybrides). Lettre du comte de Tournon.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence ! » Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Mais ce loup des chazes empaillé en y regardant de plus près avait des côtes différentes des loups, ce qui permetté à l annimal de ce retourné sur lui même : seul les chiens du style Dog ont ce genre d'anomalie, donc c'etait encore une fois un chien croisé avec un loup, idem por la bête tué par Chastel. Et oui la science moderne répond à beaucoup de question. L'annimal de Chazes avait également provoqué quelques attaques car des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). Cette analyse MODERNE du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d'une derniére bëte du Gévaudan. «Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Hyène, ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe -
Idem pour d’autres vétérinaires (j'avais soumis rapport).
C est vous qui êtes ridicule...
Ayez un peu de respect..
Pauvre ignare ...
Faites attention à vos commentaires...
Et pendant ce temps
Essayez de retrouver votre
Cerveau...
Soit disant qu'il faut faire attention o arbres lol peut-être que sa a faire
Ce sont bien des chiens crisés avec des loups, il y a assez d'éléments
pour affirmé ceci, grace au rapports d'autopsie de l'époque du dernier
animal abattu par chastel, (rapport d'autopsie de l'époque mliimétré
croisé avec la science moderne d'aujourd'hui). Et il y avait plusieurs
bêtes car, des attaques simultanés ont eu lieu dans le même laps de
temps a plus de trente km l'une de l'autre (certaines ont été blessées
au sang et tres gravement, puis le lendemain les attaques recommencaient
( donc plusieurs bêtes dont certaines avaient des pieds de chien)). Ce
ne sont que des animaux qui ont commis ces forfaits. Par-contre,
profitant de ce chao, certains hommes ont on profité pour commettre des
meurtres et des viols, dont certaines jeunes filles sont tombé
enceintes; 5 ans apres la mort de la derniere bêtes, un homme s'est
deguisé en bêtes avec une peau de mouton et a assassiné une jeune femme :
il a été arretté et condamné. Seul une question reste en suspant : y a t
il eu des dresseurs pour une ou deux de ces cinq bêtes? Puisque se sont
des croisés, chien et loup, ou est ce des chiens de combats des
guerres du centre de l'Europe, qui ont immigré vers l'ouest, en ce
croisant avec des loups (resultat de ce croisement).
C'est faux, il y a eu 2 attaque proche mais à 1 heure d'écart, la bête a fait 28km en moins d'une heure a travers bois et sentiers, donc il on estimé quelle pouvait courir à 50 km/h et plus. Ce n'était pas des loups croisés. C'était autre chose. A votre avis quelle est la vraie raison du fait qu'il ont dit qu'elle n'avait pas pu être naturalisée? C'est simple ils l'ont détruite pour ne pas faire peur aux gens.
@@marsoudu87 Il existe des rapports d'autopsies de plusieurs bêtes, dont celle tué par jean Chastel, (la derniere qui a également fait un massacre), à l'epoque les mesures en cm de tous points les anatomiques de cette bête ont étaient mesuré et pesé. Avec ces mesures millimétrés de l'époque, les scientifiques modernes des années 2000 (grasse à l'avancé thecnologique), ont pu etablir que c'était un chien croisé avec un loup, la longueur du muso et la forme montre que c'est un chien et l'arriere de l'annimal un loup, par-contre l'animal tué par Chastel n'avait pas de raie noire sur la longueur du dos, parcontre l'annimal tué par rainchard, avait une raie noire sur le dos, avec des pieds de Chien Mâtin, donc un croisé également (vu dans le rapport du comte de Tournon rédigé pour son supérieur) (donc il y avait bien plusieurs annimaux ). Vu le nombre de dents ce sont bien des canidés, ce genre d'annimal cours à cette vitesse là. Au début de l'affaire il n'est pas impossible qu'il y est eu un felin pour deux des victimes, mais pour toutes les autres victimes ce sont bien des canidés et il y en avait plusieurs. Cordialement Philippe isnel