En effet, c'est surtout en chant lyrique que l'on s'efforce d'éliminer la nasalité. Les chanteurs d'Opéra étrangers n'aiment d'ailleurs pas trop chanter en français car notre langue comporte beaucoup de son qui doivent passer par le nez, comme tu as cité : les on, en un, in et certaines consonnes. Cela enlève de la brillance aux sons. La méthode que tu préconises est intéressante en effet. En "trichant" un peu sur la prononciation, on peut éviter ces inconvénients. Moi qui aime "donner de la voix" ( mais j'en ai parfois un peu abusé) je préfère souvent les versions anglophones des chansons connues. Elles permettent des élans et des montées de notes plus spectaculaires. Mais à nouveau, en variété, j'utilise parfois la nasalité qui permet de personnaliser son chant. Merci Antoine pour toutes ce travail en finesse que tu nous proposes.
En effet, c'est surtout en chant lyrique que l'on s'efforce d'éliminer la nasalité. Les chanteurs d'Opéra étrangers n'aiment d'ailleurs pas trop chanter en français car notre langue comporte beaucoup de son qui doivent passer par le nez, comme tu as cité : les on, en un, in et certaines consonnes. Cela enlève de la brillance aux sons. La méthode que tu préconises est intéressante en effet. En "trichant" un peu sur la prononciation, on peut éviter ces inconvénients. Moi qui aime "donner de la voix" ( mais j'en ai parfois un peu abusé) je préfère souvent les versions anglophones des chansons connues. Elles permettent des élans et des montées de notes plus spectaculaires. Mais à nouveau, en variété, j'utilise parfois la nasalité qui permet de personnaliser son chant.
Merci Antoine pour toutes ce travail en finesse que tu nous proposes.
Merci de ton partage Andre
Excellent sujet. J'ai appris à faire un moito en échauffement à la chorale et... voilà !Jamais je ne l'utilise en chant :,/
Merci pour ton avis Jeremy
Comment faire