Salut la teams toujours à l'affût la teams branché comme jamais la teams bienvenue dans la playlistes instru lourd D.Lezak force honneur et loyauté la teams 🔥 🔥 🔥 🔥
Elle rentrait tard, les yeux baissés, le corps meurtri, Chaque soir, c’était le même enfer, elle vivait sous ses cris. Les murs étaient témoins de sa souffrance silencieuse, Ses larmes coulaient dans l’ombre, son âme était peureuse. Il disait l’aimer, mais ses poings parlaient autrement, Chaque coup effaçait un peu plus ses rêves d’avant. Elle portait des bleus qu’elle cachait sous des manches, Mais personne n’voyait, tout l’monde fermait les yeux quand elle flanchait. Il lui volait sa force, sa lumière, sa voix, Il contrôlait ses moindres gestes, ses moindres choix. Un sourire brisé, un espoir étouffé, Elle marchait sur des œufs, priant juste pour respirer. Mais un jour, elle s’est levée, la peur au bord des lèvres, Avec la rage de celle qui n’a plus rien à perdre. Elle a brisé ses chaînes, elle a brisé le silence, Dans ses yeux une flamme, le début de sa résistance. Plus jamais elle ne pliera sous ses coups, Elle a trouvé la force de dire “c’est fini entre nous”. Chaque larme versée est devenue une arme, Elle part sans se retourner, sans plus cacher ses larmes.
Elle cache ses blessures sous des vêtements longs, Le cœur en éclats, les rêves tombent en morceaux. Chaque nuit, elle prie pour que ça s’arrête, Mais les coups pleuvent encore, c’est la même tempête. Refrain : Mais combien de fois faut-il tomber pour se relever ? Combien de cris dans le noir, sans jamais parler ? Elle cherche une sortie, elle rêve de s’enfuir, Un jour viendra où elle pourra enfin dire : “C’est fini, j’m’en vais”. Son sourire s’efface, ses yeux perdent leur éclat, Les mots d’amour qu’il disait se sont changés en dégâts. Elle marche sur un fil, entre peur et survie, Chaque jour est un combat qu’elle mène en silence, sans répit. Refrain : Mais combien de fois faut-il tomber pour se relever ? Combien de cris dans le noir, sans jamais parler ? Elle cherche une sortie, elle rêve de s’enfuir, Un jour viendra où elle pourra enfin dire : “C’est fini, j’m’en vais”.
On n’a qu’un père, on n’a qu’une mère, Dans ce monde, ils sont nos repères, nos lumières, Papa, t’es celui qui m’a appris à me battre, Maman, t’es celle qui m’a montré l’amour dans chaque geste. Vous m’avez donné la vie, vous m’avez donné la force, Chacun à votre façon, vous avez toujours été là, sans pause, T’es mon pilier, maman, t’es ma boussole, papa, J’ai beau grandir, je serai toujours votre enfant, ici bas. Refrain : On n’a qu’un père, on n’a qu’une mère, Et dans leur amour, je trouve ma lumière, Peu importe où la vie me mène, Vous êtes là, gravés dans mes veines. Couplet 2 : L’un sans l’autre, tout serait différent, C’est votre amour qui m’a construit, lentement, Papa, t’es ma force, maman, ma douceur, Tous les deux ensemble, vous êtes mon bonheur. Le temps passe, mais vos leçons restent gravées, On n’a qu’un père, on n’a qu’une mère, c’est un fait, Vos sacrifices, vos sourires, vos bras ouverts, Je ne les oublierai jamais, vous êtes mon univers. Refrain : On n’a qu’un père, on n’a qu’une mère, Et dans leur amour, je trouve ma lumière, Peu importe où la vie me mène, Vous êtes là, gravés dans mes veines.
Elle marche seule dans les couloirs de son lycée, La tête basse, les épaules voûtées, Chaque jour, c’est la même histoire qui se répète, Des regards, des murmures qui la mettent en quête. Les rires dans son dos, les mots qui l’écrasent, Des insultes jetées comme des pierres qui s’enflamment, Elle voudrait disparaître, se fondre dans l’ombre, Mais la lumière crue du jour dévoile ses profondes plaies sans nombre. Les messages qui défilent sur son écran cassé, Des mots tranchants, sans visage, qui viennent la briser, Elle efface, elle bloque, mais ça revient toujours, Elle se sent prisonnière, enfermée dans une cage sans détour. Le matin, elle hésite à sortir de chez elle, Chaque pas vers l’école est un pas vers le ciel, Un ciel gris et lourd qui pèse sur ses épaules, Elle porte le fardeau de leurs mots, elle en est le symbole. Elle ne comprend pas pourquoi c’est elle qu’ils ont choisie, Pourquoi son nom est devenu une cible, un cri, Elle n’a rien fait de mal, mais tout semble à l’envers, Son monde s’écroule, elle suffoque dans l’air. À la maison, elle se tait, elle garde tout pour elle, Elle cache ses larmes derrière des sourires artificiels, Ses parents ne voient rien, ou préfèrent fermer les yeux, Et elle, elle s’éteint doucement, elle perd son feu. Chaque nuit, elle repense à ces paroles blessantes, À ces coups invisibles, à ces moqueries pesantes, Elle voudrait crier, mais sa voix se brise en silence, Elle est seule face à cette violence immense. Elle se demande si ça finira un jour, Si un matin, elle pourra marcher sans détour, Sans craindre leurs regards, leurs mots en éclats, Sans avoir peur que tout recommence, encore une fois. Mais elle tient bon, malgré la douleur qui ronge, Elle espère, au fond, que quelque chose change, Qu’un jour, elle pourra relever la tête, fière, Que les ombres qui la suivent disparaîtront dans l’air. Elle rêve d’un monde où elle pourra être elle, Sans avoir à se cacher, à craindre l’étincelle, Elle se promet qu’elle tiendra, qu’elle survivra, Même si chaque jour est une bataille qu’elle ne montre pas. Elle porte en elle la force des âmes silencieuses, Celles qui affrontent les tempêtes violentes et douloureuses, Un jour, elle trouvera la paix, elle trouvera son chemin, Elle sait qu’au fond d’elle, elle n’est pas un simple refrain. Elle n’est pas définie par ce qu’ils disent ou font, Elle est plus grande, plus forte que leur poison, Et même si aujourd’hui elle vacille sous le poids, Elle se relèvera, parce qu’elle sait qu’elle a le droit.
Intro : Le temps s’écoule, mais j’le sens plus passer, Les secondes s’étirent, mais toi, t’es loin, effacée. Couplet 1 : Le temps me dévore, comme une mer sans fin, Il m’emporte loin de toi, loin de nos chemins. On s’est aimé dans un souffle, dans un instant figé, Mais aujourd’hui, le silence a pris la place des baisers. Les souvenirs flottent, comme des ombres dans la nuit, Chaque regard passé est un éclat qui fuit. On se cherche encore, mais on se trouve plus, Le temps est devenu ce vide qui nous sépare, perdu. Refrain : Le temps, il efface tout, même nos sourires, Il transforme l’amour en un doux souvenir. Le temps, il me prend et me laisse là, À rêver de toi, mais sans savoir pourquoi. Couplet 2 : On parlait d’éternité, mais c’était qu’un mirage, Nos promesses se sont brisées sur le sable du passage. Chaque heure qui passe me pèse sur les épaules, T’es partie sans crier, sans un mot, sans parole. Je revois tes yeux, ton sourire, ton parfum, Mais tout ça appartient à un autre matin. Le temps a tout volé, même ce qu’on croyait tenir, Il nous a laissés là, à survivre dans le pire. Refrain : Le temps, il efface tout, même nos sourires, Il transforme l’amour en un doux souvenir. Le temps, il me prend et me laisse là, À rêver de toi, mais sans savoir pourquoi. Pont : Si j’avais un peu plus de temps, peut-être qu’on se retrouverait, Mais le destin joue avec nous, il nous a séparés. Le temps fait son œuvre, silencieux et cruel, Et chaque seconde sans toi, c’est un combat irréel. Couplet 3 : Je regarde les photos, elles me rappellent ta voix, Mais tout ce qu’il reste, c’est un vide, un froid. Le temps nous a effacés, mais pas nos cœurs, Il nous a brisés doucement, une fracture sans couleur. Et même si tu n’es plus là, je t’emporte dans le vent, Comme un souffle, comme un rêve, comme un serment. Le temps passe, mais toi, tu restes dans mes pensées, Un amour qui dure, même après l’éternité. Refrain (x2) : Le temps, il efface tout, même nos sourires, Il transforme l’amour en un doux souvenir. Le temps, il me prend et me laisse là, À rêver de toi, mais sans savoir pourquoi. Outro : Le temps… Un ennemi silencieux, mais un ami qui me fait grandir, Un souvenir gravé dans le vent, mais je continue à te chérir.
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Félicitations c'est une dinguerie 🔥🔥🔥🔥✨🎶🎧
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Wallah la dinguerie❤
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🙌🙌
Incroyable je vais faire un sons dessus 🔥
@@doumso_officiel4995 lourd Doumso
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🔥 🔥 🔥 🔥
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❤🔥💙
🔥🔥🔥
Elle rentrait tard, les yeux baissés, le corps meurtri,
Chaque soir, c’était le même enfer, elle vivait sous ses cris.
Les murs étaient témoins de sa souffrance silencieuse,
Ses larmes coulaient dans l’ombre, son âme était peureuse.
Il disait l’aimer, mais ses poings parlaient autrement,
Chaque coup effaçait un peu plus ses rêves d’avant.
Elle portait des bleus qu’elle cachait sous des manches,
Mais personne n’voyait, tout l’monde fermait les yeux quand elle flanchait.
Il lui volait sa force, sa lumière, sa voix,
Il contrôlait ses moindres gestes, ses moindres choix.
Un sourire brisé, un espoir étouffé,
Elle marchait sur des œufs, priant juste pour respirer.
Mais un jour, elle s’est levée, la peur au bord des lèvres,
Avec la rage de celle qui n’a plus rien à perdre.
Elle a brisé ses chaînes, elle a brisé le silence,
Dans ses yeux une flamme, le début de sa résistance.
Plus jamais elle ne pliera sous ses coups,
Elle a trouvé la force de dire “c’est fini entre nous”.
Chaque larme versée est devenue une arme,
Elle part sans se retourner, sans plus cacher ses larmes.
Elle cache ses blessures sous des vêtements longs,
Le cœur en éclats, les rêves tombent en morceaux.
Chaque nuit, elle prie pour que ça s’arrête,
Mais les coups pleuvent encore, c’est la même tempête.
Refrain :
Mais combien de fois faut-il tomber pour se relever ?
Combien de cris dans le noir, sans jamais parler ?
Elle cherche une sortie, elle rêve de s’enfuir,
Un jour viendra où elle pourra enfin dire : “C’est fini, j’m’en vais”.
Son sourire s’efface, ses yeux perdent leur éclat,
Les mots d’amour qu’il disait se sont changés en dégâts.
Elle marche sur un fil, entre peur et survie,
Chaque jour est un combat qu’elle mène en silence, sans répit.
Refrain :
Mais combien de fois faut-il tomber pour se relever ?
Combien de cris dans le noir, sans jamais parler ?
Elle cherche une sortie, elle rêve de s’enfuir,
Un jour viendra où elle pourra enfin dire : “C’est fini, j’m’en vais”.
On n’a qu’un père, on n’a qu’une mère,
Dans ce monde, ils sont nos repères, nos lumières,
Papa, t’es celui qui m’a appris à me battre,
Maman, t’es celle qui m’a montré l’amour dans chaque geste.
Vous m’avez donné la vie, vous m’avez donné la force,
Chacun à votre façon, vous avez toujours été là, sans pause,
T’es mon pilier, maman, t’es ma boussole, papa,
J’ai beau grandir, je serai toujours votre enfant, ici bas.
Refrain :
On n’a qu’un père, on n’a qu’une mère,
Et dans leur amour, je trouve ma lumière,
Peu importe où la vie me mène,
Vous êtes là, gravés dans mes veines.
Couplet 2 :
L’un sans l’autre, tout serait différent,
C’est votre amour qui m’a construit, lentement,
Papa, t’es ma force, maman, ma douceur,
Tous les deux ensemble, vous êtes mon bonheur.
Le temps passe, mais vos leçons restent gravées,
On n’a qu’un père, on n’a qu’une mère, c’est un fait,
Vos sacrifices, vos sourires, vos bras ouverts,
Je ne les oublierai jamais, vous êtes mon univers.
Refrain :
On n’a qu’un père, on n’a qu’une mère,
Et dans leur amour, je trouve ma lumière,
Peu importe où la vie me mène,
Vous êtes là, gravés dans mes veines.
Bogosss
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حاجة مبقات تهمني يحبونا متخاصمين قلوب مرضي امي فحياتنا تالفين
Elle marche seule dans les couloirs de son lycée,
La tête basse, les épaules voûtées,
Chaque jour, c’est la même histoire qui se répète,
Des regards, des murmures qui la mettent en quête.
Les rires dans son dos, les mots qui l’écrasent,
Des insultes jetées comme des pierres qui s’enflamment,
Elle voudrait disparaître, se fondre dans l’ombre,
Mais la lumière crue du jour dévoile ses profondes plaies sans nombre.
Les messages qui défilent sur son écran cassé,
Des mots tranchants, sans visage, qui viennent la briser,
Elle efface, elle bloque, mais ça revient toujours,
Elle se sent prisonnière, enfermée dans une cage sans détour.
Le matin, elle hésite à sortir de chez elle,
Chaque pas vers l’école est un pas vers le ciel,
Un ciel gris et lourd qui pèse sur ses épaules,
Elle porte le fardeau de leurs mots, elle en est le symbole.
Elle ne comprend pas pourquoi c’est elle qu’ils ont choisie,
Pourquoi son nom est devenu une cible, un cri,
Elle n’a rien fait de mal, mais tout semble à l’envers,
Son monde s’écroule, elle suffoque dans l’air.
À la maison, elle se tait, elle garde tout pour elle,
Elle cache ses larmes derrière des sourires artificiels,
Ses parents ne voient rien, ou préfèrent fermer les yeux,
Et elle, elle s’éteint doucement, elle perd son feu.
Chaque nuit, elle repense à ces paroles blessantes,
À ces coups invisibles, à ces moqueries pesantes,
Elle voudrait crier, mais sa voix se brise en silence,
Elle est seule face à cette violence immense.
Elle se demande si ça finira un jour,
Si un matin, elle pourra marcher sans détour,
Sans craindre leurs regards, leurs mots en éclats,
Sans avoir peur que tout recommence, encore une fois.
Mais elle tient bon, malgré la douleur qui ronge,
Elle espère, au fond, que quelque chose change,
Qu’un jour, elle pourra relever la tête, fière,
Que les ombres qui la suivent disparaîtront dans l’air.
Elle rêve d’un monde où elle pourra être elle,
Sans avoir à se cacher, à craindre l’étincelle,
Elle se promet qu’elle tiendra, qu’elle survivra,
Même si chaque jour est une bataille qu’elle ne montre pas.
Elle porte en elle la force des âmes silencieuses,
Celles qui affrontent les tempêtes violentes et douloureuses,
Un jour, elle trouvera la paix, elle trouvera son chemin,
Elle sait qu’au fond d’elle, elle n’est pas un simple refrain.
Elle n’est pas définie par ce qu’ils disent ou font,
Elle est plus grande, plus forte que leur poison,
Et même si aujourd’hui elle vacille sous le poids,
Elle se relèvera, parce qu’elle sait qu’elle a le droit.
Djat fi w9tha
Intro :
Le temps s’écoule, mais j’le sens plus passer,
Les secondes s’étirent, mais toi, t’es loin, effacée.
Couplet 1 :
Le temps me dévore, comme une mer sans fin,
Il m’emporte loin de toi, loin de nos chemins.
On s’est aimé dans un souffle, dans un instant figé,
Mais aujourd’hui, le silence a pris la place des baisers.
Les souvenirs flottent, comme des ombres dans la nuit,
Chaque regard passé est un éclat qui fuit.
On se cherche encore, mais on se trouve plus,
Le temps est devenu ce vide qui nous sépare, perdu.
Refrain :
Le temps, il efface tout, même nos sourires,
Il transforme l’amour en un doux souvenir.
Le temps, il me prend et me laisse là,
À rêver de toi, mais sans savoir pourquoi.
Couplet 2 :
On parlait d’éternité, mais c’était qu’un mirage,
Nos promesses se sont brisées sur le sable du passage.
Chaque heure qui passe me pèse sur les épaules,
T’es partie sans crier, sans un mot, sans parole.
Je revois tes yeux, ton sourire, ton parfum,
Mais tout ça appartient à un autre matin.
Le temps a tout volé, même ce qu’on croyait tenir,
Il nous a laissés là, à survivre dans le pire.
Refrain :
Le temps, il efface tout, même nos sourires,
Il transforme l’amour en un doux souvenir.
Le temps, il me prend et me laisse là,
À rêver de toi, mais sans savoir pourquoi.
Pont :
Si j’avais un peu plus de temps, peut-être qu’on se retrouverait,
Mais le destin joue avec nous, il nous a séparés.
Le temps fait son œuvre, silencieux et cruel,
Et chaque seconde sans toi, c’est un combat irréel.
Couplet 3 :
Je regarde les photos, elles me rappellent ta voix,
Mais tout ce qu’il reste, c’est un vide, un froid.
Le temps nous a effacés, mais pas nos cœurs,
Il nous a brisés doucement, une fracture sans couleur.
Et même si tu n’es plus là, je t’emporte dans le vent,
Comme un souffle, comme un rêve, comme un serment.
Le temps passe, mais toi, tu restes dans mes pensées,
Un amour qui dure, même après l’éternité.
Refrain (x2) :
Le temps, il efface tout, même nos sourires,
Il transforme l’amour en un doux souvenir.
Le temps, il me prend et me laisse là,
À rêver de toi, mais sans savoir pourquoi.
Outro :
Le temps…
Un ennemi silencieux, mais un ami qui me fait grandir,
Un souvenir gravé dans le vent, mais je continue à te chérir.
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