J.R. dos Santos - Spinoza : l'homme qui a tué Dieu
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- Опубликовано: 29 окт 2023
- J.R. dos Santos vous présente son ouvrage "Spinoza : l'homme qui a tué Dieu" aux éditions Hervé Chopin.
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Note de musique : © mollat
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Un auteur brillant qui pose des pistes de réflexion dans notre vie
Merci M. De Santos pour vos livres accessibles à tous .
Je m empresse de lire votre livre sur Spinoza
Réel plaisir de vous lire
Merci librairie Mollat pour cette interview
Pour avoir lu "le clan Spinoza" de Maxime Rovere. Je pense néanmoins que ce livre reste une proposition intéressante.
Bien sûr il sera plaisant de me plonger dans le live de Dos Santos.
Salutations à tous😊
Merci pour votre tres attachante biographie sur spinoza
Avez vous lu celle de rovere ?
Oui le problème des croyants c’est qu’ils croient sans se poser de question. J’ai découvert Spinoza après avoir rejeté les religions et il a confirmé ce que je pensais de la vie et de son sens.
Bon livre mais cela aurait mérité des notes et références, ou même juste des pistes.
C'est à la fin du livre
Pardon, Monsieur Dos Santos, mais vous n'avez pas fait une lecture rigoureuse et profonde de Spinoza : Spinoza n'affirme absolument pas que Dieu n'existe pas. Il n'est pas athée du tout (avez-vous lu sa correspondance dans laquelle il s'attarde sur ce point ?), mais il est panthéiste. Il affirme que Dieu est le tout de l'être, qu'il n'y a par conséquent rien au-dessus de ce que les religions monothéistes considèrent comme n'étant "que" la Création de Dieu (le monde, l'univers, la nature). C'est une sacralité de l'immanence. Mais absolument pas une position athée. Enfin, une autre remarque si vous permettez : Spinoza n'a pas "démontré" à proprement parler que la Bible est un livre "humain". Une démonstration oblige la raison de tout un chacun à admettre les conclusions. Il l'a seulement affirmé, et a proposé quelques arguments en ce sens. Par ailleurs, une telle affirmation n'a pas beaucoup de sens : les chrétiens sont les premiers à reconnaître que les textes bibliques (du Nouveau Testament, du moins) sont des témoignages de la vie du Christ écrits par des hommes : ses disciples. Donc...
Spinoza est difficile a assimiler , c'est peu etre toi qui a mal compris Spinoza
Perso, j'ai du mal avec cette conception de Dieu, Dieu immanent, substance, le panthéisme… Je fais peu de différence avec l'athéisme. Si l'âme n'est pas immortelle, s'il n'y a plus rien après la mort, je me fous que Dieu soit immanent ou je ne sais quoi. Pour moi, il n'y a rien, point. C'est comme si Dieu n'existait pas. J'avoue que j'ai du mal à admettre aussi cela. Je ne peux plus croire en un dieu "méchant" ou cruel, qui juge, punit, condamne, a fait une liste des péchés véniels et une des péchés mortels, damne pour l'éternité. Mais j'ai de la difficulté aussi à concevoir qu'il n'y a rien au-delà de cette vie. Spinoza me désespérerait presque, même s'il a tué un Dieu qui me désespérait !… J'en suis là…
@@Anikamism Pour moi Dieu est Amour. L'expérience vécue personnellement de l'Amour Divin est si intense et immensément lumineuse. En connectant à cet Amour si puissant, ça change les paradigmes de la vie à tous égards et donne un sens à notre vie terrestre et à celle dans l'au-delà , lorsque nous quittons le plan terrestre. Salutations cordiales 😍
Spinoza n'a pas tué Dieu mais il a donné une autre conception de Dieu qui est la substance( l'origine de toute chose).
Absurde Spinoza alors !
@@mauditepart , lui n'est pas tombé dans le panneau ! Tout un exploit. On voit bien les fruits de tous les intellectuels crétins qui nous ont mis dans ce pétrin en Occident.
Absurde !?...veuillez développer votre pensée.
@@stephanelambert5658 , qui dit divinité dit immortalité, ça va de soi !
@@yolandegimenes8050 pas nécessairement. Les dieux de la Grèce et Romaine antique pouvaient disparaître si le mortel l'ignorait. "Voir les textes de Lucien Jerphanion et de Paul Veyne".
@@stephanelambert5658 , oui on peut tout ignorer mais ce qui, par définition, distingue le simple mortel d'un dieu, c'est qu'il ne meurt pas. Après les textes sont justement ceux que va inspirer cette énormité conceptuelle de Spinoza, Niestsche et compagnie. Des châteaux de sable qui fournissent les concepts que l'on utilise dans beaucoup d matières mais qui ont peu à voir avec le réel. Il y aún sociologue français, dont je ne me souviens pas du nom, très contemporain qui le résume très bien: un intellectuel c'est quelqu'un qui s'éloigne du sens commun. On en paie les frais...en économie notamment...et ces abus théoriques peuvent être dramatiques, précisément dans le champs politique et idéologique, ce qu'il dénonce ici.